Selon certains étudiants interrogés par Pressafrik.com, il y avait des aliments de 2002 dont la date de péremption a été changée par le marqueur avec la date de 2012. « Dans les conteneurs frigorifiques on a découvert des produits de 2002. Et ils (autorités du Coud) ont changé la date de péremption en mettant 2012 à la place de 2002. C’est inacceptable et désastreux », martèle un étudiant.
Parmi les produits saisis par les étudiants irrités, on peut citer : du poisson, des légumes, et d’autres produits périssables et périmés. Autour de ces aliments déversés à même le sol, les curieux et autres personnes, sans oublier les journalistes, tant bien que mal de satisfaire leurs besoins.
De l’autre côté, c'est-à-dire à l’entrée de l’Ucad, certains étudiants font face aux forces de l’ordre pour manifester, selon eux, « leur ras-le-bol ». Pour l’heure, aucune autorité du Centre des œuvres universitaires de Dakar (Coud) n’a fait signe de vie. Et même la sécurité du Coud qui est omniprésent dans toutes les manifestations du campus est complètement absente sur le terrain. Ce sont les étudiants qui font la loi au campus. Les forces de l’ordre n’ont pas le droit (selon une loi non écrite) d’accéder au sein du campus. Leur tir de grenade lacrymogène se limite qu’à l’entrée de l’Ucad, précisément sur l’avenue « Cheikh Anta Diop ».
Il faut tout de même rappeler que les étudiants ne sont pas leur première découverte d’aliments périmés dans les conteneurs frigorifiques des différents restaurants du campus. Et malgré ces découvertes d’aliments pourris, aucune enquête ou sanction n’est jamais à la hauteur des attentes des étudiants. Par finit, « c’est devenu un rituel », selon un jeune étudiant.
Parmi les produits saisis par les étudiants irrités, on peut citer : du poisson, des légumes, et d’autres produits périssables et périmés. Autour de ces aliments déversés à même le sol, les curieux et autres personnes, sans oublier les journalistes, tant bien que mal de satisfaire leurs besoins.
De l’autre côté, c'est-à-dire à l’entrée de l’Ucad, certains étudiants font face aux forces de l’ordre pour manifester, selon eux, « leur ras-le-bol ». Pour l’heure, aucune autorité du Centre des œuvres universitaires de Dakar (Coud) n’a fait signe de vie. Et même la sécurité du Coud qui est omniprésent dans toutes les manifestations du campus est complètement absente sur le terrain. Ce sont les étudiants qui font la loi au campus. Les forces de l’ordre n’ont pas le droit (selon une loi non écrite) d’accéder au sein du campus. Leur tir de grenade lacrymogène se limite qu’à l’entrée de l’Ucad, précisément sur l’avenue « Cheikh Anta Diop ».
Il faut tout de même rappeler que les étudiants ne sont pas leur première découverte d’aliments périmés dans les conteneurs frigorifiques des différents restaurants du campus. Et malgré ces découvertes d’aliments pourris, aucune enquête ou sanction n’est jamais à la hauteur des attentes des étudiants. Par finit, « c’est devenu un rituel », selon un jeune étudiant.