QUI VEUT NOYER SON CHIEN L’ACCUSE DE RAGE DIT L’ADAGE
LES FAITS :
Des agents de l’Etat assermentés sur une information procèdent à une saisie de stupéfiants dans un bureau et naturellement dressent procès verbal contre le propriétaire du bureau.
Ce dernier plus tard les aurait accusés d’avoir voulu lui extorquer de l’argent.
Des employés de la personne mise en cause auraient admis avoir, sur instigation d’une tierce personne, caché les stupéfiants dans le bureau du mis en cause.
Cette tierce personne serait aussi l’informateur des agents de l’Etat.
QUESTIONS ?
Quelle preuve contre les agents de l’Etat sinon les déclarations d’une personne impliquée dans une détention de stupéfiants ?
Quelle est la valeur des aveux des employés par rapport aux agents de l’Etat ?
L’informateur a-t-il une fois avoué autre chose que d’avoir informé les agents ?
Qu’en est il de l’infraction constatée par les agents qui semble être totalement occultée puisque le mis en cause n’est pas jugé à l’heure où lesdits agents ont déjà une date de comparution en flagrant délit ?
Une procédure d’inscription de faux a-t-elle été entreprise contre le procès verbal des agents pour en contester le contenu ou bien les dispositions du code des douanes son-elles quantité négligeable aux yeux de certains agents et auxiliaires de la justice ? Peut être faut il rappeler que ledit code est aussi une loi de l’Etat et qu’étant une loi particulière, elle a vocation à s’appliquer quant elle est en conflit avec des lois dites générales.
.
Comment inculper les agents d’association de malfaiteurs sur la seule dénonciation du mis en cause ?
Le « statut social », entendons la fortune déclarée par partout doit elle primer sur le statut des agents ?
Faut-il pour « sortir » quelqu’un d’une accusation portant sur des stupéfiants, c’est à dire ne souffrant aucune transaction possible mettre en mal des agents de l’Etat et par extension tout un corps et définitive l’Etat lui-même ?
N’est il pas plus dangereux pour l’image de l’Etat de donner l’impression de combattre un trafiquant quel qu’il soit, que de laisser entendre que ses propres agents mis à contribution pour lutter contre les fléaux sont des « ripoux ».
Quelle garantie pour les agents de l’Etat s’ils sont sous la menace de n’importe quelle dénonciation venant des personnes contre lesquelles ils agissent ?
Faut-il les accuser d’être enragés pour pouvoir non seulement les noyer, mais surtout sauvegarder un « puissant ».
Quelle belle leçon donnée aux jeunes ! Que de vocations de servir l’Etat et veiller sur la sécurité, l'économie nationale et la santé publique vont-elles être remises en cause !
CELA MERITE REFLEXION
LES FAITS :
Des agents de l’Etat assermentés sur une information procèdent à une saisie de stupéfiants dans un bureau et naturellement dressent procès verbal contre le propriétaire du bureau.
Ce dernier plus tard les aurait accusés d’avoir voulu lui extorquer de l’argent.
Des employés de la personne mise en cause auraient admis avoir, sur instigation d’une tierce personne, caché les stupéfiants dans le bureau du mis en cause.
Cette tierce personne serait aussi l’informateur des agents de l’Etat.
QUESTIONS ?
Quelle preuve contre les agents de l’Etat sinon les déclarations d’une personne impliquée dans une détention de stupéfiants ?
Quelle est la valeur des aveux des employés par rapport aux agents de l’Etat ?
L’informateur a-t-il une fois avoué autre chose que d’avoir informé les agents ?
Qu’en est il de l’infraction constatée par les agents qui semble être totalement occultée puisque le mis en cause n’est pas jugé à l’heure où lesdits agents ont déjà une date de comparution en flagrant délit ?
Une procédure d’inscription de faux a-t-elle été entreprise contre le procès verbal des agents pour en contester le contenu ou bien les dispositions du code des douanes son-elles quantité négligeable aux yeux de certains agents et auxiliaires de la justice ? Peut être faut il rappeler que ledit code est aussi une loi de l’Etat et qu’étant une loi particulière, elle a vocation à s’appliquer quant elle est en conflit avec des lois dites générales.
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Comment inculper les agents d’association de malfaiteurs sur la seule dénonciation du mis en cause ?
Le « statut social », entendons la fortune déclarée par partout doit elle primer sur le statut des agents ?
Faut-il pour « sortir » quelqu’un d’une accusation portant sur des stupéfiants, c’est à dire ne souffrant aucune transaction possible mettre en mal des agents de l’Etat et par extension tout un corps et définitive l’Etat lui-même ?
N’est il pas plus dangereux pour l’image de l’Etat de donner l’impression de combattre un trafiquant quel qu’il soit, que de laisser entendre que ses propres agents mis à contribution pour lutter contre les fléaux sont des « ripoux ».
Quelle garantie pour les agents de l’Etat s’ils sont sous la menace de n’importe quelle dénonciation venant des personnes contre lesquelles ils agissent ?
Faut-il les accuser d’être enragés pour pouvoir non seulement les noyer, mais surtout sauvegarder un « puissant ».
Quelle belle leçon donnée aux jeunes ! Que de vocations de servir l’Etat et veiller sur la sécurité, l'économie nationale et la santé publique vont-elles être remises en cause !
CELA MERITE REFLEXION