Lisa Smith, une Britannique de moins de trente ans, a décidé de ne plus avoir de relation sexuelle. Elle trouve le sexe "répugnant" et déteste ça. Elle évite l'intimité et songe à l'adoption pour le jour où elle souhaitera une famille. Elle fait ce qu'elle appelle son "coming-out" dans les colonnes du DailyMail. Elle se considère "asexuelle" mais aspire tout de même à un futur à deux, avec un homme.
"J'ai 29 ans et j'ai eu trois amants, dont deux avec lesquels j'ai vécu. J'ai essayé d'apaiser ce sentiment de dégoût que j'avais face au sexe, mais j'ai échoué à plusieurs reprises", dit-elle. "Je n'ai aucun problème physique - les médecins me l'ont confirmé- et je ne suis pas affligée par la culpabilité."
Elle ne sait cependant pas pourquoi elle a une telle aversion face à cet échange physique entre deux personnes qui s'aiment. "Mes parents avaient une attitude ouverte et saine face au sexe. Il n'y a donc pas d'incident sombre tapi dans mon passé qui pourrait expliquer ce dégoût. Je n'ai pas été maltraitée ni abusée, je n'ai jamais été forcée à avoir des rapports sexuels contre ma volonté", ajoute-t-elle.
Mais elle "déteste le sexe. Et j'ai décidé de mettre un terme à cette torture. (...) Ma vie sexuelle est terminée." Elle ajoute: "Pourquoi devrais-je supporter ça ? Simplement pour rendre les gens heureux?"
Elle pense que cela ne changera pas. "J'aurais aimé que ce ne soit pas le cas. Ma tragédie est que j'aimerais être "normale". J'ai besoin de la compagnie d'un homme. J'aimerais me marier, avoir une maison, profiter de ce confort... Je veux aimer et être aimée. Je ne trouve pas les hommes odieux. Au contraire, j'apprécie leur physique et leur compagnie. J'aime faire des câlins, embrasser ne me dérange pas et j'aspire à de l'affection, mais rien de plus. (...) Alors, je me suis résignée."
"J'ai 29 ans et j'ai eu trois amants, dont deux avec lesquels j'ai vécu. J'ai essayé d'apaiser ce sentiment de dégoût que j'avais face au sexe, mais j'ai échoué à plusieurs reprises", dit-elle. "Je n'ai aucun problème physique - les médecins me l'ont confirmé- et je ne suis pas affligée par la culpabilité."
Elle ne sait cependant pas pourquoi elle a une telle aversion face à cet échange physique entre deux personnes qui s'aiment. "Mes parents avaient une attitude ouverte et saine face au sexe. Il n'y a donc pas d'incident sombre tapi dans mon passé qui pourrait expliquer ce dégoût. Je n'ai pas été maltraitée ni abusée, je n'ai jamais été forcée à avoir des rapports sexuels contre ma volonté", ajoute-t-elle.
Mais elle "déteste le sexe. Et j'ai décidé de mettre un terme à cette torture. (...) Ma vie sexuelle est terminée." Elle ajoute: "Pourquoi devrais-je supporter ça ? Simplement pour rendre les gens heureux?"
Elle pense que cela ne changera pas. "J'aurais aimé que ce ne soit pas le cas. Ma tragédie est que j'aimerais être "normale". J'ai besoin de la compagnie d'un homme. J'aimerais me marier, avoir une maison, profiter de ce confort... Je veux aimer et être aimée. Je ne trouve pas les hommes odieux. Au contraire, j'apprécie leur physique et leur compagnie. J'aime faire des câlins, embrasser ne me dérange pas et j'aspire à de l'affection, mais rien de plus. (...) Alors, je me suis résignée."