La qualité et la performance des enseignements dans les universités africaines dans l’optique de les rendre plus compétitives tant au plan national qu’international, tel est le cheval de bataille de l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) et de l’Union Africaine (UA). Les questions au cœur d’un séminaire de 48 heures ouvert ce lundi et organisé par les deux parties, la rencontre a enregistré la participation des experts du monde universitaire venus des quatre (4) coins du monde pour passer au peigne fin le « management de la qualité dans les universités africaines par la gouvernance et l’évaluation ». Un volet sur lequel des actes ont été déjà posés selon le Directeur général de l’AUF, le Pr Jemaiel Ben Brahim qui dans son allocution de bienvenue ne pas manque pas d’énumérer les efforts consentis par les universités africaines notamment l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar pour placer le « Sénégal sur le registre des réformes ».
« C’est maintenant que nous devons travailler ensemble pour le renforcement des capacités de nos différentes universités », soutient-il tout en restant conscient du chemin à parcourir dans la quête de la qualité et des performances des universités africaines. Ce séminaire qui fait suite à celui tenu à l’Académie des Etudes Economiques de Bucarest (Roumanie)les 16 au 17 novembre dernier où trente-quatre (34) experts de 18 pays dont cinq (5) d’Afrique se sont penchés sur le thème de « la fin des classements ? De la compétition à la coopération universitaire », pousse le directeur de l’AUF d’affirmer qu’ « ici à Dakar nous souhaitons arroser l’arbre planté à Bucarest, nous souhaitons donner vie à une action panafricaine ». Ce, « dans le cadre du renforcement des capacités des universités africaines ».
L’UCAD qui s’est d’ores et déjà inscrite sur le registre des réformes en adoptant un plan stratégique de cinq (05) ans (2011-2016) en déclinant ses forces et faiblesses tant sur l’échiquier national qu’international, ce plan stratégique vise, selon le recteur, Saliou Ndiaye cinq (05) grands objectifs: La modernisation de la gouvernance universitaire, l’amélioration efficace interne, l’accroissement des actions de recherches, l’optimisation diversifiée des sources de financement, la gouvernance et l’amélioration du monde du travail au sein de l’Université.
Ce conclave de Dakar va permettre de bâtir une compréhension commune entre les participants, adaptée à l’Afrique, sur la base des orientations du séminaire de Bucarest. En plus définir également les prémices d’un projet africain pour la mise en œuvre des conclusions retenues par les participants, concernant toutes les régions du continent et à partir d’une démarche partenariale. Ce projet permettra l’accompagnement et l’évaluation des universités africaines, à leur demande, grâce à l’élaboration et au suivi de plans stratégiques d’établissements.
« C’est maintenant que nous devons travailler ensemble pour le renforcement des capacités de nos différentes universités », soutient-il tout en restant conscient du chemin à parcourir dans la quête de la qualité et des performances des universités africaines. Ce séminaire qui fait suite à celui tenu à l’Académie des Etudes Economiques de Bucarest (Roumanie)les 16 au 17 novembre dernier où trente-quatre (34) experts de 18 pays dont cinq (5) d’Afrique se sont penchés sur le thème de « la fin des classements ? De la compétition à la coopération universitaire », pousse le directeur de l’AUF d’affirmer qu’ « ici à Dakar nous souhaitons arroser l’arbre planté à Bucarest, nous souhaitons donner vie à une action panafricaine ». Ce, « dans le cadre du renforcement des capacités des universités africaines ».
L’UCAD qui s’est d’ores et déjà inscrite sur le registre des réformes en adoptant un plan stratégique de cinq (05) ans (2011-2016) en déclinant ses forces et faiblesses tant sur l’échiquier national qu’international, ce plan stratégique vise, selon le recteur, Saliou Ndiaye cinq (05) grands objectifs: La modernisation de la gouvernance universitaire, l’amélioration efficace interne, l’accroissement des actions de recherches, l’optimisation diversifiée des sources de financement, la gouvernance et l’amélioration du monde du travail au sein de l’Université.
Ce conclave de Dakar va permettre de bâtir une compréhension commune entre les participants, adaptée à l’Afrique, sur la base des orientations du séminaire de Bucarest. En plus définir également les prémices d’un projet africain pour la mise en œuvre des conclusions retenues par les participants, concernant toutes les régions du continent et à partir d’une démarche partenariale. Ce projet permettra l’accompagnement et l’évaluation des universités africaines, à leur demande, grâce à l’élaboration et au suivi de plans stratégiques d’établissements.
DIC : Placé en garde à vue, Lat Diop poursuivi pour détournement de deniers publics et…
