La femme syndicaliste n’en n’est pour rien dans cette affaire de milliards. C’est plutôt un certain Massèye Ndiongue. Selon Libération, ce dernier est un proche des deux sœurs. En clair, ni Bakhao, encore moins Aida, sa sœur, ne sont propriétaire de l’Entreprise générale de fourniture et entretien divers(Egfed). « Du moins sur papier, moi !, non cette société ne m’appartient pas. Je suis une syndicaliste, je ne suis pas dans le business. Vous vous êtes trompés, et allez revoir votre source » avait clamé Bakhao au journal le Quotidien.
Selon le journal, après que les gendarmes ont débrouillé la piste jusqu’à trouver le véritable propriétaire, Massèye Diongue, on l’a auditionné discrètement. Un face-à-face au cours duquel le concerné a donné des réponses évasives aux enquêteurs.
Selon le journal, après que les gendarmes ont débrouillé la piste jusqu’à trouver le véritable propriétaire, Massèye Diongue, on l’a auditionné discrètement. Un face-à-face au cours duquel le concerné a donné des réponses évasives aux enquêteurs.