Je prends sur moi le pari risqué de m’ériger en défenseur du Cheikh Ahmadou Bamba Khadimou Rassoul (Serviteur du Prophète).
Ce pari est d’autant risqué que je ne me sens pas assez outillé et peut être pas du tout celui qui est indiqué pour parler de cet homme de Dieu à la dimension incommensurable.
Toutefois je ne pouvais me taire lorsque j’ai appris par voie de presse que le vénéré Cheikh avait fait l’objet de caricature ignoble par le non moins célèbre journal « Jeune Afrique ».
Je n’ai certes pas lu ni vu l’article en question- qu’Allah m’en garde d’ailleurs- mais vu la vague d’indignation qu’il a suscité j’ai pu imaginer son caractère perfide et senti la volonté de nuire, de blesser de son auteur.
Je peux sans risque de me tromper jurer que le journaliste qui a pondu cet article sur le vénéré Cheikh ne sait absolument rien de lui.
Serigne Touba Khadimou Rassoul l’aurait certainement pardonné et aurait dit « laisser le c’est un ignorant », mais nous non. Nous ne pouvons pardonner une telle ignominie.
Avant de continuer, je récuse désormais le nom du journal « jeune Afrique » car nous jeunes d’Afrique, nous jeunes du Sénégal, nous jeunes musulmans ne pouvons accepter qu’un journal fut il un pseudo représentant de notre continent -qui d’ailleurs ne représente que ceux qui commandent à coup de millions les articles qu’ils pondent- sans tenir compte des règles élémentaires de déontologie qui encadrent la profession du journalisme, se mette à jeter l’opprobre sur nos symboles les plus élevés. Aussi, j’invite solennellement tous les sénégalais et plus particulièrement les jeunes à ne plus jamais lire ce journal satanique à la solde des ennemis de l’Islam.
Qu’est ce qui dans l’œuvre du Cheikh ?, qu’est ce qui dans la vie du Cheikh ?, qu’est ce qui dans le combat du Cheikh devrait pousser l’auteur de cet article en question à caricaturer le vénéré Ahmadou Bamba en l’associant à des bassesses d’ici bas. Et pour quel intérêt ?
En tentant de répondre à ces questions je dirais tout simplement que cela participe du projet lugubre entretenu par les détracteurs de l’Islam et de ceux qui ont été les plus dignes représentants de cette religion de juste milieu sur terre.
Dans le contexte international actuel, marqué par la violence tout azimut du fait d’un islamisme exacerbé, le Cheik Ahmadou Bamba devrait être montré en modèle et non en caricature.
Est – il utile de rappeler que durant toute sa vie, durant tout son combat, cet illustre homme de Dieu a fait de la non- violence son arme de lutte contre l’oppresseur.
On n’en parle pas assez ou bien, on feint de lier ces différentes trajectoires du fait de leur appartenance à trois continents géographiquement éloignés ; mais ma conviction à moi, est que le Cheikh a dû inspirer ou même influencer des combattants de la liberté comme Gandhi et Martin Luther King.
Ce dernier cité disait de la non- violence que c’est « une arme puissante et juste qui tranche sans blesser et qui ennoblit l’homme qui la manie. C’est une épée qui guérit. » et cela Serigne Touba l’a compris avant lui et sa victoire sur les colons n’est que plus visible de nos jours.
A l’Etat du Sénégal, et c’est par là que je vais terminer il ne faut surtout pas s’arrêter à une condamnation et à prendre acte des excuses du soit- disant responsable du journal qui du reste est un irresponsable à mes yeux, il faut sanctionner lourdement ce journal en lui fermant les portes de nos kiosques à tout jamais. Que perdrait les sénégalais en ne lisant pas « Jeune Afrique » ? Que perdrait l’élite sénégalaise en ne lisant pas ce journal ?
Ce ne serait d’ailleurs pas une nouveauté en Afrique d’interdire « Jeune Afrique » dans un pays certains l’ont déjà fait.
Ce journal qui jadis faisait la fierté de tout un continent a perdu depuis belle lurette de sa crédibilité du fait qu’il s’attache plus à satisfaire les désirs de ceux qui commandent l’information qu’à informer juste et vrai. C’est dommage.
Dieuredieuf Serigne Touba.
Mamadou Boye DIALLO
Travailleur Social
tafsirmassamba@gmail.com
Ce pari est d’autant risqué que je ne me sens pas assez outillé et peut être pas du tout celui qui est indiqué pour parler de cet homme de Dieu à la dimension incommensurable.
Toutefois je ne pouvais me taire lorsque j’ai appris par voie de presse que le vénéré Cheikh avait fait l’objet de caricature ignoble par le non moins célèbre journal « Jeune Afrique ».
Je n’ai certes pas lu ni vu l’article en question- qu’Allah m’en garde d’ailleurs- mais vu la vague d’indignation qu’il a suscité j’ai pu imaginer son caractère perfide et senti la volonté de nuire, de blesser de son auteur.
Je peux sans risque de me tromper jurer que le journaliste qui a pondu cet article sur le vénéré Cheikh ne sait absolument rien de lui.
Serigne Touba Khadimou Rassoul l’aurait certainement pardonné et aurait dit « laisser le c’est un ignorant », mais nous non. Nous ne pouvons pardonner une telle ignominie.
Avant de continuer, je récuse désormais le nom du journal « jeune Afrique » car nous jeunes d’Afrique, nous jeunes du Sénégal, nous jeunes musulmans ne pouvons accepter qu’un journal fut il un pseudo représentant de notre continent -qui d’ailleurs ne représente que ceux qui commandent à coup de millions les articles qu’ils pondent- sans tenir compte des règles élémentaires de déontologie qui encadrent la profession du journalisme, se mette à jeter l’opprobre sur nos symboles les plus élevés. Aussi, j’invite solennellement tous les sénégalais et plus particulièrement les jeunes à ne plus jamais lire ce journal satanique à la solde des ennemis de l’Islam.
Qu’est ce qui dans l’œuvre du Cheikh ?, qu’est ce qui dans la vie du Cheikh ?, qu’est ce qui dans le combat du Cheikh devrait pousser l’auteur de cet article en question à caricaturer le vénéré Ahmadou Bamba en l’associant à des bassesses d’ici bas. Et pour quel intérêt ?
En tentant de répondre à ces questions je dirais tout simplement que cela participe du projet lugubre entretenu par les détracteurs de l’Islam et de ceux qui ont été les plus dignes représentants de cette religion de juste milieu sur terre.
Dans le contexte international actuel, marqué par la violence tout azimut du fait d’un islamisme exacerbé, le Cheik Ahmadou Bamba devrait être montré en modèle et non en caricature.
Est – il utile de rappeler que durant toute sa vie, durant tout son combat, cet illustre homme de Dieu a fait de la non- violence son arme de lutte contre l’oppresseur.
On n’en parle pas assez ou bien, on feint de lier ces différentes trajectoires du fait de leur appartenance à trois continents géographiquement éloignés ; mais ma conviction à moi, est que le Cheikh a dû inspirer ou même influencer des combattants de la liberté comme Gandhi et Martin Luther King.
Ce dernier cité disait de la non- violence que c’est « une arme puissante et juste qui tranche sans blesser et qui ennoblit l’homme qui la manie. C’est une épée qui guérit. » et cela Serigne Touba l’a compris avant lui et sa victoire sur les colons n’est que plus visible de nos jours.
A l’Etat du Sénégal, et c’est par là que je vais terminer il ne faut surtout pas s’arrêter à une condamnation et à prendre acte des excuses du soit- disant responsable du journal qui du reste est un irresponsable à mes yeux, il faut sanctionner lourdement ce journal en lui fermant les portes de nos kiosques à tout jamais. Que perdrait les sénégalais en ne lisant pas « Jeune Afrique » ? Que perdrait l’élite sénégalaise en ne lisant pas ce journal ?
Ce ne serait d’ailleurs pas une nouveauté en Afrique d’interdire « Jeune Afrique » dans un pays certains l’ont déjà fait.
Ce journal qui jadis faisait la fierté de tout un continent a perdu depuis belle lurette de sa crédibilité du fait qu’il s’attache plus à satisfaire les désirs de ceux qui commandent l’information qu’à informer juste et vrai. C’est dommage.
Dieuredieuf Serigne Touba.
Mamadou Boye DIALLO
Travailleur Social
tafsirmassamba@gmail.com