Mon ami, Decroix, alerte d’une menace de crise politique majeure qui guetterait le pays.
Et ceci, parce que le gouvernement s’évertue à mettre en place des conditions d’une organisation transparente et démocratique des prochaines élections tout en en assurant le respect des dispositions de la loi électorale.
Et c’est ce qu’on attend de lui!
La nature de nos institutions fait que l’élection du Président de la République ordonne la vie nationale et tout lui est soumis. Il nous faudrait éviter toute confusion qui pourrait entraîner l’altération de ce moment déterminant de la vie de notre nation.
Faire respecter la loi qui en exclu certains ne saurait être facteur de crise.
Créer les conditions pour une protection de l’élection du Président de la République en écartant toutes velléités de la pervertir, de la galvauder et de la soumettre à des échéances qui n’ont rien à voir avec celles du pays, ne saurait constituer un facteur de crise.
Éviter au pays l’influence négative de certaines forces occultes et lobby de tous bord de s’immiscer dans le jeu électoral, par la force de l’argent, ne saurait constituer un facteur de crise.
Certains ont montré la voie en contournant la procédure normale de constitution d’un parti politique en dédommagent un entrepreneur politique qui leur a cédé son récépissé.
C’est cette intrusion de ces forces que le gouvernement a empêché et il est dans son rôle de préserver la prééminence de l’élection du Président de la République.
ALORS, QUI EST EN CRISE ?
Mon ami Decroix est bien outillé pour lire les situations avec des éléments de crise. C’est certainement, le leadership naissant qu’il cherche à exercer dans l’opposition qui justifie son positionnement.
Et il a raison ! Et il sait parfaitement que les éléments de crise sont à chercher dans l’opposition.
Comment comprendre que des forces politiques qui postulent à la direction du pays se désintéressent totalement des préoccupations des populations et de ce qu’elles vivent ? Quel est le supposé leader qui s’est ému des difficultés récentes des éleveurs ?
Y’a-t-il parmi eux qui se sont exprimés par rapport à la préparation de la campagne agricole. S’en préoccupent t’ils d’ailleurs?
Cette opposition est-elle dans la dynamique de contribuer à trouver des réponses aux difficultés du moment ? Elle dira que c’est pas son rôle !
Alors, ne pas perturber le gouvernement qui cherche à protéger les populations des effets de l’augmentation du coût du pétrole, en empêchant depuis un an sa répercussion sur le prix du carburant à la pompe et sur l’électricité sachant que cela coûte un peu plus de 100 milliards de nos francs !
Que dire des coûteuses mais utiles politiques destinées à la réduction de la fracture sociale et de l’éradication des inégalités entre couches de la populations ?
Que dire de l’importance des projets en cours de finalisation qui ont vocation à propulser le pays en avant et de le préparer pour le futur ?
Voici cités quelques éléments qui configurent la vie de notre nation mais qui, apparemment, ne présentent aucun intérêt pour l’opposition. À la place, elle tente de concentrer l’attention sur des cas d’individus en mal avec la justice au détriment de l’égalité des citoyens devant la loi.
Cette opposition ne parvient pas à s’accorder sur un minimum programmatique qui aurait pu constituer un socle pour un début d’unité. Elle se caractérise par une dispersion dans ses choix politiques et organisationnels ( multiplicité d’organes sans objets ) et division dans les objectifs politiques. De fait, elle constitue un conglomérat d’ambitions divergentes, qui ne s’accorde que contre le président et sur des bases subjectives.
Leur dernière mobilisation a démontré à l’opinion leur immaturité et incapacité à offrir au pays une perspective unifiante. Elle est apparue comme une somme d’intérêts divergents que tout sépare et, préoccupés par leur sort individuel.
Donc c’est à ce niveau qu’il faudrait chercher les éléments de crise, pas dans la situation économique, sociale et/ou politique du pays.
Retenez, vous qui chercher une chimère de crise que le gouvernement va :
Continuer à œuvrer dans le sens de la prise en charge des préoccupations des populations et travailler à écourter les délais par rapport à certaines urgences sociales dont l'eau en particulier :
Continuer à asseoir les bases solides de la poursuite des politiques humanistes qui améliorent la condition humaine ;
Toujours travailler à assurer des conditions démocratiques et transparentes des futures élections, sans pression aucune ;
Affiner son organisation pour une meilleure diffusion des acquis de la gouvernance Macky SALL :
S'ouvrir davantage à tous les segments de notre nation afin que tout le monde se sente concerné.
Enfin, et sur un tout autre point, notre parti, l’APR, doit comprendre que le Président n'a de compte à rendre qu'aux populations et doit lui faciliter la réussite de sa mission. Mais ne doit pas constituer une force de pression revendiquant la priorité de son attention au Président. Ce qui ne saurait être compréhensible.
Notre parti doit cesser de mesurer les acquis des politiques du Président sur lui et ses membres et doit s'abstenir d'être l'instrument d’expression, de fausses frustrations, d'entrepreneurs politiques qui ont pensé investir sur le Président dans l’attente d’hypothétiques dividendes. Il doit fondamentalement renouer avec l'enthousiasme qui l’a toujours caractérisé et reconstituer sa capacité de mobilisation et d'action.
Le 17/07/2018
Mahmoud saleh
Et ceci, parce que le gouvernement s’évertue à mettre en place des conditions d’une organisation transparente et démocratique des prochaines élections tout en en assurant le respect des dispositions de la loi électorale.
Et c’est ce qu’on attend de lui!
La nature de nos institutions fait que l’élection du Président de la République ordonne la vie nationale et tout lui est soumis. Il nous faudrait éviter toute confusion qui pourrait entraîner l’altération de ce moment déterminant de la vie de notre nation.
Faire respecter la loi qui en exclu certains ne saurait être facteur de crise.
Créer les conditions pour une protection de l’élection du Président de la République en écartant toutes velléités de la pervertir, de la galvauder et de la soumettre à des échéances qui n’ont rien à voir avec celles du pays, ne saurait constituer un facteur de crise.
Éviter au pays l’influence négative de certaines forces occultes et lobby de tous bord de s’immiscer dans le jeu électoral, par la force de l’argent, ne saurait constituer un facteur de crise.
Certains ont montré la voie en contournant la procédure normale de constitution d’un parti politique en dédommagent un entrepreneur politique qui leur a cédé son récépissé.
C’est cette intrusion de ces forces que le gouvernement a empêché et il est dans son rôle de préserver la prééminence de l’élection du Président de la République.
ALORS, QUI EST EN CRISE ?
Mon ami Decroix est bien outillé pour lire les situations avec des éléments de crise. C’est certainement, le leadership naissant qu’il cherche à exercer dans l’opposition qui justifie son positionnement.
Et il a raison ! Et il sait parfaitement que les éléments de crise sont à chercher dans l’opposition.
Comment comprendre que des forces politiques qui postulent à la direction du pays se désintéressent totalement des préoccupations des populations et de ce qu’elles vivent ? Quel est le supposé leader qui s’est ému des difficultés récentes des éleveurs ?
Y’a-t-il parmi eux qui se sont exprimés par rapport à la préparation de la campagne agricole. S’en préoccupent t’ils d’ailleurs?
Cette opposition est-elle dans la dynamique de contribuer à trouver des réponses aux difficultés du moment ? Elle dira que c’est pas son rôle !
Alors, ne pas perturber le gouvernement qui cherche à protéger les populations des effets de l’augmentation du coût du pétrole, en empêchant depuis un an sa répercussion sur le prix du carburant à la pompe et sur l’électricité sachant que cela coûte un peu plus de 100 milliards de nos francs !
Que dire des coûteuses mais utiles politiques destinées à la réduction de la fracture sociale et de l’éradication des inégalités entre couches de la populations ?
Que dire de l’importance des projets en cours de finalisation qui ont vocation à propulser le pays en avant et de le préparer pour le futur ?
Voici cités quelques éléments qui configurent la vie de notre nation mais qui, apparemment, ne présentent aucun intérêt pour l’opposition. À la place, elle tente de concentrer l’attention sur des cas d’individus en mal avec la justice au détriment de l’égalité des citoyens devant la loi.
Cette opposition ne parvient pas à s’accorder sur un minimum programmatique qui aurait pu constituer un socle pour un début d’unité. Elle se caractérise par une dispersion dans ses choix politiques et organisationnels ( multiplicité d’organes sans objets ) et division dans les objectifs politiques. De fait, elle constitue un conglomérat d’ambitions divergentes, qui ne s’accorde que contre le président et sur des bases subjectives.
Leur dernière mobilisation a démontré à l’opinion leur immaturité et incapacité à offrir au pays une perspective unifiante. Elle est apparue comme une somme d’intérêts divergents que tout sépare et, préoccupés par leur sort individuel.
Donc c’est à ce niveau qu’il faudrait chercher les éléments de crise, pas dans la situation économique, sociale et/ou politique du pays.
Retenez, vous qui chercher une chimère de crise que le gouvernement va :
Continuer à œuvrer dans le sens de la prise en charge des préoccupations des populations et travailler à écourter les délais par rapport à certaines urgences sociales dont l'eau en particulier :
Continuer à asseoir les bases solides de la poursuite des politiques humanistes qui améliorent la condition humaine ;
Toujours travailler à assurer des conditions démocratiques et transparentes des futures élections, sans pression aucune ;
Affiner son organisation pour une meilleure diffusion des acquis de la gouvernance Macky SALL :
S'ouvrir davantage à tous les segments de notre nation afin que tout le monde se sente concerné.
Enfin, et sur un tout autre point, notre parti, l’APR, doit comprendre que le Président n'a de compte à rendre qu'aux populations et doit lui faciliter la réussite de sa mission. Mais ne doit pas constituer une force de pression revendiquant la priorité de son attention au Président. Ce qui ne saurait être compréhensible.
Notre parti doit cesser de mesurer les acquis des politiques du Président sur lui et ses membres et doit s'abstenir d'être l'instrument d’expression, de fausses frustrations, d'entrepreneurs politiques qui ont pensé investir sur le Président dans l’attente d’hypothétiques dividendes. Il doit fondamentalement renouer avec l'enthousiasme qui l’a toujours caractérisé et reconstituer sa capacité de mobilisation et d'action.
Le 17/07/2018
Mahmoud saleh