Cuisiné par les gendarmes sur l’accusation de sa maitresse, le journaliste Cheikh Yérim Seck a récusé le viol. Il a confié aux pandores que la victime qu’il a rencontré au détour d’un débat qu’il animait à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, était consentante, mais qu’elle aurait paniqué une fois arrivée chez elle. Faisant preuve de bonne foi, il s’est dit prêt à prendre en charge les frais d’études d’Aïssatou Tall qui devait voyager le même jour, c'est-à-dire le samedi, et à l’épouser comme troisième femme. Mais la plaignante ne semble pas sur la même longueur d’ondes.
C’est une autre version qu’elle a servi aux enquêteurs. A l’en croire, Cheikh Yérim Seck l’a conviée à déjeuner, comme elle devait voyager. Une fois à la résidence « Madamel », on lui fait comprendre que le journaliste était en haut. Arrivée à la chambre 9, elle dit avoir vu Yérim torse nu, s’affairant devant un ordinateur portable. Selon sa déposition, le journaliste a commencé à la caresser et ils ont flirté. C’est alors qu’elle est prise au dépourvu par Cheikh Yérim qui lui enlève son slip et la pénètre si violemment qu’elle a hurlé, sauté du lit avant de se refugier dans les toilettes. Selon Libération lu par Setal.net, trois employés de l’hôtel ont confirmé avoir entendu des cris provenant de la chambre où était le couple. Venus aux nouvelles, ils ont été éconduits par le journaliste qui leur dira qu’il n’y avait rien et que c’est la fille qui avait paniqué.
Aïssatou Tall raconte qu’en ce moment, elle s’était enfermée à double tour dans les toilettes. Elle ajoute que Cheikh Yérim Seck a insisté pour qu’elle ouvre, en la calmant, mais elle lui a dit que s’il ne la laissait pas partir, elle allait ameuter les employés. C’est la formule qui l’a libéré des griffes de son « bourreau » qui lui a proposé de la déposer. Elle décline l’offre et prend un taxi. D’après elle, c’est dans le taxi qu’elle a appelé sa sœur à qui elle a relaté l’affaire. Elle en profite pour lui demander la conduite à tenir. C’est cette dernière qui lui conseille d’alerter leurs parents. Qui, ont pris à bras le corps cette affaire. Son père, le magistrat Boubou Diouf Tall , a déposé une plainte pour viol et le journaliste a été convoqué et retenu à la gendarmerie de Ngor avant d’être transféré à Colobane. Depuis hier, il est pensionnaire de la MAC de Rebeuss pour viol . Il sera jugé demain, mercredi devant le tribunal des flagrants délits.
C’est une autre version qu’elle a servi aux enquêteurs. A l’en croire, Cheikh Yérim Seck l’a conviée à déjeuner, comme elle devait voyager. Une fois à la résidence « Madamel », on lui fait comprendre que le journaliste était en haut. Arrivée à la chambre 9, elle dit avoir vu Yérim torse nu, s’affairant devant un ordinateur portable. Selon sa déposition, le journaliste a commencé à la caresser et ils ont flirté. C’est alors qu’elle est prise au dépourvu par Cheikh Yérim qui lui enlève son slip et la pénètre si violemment qu’elle a hurlé, sauté du lit avant de se refugier dans les toilettes. Selon Libération lu par Setal.net, trois employés de l’hôtel ont confirmé avoir entendu des cris provenant de la chambre où était le couple. Venus aux nouvelles, ils ont été éconduits par le journaliste qui leur dira qu’il n’y avait rien et que c’est la fille qui avait paniqué.
Aïssatou Tall raconte qu’en ce moment, elle s’était enfermée à double tour dans les toilettes. Elle ajoute que Cheikh Yérim Seck a insisté pour qu’elle ouvre, en la calmant, mais elle lui a dit que s’il ne la laissait pas partir, elle allait ameuter les employés. C’est la formule qui l’a libéré des griffes de son « bourreau » qui lui a proposé de la déposer. Elle décline l’offre et prend un taxi. D’après elle, c’est dans le taxi qu’elle a appelé sa sœur à qui elle a relaté l’affaire. Elle en profite pour lui demander la conduite à tenir. C’est cette dernière qui lui conseille d’alerter leurs parents. Qui, ont pris à bras le corps cette affaire. Son père, le magistrat Boubou Diouf Tall , a déposé une plainte pour viol et le journaliste a été convoqué et retenu à la gendarmerie de Ngor avant d’être transféré à Colobane. Depuis hier, il est pensionnaire de la MAC de Rebeuss pour viol . Il sera jugé demain, mercredi devant le tribunal des flagrants délits.