Une proposition de loi allant dans le sens d’interdire aux ministres, directeurs généraux et parlementaires de parrainer des soirées de gala ou autres manifestations culturelles est en gestation. Ce qui n’a pas eu l’heur de plaire aux acteurs culturels.
Le promoteur de lutte, par ailleurs président du club de foot « Ndiambour de Louga », parle de « faux débat ». Pis, Gaston Mbengue croit savoir que les députés n’ont pas le niveau requis pour exercer pleinement leur fonction d’où sa proposition de voter une loi qui permettrait de mettre hors d’état de nuire les incultes.
Quant à Moise Ambroise Gomis, il est d’avis qu’une telle proposition de loi ne fait que conforter la thèse selon laquelle les députés ne s’occupent pas du fond. « Ces parrainages n’apportent qu’une infime portion d’argent….», ajoute-t-il. Revenant à la charge, il précise que l’argent qui est distribué lors des cérémonies n’est pas celui du contribuable.
De son coté, le chanteur Abdou Guité Seck a failli s’arracher les cheveux. À l’en croire, l’urgence est ailleurs. « (…) C’est plus sérieux de parler de la survie des artistes et de la culture que de parler des trucs de parrainages ‘ku am lula nekh bula néxé may kala nekh’ (libre à chacun d’offrir ce qu’il veut à qui il veut) », déplore l’artiste saint-louisiens qui menace de quitter la scène musicale si des ajustements ne sont pas apportés pour la survie des musiciens.
Le promoteur de lutte, par ailleurs président du club de foot « Ndiambour de Louga », parle de « faux débat ». Pis, Gaston Mbengue croit savoir que les députés n’ont pas le niveau requis pour exercer pleinement leur fonction d’où sa proposition de voter une loi qui permettrait de mettre hors d’état de nuire les incultes.
Quant à Moise Ambroise Gomis, il est d’avis qu’une telle proposition de loi ne fait que conforter la thèse selon laquelle les députés ne s’occupent pas du fond. « Ces parrainages n’apportent qu’une infime portion d’argent….», ajoute-t-il. Revenant à la charge, il précise que l’argent qui est distribué lors des cérémonies n’est pas celui du contribuable.
De son coté, le chanteur Abdou Guité Seck a failli s’arracher les cheveux. À l’en croire, l’urgence est ailleurs. « (…) C’est plus sérieux de parler de la survie des artistes et de la culture que de parler des trucs de parrainages ‘ku am lula nekh bula néxé may kala nekh’ (libre à chacun d’offrir ce qu’il veut à qui il veut) », déplore l’artiste saint-louisiens qui menace de quitter la scène musicale si des ajustements ne sont pas apportés pour la survie des musiciens.