Depuis quelques temps, des caciques du parti démocratique sont montés au créneau pour exiger la tenue des législatives à date échue, c'est-à-dire au mois de juin. Le président du groupe parlementaire libéral et démocratique est le porte drapeau de ce combat que mène le parti démocratique Sénégal pour le respect du calendrier républicain. « Le Parti démocratique sénégalais n’acceptera pas le report des élections législative et par conséquent exige le respect du calendrier républicain », a exigé Doudou Wade en visite à Touba.
Le député libéral n’a pas fait cette déclaration pour donner de la matière à traiter aux journalistes. Loin de là. La sortie du neveu de Wade cache mal une stratégie des libéraux d’échapper aux filets de Macky Sall qui a annoncé des audits contre tous ceux qui ont à gérer des deniers publics. « Les audits annoncés par le nouveau président a installé la panique dans le camp des libéraux. Et comme ils n’ont pas été très orthodoxes dans la gestion des deniers publics, tout ce qui leur reste, c’est de tout faire pour se retrouver à l’Assemblée nationale qui leur permettra d’avoir une immunité parlementaire. Dans ce cas, des poursuites judiciaires leur seront épargnées. En tout cas, durant tout leur magistère au parlement », confie à Setal.net un observateur averti de la scène politique.
Une analyse qui est corroborée par les déclarations du chef de l’Etat qui a enfilé sa toge d’avocat à Tivaouane pour défendre son fils Karim Wade. « Karim n’ira, lui aussi, nulle part, il restera dans le pays. Même si des gens qui n’ont rien compris se mettent à parler, Karim n’a jamais rien géré. Ce n’est parce qu’on est ministre qu’on doit gérer de l’argent. Il n’a aucun statut lui permettant de gérer tel ou tel autre fonds », plaidait le président sortant. Des déclarations tous azimuts qui renseignent sur la peur panique du clan Wade qui ne font que confirmer l’adage qui dit « qui s’excuse, s’accuse ». S’ils n’ont rien à se reprocher, pourquoi cette précipitation ? C'est là toute la question...
Le député libéral n’a pas fait cette déclaration pour donner de la matière à traiter aux journalistes. Loin de là. La sortie du neveu de Wade cache mal une stratégie des libéraux d’échapper aux filets de Macky Sall qui a annoncé des audits contre tous ceux qui ont à gérer des deniers publics. « Les audits annoncés par le nouveau président a installé la panique dans le camp des libéraux. Et comme ils n’ont pas été très orthodoxes dans la gestion des deniers publics, tout ce qui leur reste, c’est de tout faire pour se retrouver à l’Assemblée nationale qui leur permettra d’avoir une immunité parlementaire. Dans ce cas, des poursuites judiciaires leur seront épargnées. En tout cas, durant tout leur magistère au parlement », confie à Setal.net un observateur averti de la scène politique.
Une analyse qui est corroborée par les déclarations du chef de l’Etat qui a enfilé sa toge d’avocat à Tivaouane pour défendre son fils Karim Wade. « Karim n’ira, lui aussi, nulle part, il restera dans le pays. Même si des gens qui n’ont rien compris se mettent à parler, Karim n’a jamais rien géré. Ce n’est parce qu’on est ministre qu’on doit gérer de l’argent. Il n’a aucun statut lui permettant de gérer tel ou tel autre fonds », plaidait le président sortant. Des déclarations tous azimuts qui renseignent sur la peur panique du clan Wade qui ne font que confirmer l’adage qui dit « qui s’excuse, s’accuse ». S’ils n’ont rien à se reprocher, pourquoi cette précipitation ? C'est là toute la question...