SETAL.NET-Abdoulaye Wade discrédité depuis le 23 juin dernier et définitivement et clairement remercié le 25 mars dernier continue d’alimenter les débats. Entre le vol de voitures (on parle de 600 véhicules disparus) au parc automobile de la Présidence qui a contraint le Président Macky Sall et ses collaborateurs en visite à Touba hier à se rabattre sur leurs véhicules personnels, la disparition de 8 milliards du crédit indien pour l’électrification rurale dont la moitié n’a pas été utilisée, le vol de matériels audiovisuel à la Présidence après son départ, l’attribution de la 4e licence de téléphonie mobile, Abdoulaye Wade se distingue négativement après son régime libéral dénotant de bonne gouvernance, de pertinence et d’efficacité.
En effet, le Palais de la République a été complètement vidé après le départ du prédécesseur de Macky Sall. Après avoir mis tout le parc automobile de la Présidence à la disposition et à l’usage exclusif de ses déplacements, Abdoulaye Wade a tout bonnement immatriculé tous les véhicules à son nom. Ces mêmes véhicules ont même disparu de la Présidence avant qu’Abdoulaye Wade ne quitte le Palais.
Mais le scandale qui défraie le plus la chronique, c’est bien les 8 milliards qui se sont volatilisés. Ces presque 15 millions de dollars représentant un crédit indien pour l’électrification rurale ont disparu de la nature, la moitié de cet argent n’a même pas été utilisée.
Pour couronner le tout, Abdoulaye Wade est soupçonné en plus de faire disparaitre du matériel de valeur aussi bien au Palais Présidentiel que dans un grand hôtel de la place, d’avoir emporté des objets datant de l’époque coloniale ou ayant appartenu à Léopold Sédar Senghor et à Abdou Diouf.
Pour ce qui est de l’attribution de la 4e licence de téléphonie mobile inscrite sur la liste de ce que certains appellent « la plus grande nébuleuse jamais orchestrée au Sénégal », les règles de bonne gouvernance et de transparence dans la passation ont été les grandes absentes. Pour cause, Abdoulaye Wade avait octroyé la licence à une société anonyme dénommée Mtl sans l’aval du code des marchés dont l’autorité n’était même pas au courant de l’affaire.
Le vol du matériel audiovisuel de la Présidence ne fera qu’allonger la longue liste de la confiscation de matériels, d’objets ou d’outils appartenant au Sénégal et point à Abdoulaye Wade comme a laissé entendre, Ali Faye, photographe du Président déchu.
En effet, le Palais de la République a été complètement vidé après le départ du prédécesseur de Macky Sall. Après avoir mis tout le parc automobile de la Présidence à la disposition et à l’usage exclusif de ses déplacements, Abdoulaye Wade a tout bonnement immatriculé tous les véhicules à son nom. Ces mêmes véhicules ont même disparu de la Présidence avant qu’Abdoulaye Wade ne quitte le Palais.
Mais le scandale qui défraie le plus la chronique, c’est bien les 8 milliards qui se sont volatilisés. Ces presque 15 millions de dollars représentant un crédit indien pour l’électrification rurale ont disparu de la nature, la moitié de cet argent n’a même pas été utilisée.
Pour couronner le tout, Abdoulaye Wade est soupçonné en plus de faire disparaitre du matériel de valeur aussi bien au Palais Présidentiel que dans un grand hôtel de la place, d’avoir emporté des objets datant de l’époque coloniale ou ayant appartenu à Léopold Sédar Senghor et à Abdou Diouf.
Pour ce qui est de l’attribution de la 4e licence de téléphonie mobile inscrite sur la liste de ce que certains appellent « la plus grande nébuleuse jamais orchestrée au Sénégal », les règles de bonne gouvernance et de transparence dans la passation ont été les grandes absentes. Pour cause, Abdoulaye Wade avait octroyé la licence à une société anonyme dénommée Mtl sans l’aval du code des marchés dont l’autorité n’était même pas au courant de l’affaire.
Le vol du matériel audiovisuel de la Présidence ne fera qu’allonger la longue liste de la confiscation de matériels, d’objets ou d’outils appartenant au Sénégal et point à Abdoulaye Wade comme a laissé entendre, Ali Faye, photographe du Président déchu.
Maguette Sène : «Je n’ai pas démissionné de l’Apr»
