SETAL.NET - C’est le quotidien l’As qui donne l’information. En effet, ils sont des centaines de prisonniers logés au Cap Manuel qui doivent se passer de petit-déjeuner. Et ce, tenez vous bien, depuis deux mois. Ces détenus qui sont abandonnés par les leurs, sont obligés d’attendre le déjeuner pour rompre le jeûne qu’on leur a imposé.
L’administration pénitentiaire qui a été câblée pour donner une explication sur cette situation on ne peut plus alarmante, n’a pas su convaincre. Si les uns ont parlé de retard de la mise en place en place du budget 2013, d’autres doutent de la véracité de cette information. Toujours est-il que les prisonniers qui sont déjà privés de liberté doivent céder aux caprices de la faim.
L’administration pénitentiaire qui a été câblée pour donner une explication sur cette situation on ne peut plus alarmante, n’a pas su convaincre. Si les uns ont parlé de retard de la mise en place en place du budget 2013, d’autres doutent de la véracité de cette information. Toujours est-il que les prisonniers qui sont déjà privés de liberté doivent céder aux caprices de la faim.