Je suis frappé par leur manque de retenue. La peur, chez eux, prend les allures de la terreur. Désormais, ils sont prêts à tout. A tout, y compris les contrevérités. Y comprises les méthodes fascistes. Y compris la plongée dans les égouts pour chercher l’argument fourre-tout.
Attention, ils sont devenus dangereux.
Au départ, ils ont sorti de leur imagination déficitaire l’étonnante et inacceptable accusation d’ethnicisme. Les résultats du premier tour ont attesté de la capacité des Sénégalais à discerner le vrai du faux. Dakar, Kaolack, Nioro, Tamba, Mbour, Fatick, Thiès, entre autres, par les résultats qui y ont été enregistrés, donnent la preuve tangible de leur fourvoiement.
Alors, ils glissèrent de terrain.
Ce furent, ensuite, la désinformation et l’intoxication. Ils mirent dans la bouche d’un candidat, honteusement, des propos que ce dernier n’a jamais tenus sur les marabouts. Là aussi, ils n’ont pas eu de scrupule à recourir aux contrevérités. Les Sénégalais rejettent ces procédés ignobles. Leur quête pathétique de Ndiguël est vaine.
Alors, ils changèrent de fusil d’épaule. Ils pensèrent que la contrevérité grossie à souhait pouvait prospérer. Dans les esprits étroits des piètres stratèges de la défaite, fleurit l’inconscient de l’homosexualité ! L’opinion sait parfaitement que ces ‘communicants’ incompétents n’ont prouvé que l’ampleur de leur carence et l’extrême pauvreté de leur pensée. Car ils savent au moins, d’un savoir éprouvé, que le candidat qu’ils visent porte la lucidité de la manière la plus authentique.
Mais j’ai bien peur que les porteurs de la parole sans contenu sont des gens qui passent. Pas hélas des ‘animaux de luxe’ qui pensent.
Voilà donc les inconsolables wado-sceptiques réduits à chercher, dans la friperie argumentaire, les oripeaux de leurs espérances en lambeaux.
Rage ! Désespoir !
Où sont-ils, les héros des aubes difficiles ?
Où sont-ils, les clandestins des années 70 ?
Où sont-ils, les insurgés pacifiques du 19 mars 2000 ?
Où sont-ils, les manifestants inventifs du Sopi des années de braise ?
Ils sont devenus les Invisibles de leur propre histoire car de pseudo-intellectuels prébendiers les ont liquidés auprès du MAITRE.
Ils sont devenus les pestiférés du Parti démocratique car des politiciens insensibles à la constance les ont ‘clashés’ auprès du GRAND MAITRE.
Où sont-ils, les gardiens du rêve de la première alternance ?
Ils sont devenus les ombres d’eux-mêmes, déçus et désenchantés car des briseurs de songe, jadis, sont à présent les champions des batailles qu’ils n’ont jamais menées.
Rideaux !
La nouvelle alternance politique est en mouvement. Force et puissance. Bennoo Bokk Yakaar signe la présence de ce qui nous anime comme inspiration et aspiration : le souci du pays. Un illustre aîné me l’a régulièrement répété : ‘De nécessiteux, soyons nécessaires’ !
Enfin !
El Hadj Hamidou KASSE, Pôle Communication Bennoo Bokk Yaakaar
Attention, ils sont devenus dangereux.
Au départ, ils ont sorti de leur imagination déficitaire l’étonnante et inacceptable accusation d’ethnicisme. Les résultats du premier tour ont attesté de la capacité des Sénégalais à discerner le vrai du faux. Dakar, Kaolack, Nioro, Tamba, Mbour, Fatick, Thiès, entre autres, par les résultats qui y ont été enregistrés, donnent la preuve tangible de leur fourvoiement.
Alors, ils glissèrent de terrain.
Ce furent, ensuite, la désinformation et l’intoxication. Ils mirent dans la bouche d’un candidat, honteusement, des propos que ce dernier n’a jamais tenus sur les marabouts. Là aussi, ils n’ont pas eu de scrupule à recourir aux contrevérités. Les Sénégalais rejettent ces procédés ignobles. Leur quête pathétique de Ndiguël est vaine.
Alors, ils changèrent de fusil d’épaule. Ils pensèrent que la contrevérité grossie à souhait pouvait prospérer. Dans les esprits étroits des piètres stratèges de la défaite, fleurit l’inconscient de l’homosexualité ! L’opinion sait parfaitement que ces ‘communicants’ incompétents n’ont prouvé que l’ampleur de leur carence et l’extrême pauvreté de leur pensée. Car ils savent au moins, d’un savoir éprouvé, que le candidat qu’ils visent porte la lucidité de la manière la plus authentique.
Mais j’ai bien peur que les porteurs de la parole sans contenu sont des gens qui passent. Pas hélas des ‘animaux de luxe’ qui pensent.
Voilà donc les inconsolables wado-sceptiques réduits à chercher, dans la friperie argumentaire, les oripeaux de leurs espérances en lambeaux.
Rage ! Désespoir !
Où sont-ils, les héros des aubes difficiles ?
Où sont-ils, les clandestins des années 70 ?
Où sont-ils, les insurgés pacifiques du 19 mars 2000 ?
Où sont-ils, les manifestants inventifs du Sopi des années de braise ?
Ils sont devenus les Invisibles de leur propre histoire car de pseudo-intellectuels prébendiers les ont liquidés auprès du MAITRE.
Ils sont devenus les pestiférés du Parti démocratique car des politiciens insensibles à la constance les ont ‘clashés’ auprès du GRAND MAITRE.
Où sont-ils, les gardiens du rêve de la première alternance ?
Ils sont devenus les ombres d’eux-mêmes, déçus et désenchantés car des briseurs de songe, jadis, sont à présent les champions des batailles qu’ils n’ont jamais menées.
Rideaux !
La nouvelle alternance politique est en mouvement. Force et puissance. Bennoo Bokk Yakaar signe la présence de ce qui nous anime comme inspiration et aspiration : le souci du pays. Un illustre aîné me l’a régulièrement répété : ‘De nécessiteux, soyons nécessaires’ !
Enfin !
El Hadj Hamidou KASSE, Pôle Communication Bennoo Bokk Yaakaar