D’après « Le Soleil », le ministre de l’Economie numérique et des Télécommunications, Yankhoba Diattara déclare : « le Sénégal s’est doté, en 2018, d’un arsenal juridique notamment la loi sur la protection des données à caractère personnel (LCDP) et d’une Commission des données personnelles (CDP) de manière à garantir un niveau de protection adéquat. Et c’est l’occasion de faire un état des lieux de la politique de protection des données et de ses perspectives au Sénégal ».
A l’en croire, la compliance, considérée comme l’ensemble de processus et de démarches mises en œuvre en interne par les entreprises pour garantir l’absence de violation de la loi, dans la protection des données personnelles et issue de la Common Law applicable au droit des affaires, ne s’est développée dans les pays outre Atlantique que dans les années 1990.
’’A cet égard, relativement au numérique, en posant ce débat qui se poursuit encore en Europe, le Sénégal se présente en précurseur sur le continent et anticipe sur la responsabilité de mise en place d’une législation historique mais également innovante compte tenu du dynamisme du secteur’ », a ajouté M. Diattara, soulignant, dans la foulée, que « nous devons adopter de nouvelles lois pour suivre le rythme de l’évolution numérique, mais aussi adopter la manière dont nous utilisons les institutions et les processus pour protéger efficacement les droits de l’homme et trouver le bon équilibre face à l’influence croissante des grandes entreprises axées sur les données ».
A l’en croire, la compliance, considérée comme l’ensemble de processus et de démarches mises en œuvre en interne par les entreprises pour garantir l’absence de violation de la loi, dans la protection des données personnelles et issue de la Common Law applicable au droit des affaires, ne s’est développée dans les pays outre Atlantique que dans les années 1990.
’’A cet égard, relativement au numérique, en posant ce débat qui se poursuit encore en Europe, le Sénégal se présente en précurseur sur le continent et anticipe sur la responsabilité de mise en place d’une législation historique mais également innovante compte tenu du dynamisme du secteur’ », a ajouté M. Diattara, soulignant, dans la foulée, que « nous devons adopter de nouvelles lois pour suivre le rythme de l’évolution numérique, mais aussi adopter la manière dont nous utilisons les institutions et les processus pour protéger efficacement les droits de l’homme et trouver le bon équilibre face à l’influence croissante des grandes entreprises axées sur les données ».