Les mouvements de grèves ponctués de violence notés ces derniers temps, dans nos universités, sont le reflet de tâtonnements et d’improvisation de la part des autorités universitaires et politiques.
Il va de soi que le système de fonctionnement de nos universités doit être reformé pour répondre aux standards de haut niveau; ce qui a toujours été le credo de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar et des autres institutions de l’Enseignement Supérieur public.
Malheureusement, les décisions hâtives de reformes prises par les autorités et leur mise en œuvre, sans concertation dynamique avec les étudiants, ont engendré des perturbations dans le déroulement des enseignements. Pour faire face aux revendications légitimes des étudiants, l’Etat n’a trouvé comme solution que l’envahissement des campus académiques et social par les forces de l’ordre. Ce qui est inacceptable.
Les reformes liées à la situation des bourses, de l’inscription au Master sont entre autres, d’une importance telle que l’Etat et les autorités académiques doivent prendre le recul nécessaire et engager une concertation véritable qui impliquerait pleinement les étudiants et les enseignants.
Le salut de l’université est à ce prix et non à la violence.
Au-delà de ce constat très alarmant, il y a lieu de le relever pour s’en inquiéter, les récentes fuites dénoncées dans l’organisation du baccalauréat, le 1er diplôme universitaire.
Le système éducatif sénégalais traverse une crise sans précédent et il urge pour tous ses acteurs, de se retrouver autour d’une table pour réfléchir sur les solutions les plus appropriées afin de sauver l’école sénégalaise.
Borso Tall, Présidente Fondatrice du Réseau
Young Advocates for Human Rights-YAHR
yahr.221@gmail.com
Tel: +221 77 481 66 71
Réseaux Sociaux:
https://twitter.com/YAHR_AFRICA
https://www.facebook.com/YahrSenegal/
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Malheureusement, les décisions hâtives de reformes prises par les autorités et leur mise en œuvre, sans concertation dynamique avec les étudiants, ont engendré des perturbations dans le déroulement des enseignements. Pour faire face aux revendications légitimes des étudiants, l’Etat n’a trouvé comme solution que l’envahissement des campus académiques et social par les forces de l’ordre. Ce qui est inacceptable.
Les reformes liées à la situation des bourses, de l’inscription au Master sont entre autres, d’une importance telle que l’Etat et les autorités académiques doivent prendre le recul nécessaire et engager une concertation véritable qui impliquerait pleinement les étudiants et les enseignants.
Le salut de l’université est à ce prix et non à la violence.
Au-delà de ce constat très alarmant, il y a lieu de le relever pour s’en inquiéter, les récentes fuites dénoncées dans l’organisation du baccalauréat, le 1er diplôme universitaire.
Le système éducatif sénégalais traverse une crise sans précédent et il urge pour tous ses acteurs, de se retrouver autour d’une table pour réfléchir sur les solutions les plus appropriées afin de sauver l’école sénégalaise.
Borso Tall, Présidente Fondatrice du Réseau
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