Barth’ en doit une à la police scientifique sans qui, l’expertise faite sur ses armes ne serait possible. En effet, il ressort des conclusions de cette expertise que les deux armes de Barthélémy Dias n’ont rien à voir avec la mort du nervi Ndiaga Diouf. Selon Libération parcouru ce matin par Setal.net, le rapport est plus formel : en comparaison, la balle retrouvée dans le corps de Ndiaga Diouf, le nervi décédé, ne provient pas de l’arme transmise aux enquêteurs par Barthélémy Dias. Poursuivant, Libération révélé que les mêmes conclusions ont été faites par la police scientifique en comparant l’arme avec le projectile extrait du corps du blessé Cheikh Diop, un projectile extrait du blessé Malick Thiombane et un étui de 9mm remis par un certain sieur P.L.B. La police scientifique a conclu que la balle extraite du corps de Ndiaga Diouf est une munition de revolver. Il en est de même des balles extraites des cuisses des blessés. Les étuis 1 et 2 proviennent d’une munition Wad cutter calibre 38 spécial. Bref, les deux armes remises par Barthélémy Dias ne peuvent pas avoir tiré la balle fatale à Ndiaga Diouf.
Les accusations contre le maire socialiste de Sicap Sacré-cœur Mermoz s’effondrent tel un château de cartes face à ces conclusions de l’expertise. Le parquet ayant épluché tous ses détails a donné un avis favorable à la demande de mise en liberté provisoire demandée par les avocats du fils de Jean Paul Dias. Par conséquent, le doyen des juges d’instruction qui détient le rapport d’expertise procédera à la libération de Bartéhélémy Dias le lundi prochain.
Les accusations contre le maire socialiste de Sicap Sacré-cœur Mermoz s’effondrent tel un château de cartes face à ces conclusions de l’expertise. Le parquet ayant épluché tous ses détails a donné un avis favorable à la demande de mise en liberté provisoire demandée par les avocats du fils de Jean Paul Dias. Par conséquent, le doyen des juges d’instruction qui détient le rapport d’expertise procédera à la libération de Bartéhélémy Dias le lundi prochain.