Le gouvernement américain, à travers ses agences, va soutenir le Sénégal dans sa politique de prévention des maladies infectieuses comme le virus Ebola.
Les Etats-Unis d’Amérique ont réaffirmé leur engagement à poursuivre leurs efforts visant à prévenir, détecter et répondre aux maladies infectieuses comme le virus Ebola au Sénégal. Ils l’ont fait savoir au cours d’un atelier tenu les 20 et 21 janvier 2016, dans le cadre du Programme de sécurité sanitaire mondiale (Ghsa) dirigé par les Etats-Unis et placé sous l’égide de la Primature. Selon un communiqué du Service de presse de l’ambassade des Etats-Unis au Sénégal, le gouvernement américain fournira à notre pays jusqu’à 40 millions de dollars pour le renforcement de la capacité du Sénégal à prévenir les maladies infectieuses humaines et animales au cours des trois prochaines années.
« Le Ghsa est un effort des pays, des organisations internationales et de la société civile pour accélérer les progrès vers un monde sûr et sécurisé contre les menaces de maladies infectieuses », mentionne-t-on dans la note de l’ambassade des Usa au Sénégal. Il fait aussi de la promotion de « la sécurité sanitaire mondiale une priorité internationale » afin de susciter une réaction rapide contre les menaces biologiques, qu’elles soient naturelles, intentionnelles ou accidentelles.
A travers ce programme, les Etats-Unis se sont engagés à aider au moins 30 pays, dont le Sénégal, à atteindre tous les objectifs du Programme d’action pour la sécurité sanitaire mondiale à la fin de l’année 2019 et à investir plus d’un milliard de dollars dans les ressources, indique-t-on dans le communiqué.
« Cette année, le Centre américain de prévention et de contrôle des maladies (Cdc) fournira 1.550.000 dollars à travers l’assistance technique, la formation et les subventions directes au ministère de la Santé et de l’Action sociale ainsi qu’à d’autres organisations ». L’objectif étant de renforcer la capacité du Sénégal en matière de systèmes de laboratoires, de surveillance, de renforcement des capacités, de gestion de l’information, de déclaration et de réponses d’urgence. Ce soutien va également « renforcer la capacité des autorités sanitaires à détecter et à répondre rapidement aux épidémies de maladies infectieuses et à aider à se conformer davantage au règlement sanitaire international ».
L’Usaid, dans le cadre de son engagement à travers le Ghsa, va appuyer, pour un montant total de 18 millions de dollars en assistance technique et opérationnelle, le gouvernement du Sénégal au cours des trois prochaines années. Elle s’est associée au ministère de la Santé pour renforcer les capacités dans certains domaines comme la vaccination, la santé maternelle et infantile, le paludisme et la planification familiale.
« A travers ce nouveau partenariat, l’Usaid va multiplier ses partenariats en matière de santé pour inclure les ministères de l’Elevage et de l’Environnement ; ce qui reflète un plus grand engagement à une approche multisectorielle « One Health » pour prévenir de futures menaces d’épidémies, qu’elles proviennent de l’homme, du bétail ou d’animaux sauvages », fait-on savoir dans le communiqué.
Les Etats-Unis d’Amérique ont réaffirmé leur engagement à poursuivre leurs efforts visant à prévenir, détecter et répondre aux maladies infectieuses comme le virus Ebola au Sénégal. Ils l’ont fait savoir au cours d’un atelier tenu les 20 et 21 janvier 2016, dans le cadre du Programme de sécurité sanitaire mondiale (Ghsa) dirigé par les Etats-Unis et placé sous l’égide de la Primature. Selon un communiqué du Service de presse de l’ambassade des Etats-Unis au Sénégal, le gouvernement américain fournira à notre pays jusqu’à 40 millions de dollars pour le renforcement de la capacité du Sénégal à prévenir les maladies infectieuses humaines et animales au cours des trois prochaines années.
« Le Ghsa est un effort des pays, des organisations internationales et de la société civile pour accélérer les progrès vers un monde sûr et sécurisé contre les menaces de maladies infectieuses », mentionne-t-on dans la note de l’ambassade des Usa au Sénégal. Il fait aussi de la promotion de « la sécurité sanitaire mondiale une priorité internationale » afin de susciter une réaction rapide contre les menaces biologiques, qu’elles soient naturelles, intentionnelles ou accidentelles.
A travers ce programme, les Etats-Unis se sont engagés à aider au moins 30 pays, dont le Sénégal, à atteindre tous les objectifs du Programme d’action pour la sécurité sanitaire mondiale à la fin de l’année 2019 et à investir plus d’un milliard de dollars dans les ressources, indique-t-on dans le communiqué.
« Cette année, le Centre américain de prévention et de contrôle des maladies (Cdc) fournira 1.550.000 dollars à travers l’assistance technique, la formation et les subventions directes au ministère de la Santé et de l’Action sociale ainsi qu’à d’autres organisations ». L’objectif étant de renforcer la capacité du Sénégal en matière de systèmes de laboratoires, de surveillance, de renforcement des capacités, de gestion de l’information, de déclaration et de réponses d’urgence. Ce soutien va également « renforcer la capacité des autorités sanitaires à détecter et à répondre rapidement aux épidémies de maladies infectieuses et à aider à se conformer davantage au règlement sanitaire international ».
L’Usaid, dans le cadre de son engagement à travers le Ghsa, va appuyer, pour un montant total de 18 millions de dollars en assistance technique et opérationnelle, le gouvernement du Sénégal au cours des trois prochaines années. Elle s’est associée au ministère de la Santé pour renforcer les capacités dans certains domaines comme la vaccination, la santé maternelle et infantile, le paludisme et la planification familiale.
« A travers ce nouveau partenariat, l’Usaid va multiplier ses partenariats en matière de santé pour inclure les ministères de l’Elevage et de l’Environnement ; ce qui reflète un plus grand engagement à une approche multisectorielle « One Health » pour prévenir de futures menaces d’épidémies, qu’elles proviennent de l’homme, du bétail ou d’animaux sauvages », fait-on savoir dans le communiqué.