Je me demande comment une structure regroupant les plus grands journalistes du pays, financée par le contribuable à hauteur de millions, dotée des équipements les plus performants, peut se mettre à exécuter la plus médiocre des tâches ? Les plus acerbes pourraient être tentés de me dire que c’est un Directeur qui refuse la retraite qui est en train de jouer ses dernières cartes pour éviter celle de son Mentor. Si c’est la seule tâche pour laquelle il est maintenu, je peux vous assurer que même un étudiant cartouchard en premier année du CESTI aurait pu se rabaisser à sa hauteur.
Cette façon de faire du Directeur (et non de la télévision nationale, puisque la RTS regorge surement de professionnels pour qui éthique et déontologie signifient encore quelque chose) nous renvoie au Zaïre sous Mobutu. Véritablement, on assiste à une tentative maladroite de fabrication du consentement des sénégalais par une manipulation inintelligente avec des techniques démodées.
Comme il le dit : » Aucune loi n’interdit la diffusion de consignes de vote » mais la décence, la convenance, la déontologie journalistique et l’équité interdisent le passage en boucle à des fins de matraquage pour susciter l’adhésion. Les lauriers du prince qui nomme n’égalent pas l’estime du peuple.
En réalité, la faculté d’autodétermination de l’homosenegalensis est très sous-estimée et le pouvoir de la RTS très surestimé. Turbans entachés et cols blancs souillés l’apprendront tardivement. De la perception négative de la part du public sénégalais, la RTS est en train de tomber encore plus bas par la faute d’une poignée de retraités et de préretraités.
BADOU DIONE, Socioloque
leguelwaar@gmail.com
Cette façon de faire du Directeur (et non de la télévision nationale, puisque la RTS regorge surement de professionnels pour qui éthique et déontologie signifient encore quelque chose) nous renvoie au Zaïre sous Mobutu. Véritablement, on assiste à une tentative maladroite de fabrication du consentement des sénégalais par une manipulation inintelligente avec des techniques démodées.
Comme il le dit : » Aucune loi n’interdit la diffusion de consignes de vote » mais la décence, la convenance, la déontologie journalistique et l’équité interdisent le passage en boucle à des fins de matraquage pour susciter l’adhésion. Les lauriers du prince qui nomme n’égalent pas l’estime du peuple.
En réalité, la faculté d’autodétermination de l’homosenegalensis est très sous-estimée et le pouvoir de la RTS très surestimé. Turbans entachés et cols blancs souillés l’apprendront tardivement. De la perception négative de la part du public sénégalais, la RTS est en train de tomber encore plus bas par la faute d’une poignée de retraités et de préretraités.
BADOU DIONE, Socioloque
leguelwaar@gmail.com