Dans son édition du 22 mars 2013, le nouvel observateur rapporte que Amina Tyler, femen tunisienne est portée disparue depuis quelques jours déjà. Elle est injoignable et le mouvement annonce sur sa page Facebook qu’il s’inquiète et qu’il craint sérieusement pour la vie de la jeune fille. Depuis qu’elle a annoncé son intention de lancer les Femen en Tunisie en utilisant Internet, Amina s’est exposée à toutes les critiques et aux menaces. L’article rapporte l’appel lancé par Adel Almi pour la lapidation à mort de la jeune fille. Sur Twitter, les Femen appellent leurs militantes à manifester leur soutien à Amina dont les comptes Facebook et Skype sont inactifs depuis quatre jours.
Le magazine rapporte également que la journaliste et militante féministe Caroline Fourest appelle sur son blog à une journée de mobilisation pour la défense de Amina le 4 avril prochain et lance une pétition pour demander « que sa vie et la liberté soient protégées et ceux qui l’ont menacée immédiatement poursuivis ».
Sur sa page Facebook, la journaliste rapporte le témoignage d’une personne ayant vu Amina enlevée par son père et son frère qui l’ont internée. Cette information non confirmée ni vérifiée a été cependant relayée par les Femen sur Twitter.
Des informations indiquent, par ailleurs, qu’une femme se présentant comme la tante de Amina avait publié une vidéo dans laquelle elle présentait sa nièce comme « psychopate » et « déséquilibrée ».
M.BELLAKHAL
Un enlèvement ?
Face à ces menaces, l’organisation Femen ne cache pas son inquiétude. Selon les dernières informations qu’elle a pu recueillir, la jeune femme aurait été enlevée par sa propre famille "pour être placée contre sa volonté dans le centre psychiatrique Bardo. Nous réalisons que sa propre famille peut représenter un danger pour Amina. Nous ne savons pas si l'information est véridique mais nous continuons à la chercher". Une vidéo circule d’ailleurs sur Internet où l’on peut voir le présumé enlèvement d’Amina par son père et son frère.
Pour mobiliser autour de cette disparition, les Femen ont lancé un album de soutien sur Facebook où plusieurs sympathisantes de leur cause ont déjà envoyé des photos d’elles seins nus. Une pétition, qui a déjà recueilli plus de 17 000 signatures, a également été lancée.
Avant de ne donner plus aucun signe de vie, Amina n’avait pas hésité à expliquer ses motivations à la télévision dans l’émission tunisienne Labes : "On n’enlève pas nos hauts pour des raisons sexuelles, nous les Femen, nous avons le courage de crier fort nos revendications pour libérer la femme".
Le magazine rapporte également que la journaliste et militante féministe Caroline Fourest appelle sur son blog à une journée de mobilisation pour la défense de Amina le 4 avril prochain et lance une pétition pour demander « que sa vie et la liberté soient protégées et ceux qui l’ont menacée immédiatement poursuivis ».
Sur sa page Facebook, la journaliste rapporte le témoignage d’une personne ayant vu Amina enlevée par son père et son frère qui l’ont internée. Cette information non confirmée ni vérifiée a été cependant relayée par les Femen sur Twitter.
Des informations indiquent, par ailleurs, qu’une femme se présentant comme la tante de Amina avait publié une vidéo dans laquelle elle présentait sa nièce comme « psychopate » et « déséquilibrée ».
M.BELLAKHAL
Un enlèvement ?
Face à ces menaces, l’organisation Femen ne cache pas son inquiétude. Selon les dernières informations qu’elle a pu recueillir, la jeune femme aurait été enlevée par sa propre famille "pour être placée contre sa volonté dans le centre psychiatrique Bardo. Nous réalisons que sa propre famille peut représenter un danger pour Amina. Nous ne savons pas si l'information est véridique mais nous continuons à la chercher". Une vidéo circule d’ailleurs sur Internet où l’on peut voir le présumé enlèvement d’Amina par son père et son frère.
Pour mobiliser autour de cette disparition, les Femen ont lancé un album de soutien sur Facebook où plusieurs sympathisantes de leur cause ont déjà envoyé des photos d’elles seins nus. Une pétition, qui a déjà recueilli plus de 17 000 signatures, a également été lancée.
Avant de ne donner plus aucun signe de vie, Amina n’avait pas hésité à expliquer ses motivations à la télévision dans l’émission tunisienne Labes : "On n’enlève pas nos hauts pour des raisons sexuelles, nous les Femen, nous avons le courage de crier fort nos revendications pour libérer la femme".