SETAL.NET - Barthélémy Dias est élargi de prison ce mardi après avoir fait cinq mois à la Maison d’arrêt et de correction de Rebeuss. Une liberté provisoire qu’il doit à sa deuxième arme dont l’expertise a révélé qu’il n’était pas à l’origine de la mort du nervi Ndiaga Diouf. En tout cas, les balles qui ont mis fin à l’existence de l’un des assaillants de sa mairie le 22 décembre dernier, ne proviennent pas des deux armes qu’il a remises aux enquêteurs de la Sureté urbaine.
Mais la question que se posent plus d’un, c’est pourquoi avoir attendu cinq mois après l’ouverture de l’instruction pour remettre la deuxième arme qui a fait l’objet d’une recherche même au fond de l’océan, aux enquêteurs ?
Une question à laquelle répond son conseil Me Kali Niang. Selon ce dernier, son client qui était « un détenu politique » ne pouvait pas prendre le risque de remettre cette arme aux enquêteurs dans l’ère Wade. Dans son argumentaire, l’avocat est d’avis qu’un autre usage pouvait être fait de cette arme pour culpabiliser son client qui est la victime dans cette affaire.
L’expertise effectuée par la police scientifique révèle que cette arme est de type barillet avec 35 munitions de calibre 4.5 mm. la police scientifique affirme dans son rapport que ses munitions sont en plomb et que l’arme est de septième catégorie, donc en vente libre. En détails, le rapport qui disculpe Barthélémy Dias révèle que l’arme est un revolver CO2 Umarex 686 d’une largeur de 285 mm avec un barillet de dix coups.
Mais la question que se posent plus d’un, c’est pourquoi avoir attendu cinq mois après l’ouverture de l’instruction pour remettre la deuxième arme qui a fait l’objet d’une recherche même au fond de l’océan, aux enquêteurs ?
Une question à laquelle répond son conseil Me Kali Niang. Selon ce dernier, son client qui était « un détenu politique » ne pouvait pas prendre le risque de remettre cette arme aux enquêteurs dans l’ère Wade. Dans son argumentaire, l’avocat est d’avis qu’un autre usage pouvait être fait de cette arme pour culpabiliser son client qui est la victime dans cette affaire.
L’expertise effectuée par la police scientifique révèle que cette arme est de type barillet avec 35 munitions de calibre 4.5 mm. la police scientifique affirme dans son rapport que ses munitions sont en plomb et que l’arme est de septième catégorie, donc en vente libre. En détails, le rapport qui disculpe Barthélémy Dias révèle que l’arme est un revolver CO2 Umarex 686 d’une largeur de 285 mm avec un barillet de dix coups.