‘’ Penser est difficile, c'est pourquoi la plupart se font juges.’’ Carl Gustav Jung.
La réaction convulsive des tenanciers du pouvoir suite aux accusations fondées du PDG du groupe Walfadjri a mis en exergue la panique qui règne au plus haut sommet de l’État. N'ayant pas trouvé des réponses adéquates, ces fervents politiciens du ventre portés à l’excès sans doute suite à une pression de leur mentor, ont raisonné dans la précipitation comme des primates avec les armes émoussées de l’invective stérile et du parler pour parler inutile.
En une courte durée nos autorités incapables d’agir intelligemment ont par ignorance, avec un niveau d’inculture à la fois déshonorante et ridicule, fait étalage de leurs carences à démonter les preuves tangibles de l’enrichissement hautement illicite du nègre de service de la présidence. Confondant les notions de violence verbale gratuite et de débats d’idées contradictoires, nos gouvernants pour abattre leur cible commune, se sont tout simplement métamorphosés en brutes enfonçant la porte ouverte de l’abysse où se trouve l’homme qui est passé du statut de locataire de débarras en 1999 à multi milliardaire en 2007. Peut-être qu’ils ont cru bien faire de brouiller la réalité si évidente dans la mare de la pensée unique afin de donner un semblant de consistance à leurs insipides commérages.
Ces pratiques monopartites révèlent à la face du monde la constipation intellectuelle des dignitaires de ce régime. Si réellement le ramasseur de pierres Macky SALL n’avait rien à se reprocher, ses suppôts n’allaient pas pleurnicher sur tous les toits de la presse au point d’abuser de l’insolence comme étant le seul argument à leurs portées. Ils omettent certainement que les propos déplacés, à défaut d’appauvrir le contenu de leurs grossièretés, constituent les argumentaires de ceux qui n’en ont point. Cette vaste campagne d’intimidation bestiale risque d’être vaine si elle ne l’est pas présentement.
Le pouvoir en place, pour mieux juguler ses intrigues politiques, abuse sans retenue de la gestion régalienne de la coercition mâtinée par une caporalisation éhontée du système judiciaire, de plus en plus enclin à la corruption. Pour le joufflu seul compte l’usage répressif de la violence d’État préventive contre toutes formes de libres exercices des libertés individuelles. La classe dirigeante mue par une haine mortelle croit pouvoir régner par la peur : leur unique projet politique. La résistance du peuple, face à l’archaïsme de la pensée unique, devient un crime de lèse-majesté raison pour laquelle ce patron de presse a été sommairement enlevé puis arbitrairement confiné dans une liberté conditionnelle.
Ce semblant de démocratie sénégalaise est en trompe l’œil puisqu’elle ne résume désormais qu’à la tenue d'élections libres et transparentes tous les 5 ans. Le pluralisme politique se mue perfidement en un autoritarisme qui ne cesse de gruger, par des subterfuges juridiques, la raison démocratique. Nos gouvernants, otages d’une conception dogmatique de l’exercice du pouvoir, pour mettre un terme à l’exercice des libertés d'opinion sont même allés jusqu’à censurer la diffusion de la bande d’annonce de l’émission pour laquelle ce chef d’entreprise a été de force réduit au silence.
Pour se prévenir d'une sédition populaire de plus en plus probable, le régime a décidé d’enrayer la libre expression à tout citoyen qui tenterait de pourfendre ces velléités dictatoriales par la force des idées car pour eux la résignation constitue la seule vertu mère. Devant l’intérêt général du Sénégal, l’honorable PDG, Sidy Lamine NIASSE peu attaché aux choses mondaines, de par son franc-parler a refusé de se terrer dans le déni de la réalité, en invitant Macky SALL qui prétend avoir les mains propres, à cesser de faire preuve d’hypocrisie en justifiant devant l’opinion nationale et internationale les 8 milliards de FCFA de son patrimoine, que ses revenus cumulés durant l’exercice de ses fonctions étatiques ne sauraient aucunement légitimer.
Le ventru ne peut s’épargner de rendre compte, lui qui il y a juste une semaine déclarait devant la commission de régulation du prix du loyer qu’ ‘’ il y a même des gens qui demandent une caution d'un an. Si je vous le dis, je sais bien de quoi je parle. J'ai moi-même été victime de cela en 2000.’’ Macky SALL ne peut pas escamoter les circonstances occultes par lesquelles il est venu au pouvoir les poches vides en mai 2001 pour accaparer à lui seul sans honte, ni remord : une résidence à Fenêtre Mermoz d’une étendue de 699 m2, une habitation à la Patte sur une aire de 205 m2, un pavillon à Niague de 240 m2. Ce bourreau de notre finance publique pour sa dignité, devra expliquer à l’opinion internationale comment il a pu acquérir deux demeures à Saly sur la Petite-cote. Le premier domicile R+1 construit sur une surface de 2000 m2 et l’autre constituée de deux chambres avec salon.
Comment passer sous silence son appartement à Houston estimé aux bas mots à 250 millions de FCFA, son domaine d’une aire de 2069 m2 aux Almadies, sa parcelle de 9 hectares sise à Sébikotane. Son esplanade nue de 1200 m2 sise à Fatick ne fait que révéler son avidité. Que dire de ses sociétés dont je tairai le nom pour le moment, de ses deux comptes bancaires dont le montant quintuple l’argent établi à la Julius Baer BANK de Monaco.
Nous ne saurons dissimuler les deux résidences R+ 1 appartenant à son épouse Marième Faye qui du reste n’a jamais connu un bulletin de salaire dans sa vie. Non sans taire son édifice établi à Sacré Cœur faisant office de siège à l’APR, son lotissement situé à sud foire dans l’enceinte du CICES et ses parcelles rattachées à la cité Sipres extirpées de force au dépôt de Dakar Dem Dikk.
Ces quelques exemples suffisent à illustrer que ce vautour au pinacle de l’État a utilisé les deniers publics comme un tremplin pour se goinfrer et se gonfler les joues. Une chose est certaine, si vraiment Macky SALL veut sauvegarder le brin de crédibilité que certains consentent bien lui concéder, il ferait mieux d’expliquer l’origine des 89 milliards de FCFA de déficit de la SAR, de révéler sur quel compte les 7 milliards de FCFA des fonds Taïwanais ont été affectés et les principaux récipiendaires.
C’est dorénavant clair pour tout le monde, le fessu Macky SALL a été le premier a institutionnalisé le vol en politique d’État. Après avoir saccagé ignominieusement les caisses de l’état ce brigand des fonds publics se doit de présenter des excuses au peuple sénégalais puisque rien ne saurait justifier ce patrimoine acquis frauduleusement entre 2002 et 2007.
Étant donné que de 2002 à 2004 avec un salaire de ministre de 5 millions de FCFA et de 2004 à 2007 avec un émolument de 7 millions de FCFA, même s’il jeûnait jour et nuit en coffrant cet argent, son patrimoine ne saurait guère outrepasser 300 millions de FCFA, soit l’équivalent de son riche patrimoine de 35 voitures de luxe. Lui qui jusqu’au début des années 2000 arrondissait péniblement ses fins du mois grâce aux découverts bancaires. En réalité, Macky SALL ne possède de manne financière que celle qu'il a malhonnêtement subtilisé à la population Sénégalaise. Si la loi était appliquée dans toute sa rigueur, il devait être le premier Sénégalais à croupir en prison mais il ne paie rien pour attendre. De toutes les façons il ne saurait y échapper !
Les 8 milliards de FCFA déclarés par le digne PDG Sidy Lamine NIASSE, ne sont que la partie visible de l’iceberg, nous nous en arrêtons là pour le moment. Le moment opportun arrivé beaucoup de choses vont se savoir sur la place publique car le peuple Sénégalais n’a encore rien vu. Le stagiaire de la présidence, Macky SALL doit être sûr que ces 8 milliards de FCFA qu’il a détournés indélicatement reviendront tôt ou tard au vaillant peuple Sénégalais.
Nous rappelons au membre de la mouvance présidentielle que l’heure n’est pas à la restriction des libertés individuelles encore moins au dénigrement du vénéré Sidy Lamine NIASSE mais plus tôt à l’explication de l’origine illicite de ces 8 milliards de FCFA acquis des suites de plusieurs marchés de gré à gré surfacturés.
Éternel Wadiste
Moïse RAMPINO
La réaction convulsive des tenanciers du pouvoir suite aux accusations fondées du PDG du groupe Walfadjri a mis en exergue la panique qui règne au plus haut sommet de l’État. N'ayant pas trouvé des réponses adéquates, ces fervents politiciens du ventre portés à l’excès sans doute suite à une pression de leur mentor, ont raisonné dans la précipitation comme des primates avec les armes émoussées de l’invective stérile et du parler pour parler inutile.
En une courte durée nos autorités incapables d’agir intelligemment ont par ignorance, avec un niveau d’inculture à la fois déshonorante et ridicule, fait étalage de leurs carences à démonter les preuves tangibles de l’enrichissement hautement illicite du nègre de service de la présidence. Confondant les notions de violence verbale gratuite et de débats d’idées contradictoires, nos gouvernants pour abattre leur cible commune, se sont tout simplement métamorphosés en brutes enfonçant la porte ouverte de l’abysse où se trouve l’homme qui est passé du statut de locataire de débarras en 1999 à multi milliardaire en 2007. Peut-être qu’ils ont cru bien faire de brouiller la réalité si évidente dans la mare de la pensée unique afin de donner un semblant de consistance à leurs insipides commérages.
Ces pratiques monopartites révèlent à la face du monde la constipation intellectuelle des dignitaires de ce régime. Si réellement le ramasseur de pierres Macky SALL n’avait rien à se reprocher, ses suppôts n’allaient pas pleurnicher sur tous les toits de la presse au point d’abuser de l’insolence comme étant le seul argument à leurs portées. Ils omettent certainement que les propos déplacés, à défaut d’appauvrir le contenu de leurs grossièretés, constituent les argumentaires de ceux qui n’en ont point. Cette vaste campagne d’intimidation bestiale risque d’être vaine si elle ne l’est pas présentement.
Le pouvoir en place, pour mieux juguler ses intrigues politiques, abuse sans retenue de la gestion régalienne de la coercition mâtinée par une caporalisation éhontée du système judiciaire, de plus en plus enclin à la corruption. Pour le joufflu seul compte l’usage répressif de la violence d’État préventive contre toutes formes de libres exercices des libertés individuelles. La classe dirigeante mue par une haine mortelle croit pouvoir régner par la peur : leur unique projet politique. La résistance du peuple, face à l’archaïsme de la pensée unique, devient un crime de lèse-majesté raison pour laquelle ce patron de presse a été sommairement enlevé puis arbitrairement confiné dans une liberté conditionnelle.
Ce semblant de démocratie sénégalaise est en trompe l’œil puisqu’elle ne résume désormais qu’à la tenue d'élections libres et transparentes tous les 5 ans. Le pluralisme politique se mue perfidement en un autoritarisme qui ne cesse de gruger, par des subterfuges juridiques, la raison démocratique. Nos gouvernants, otages d’une conception dogmatique de l’exercice du pouvoir, pour mettre un terme à l’exercice des libertés d'opinion sont même allés jusqu’à censurer la diffusion de la bande d’annonce de l’émission pour laquelle ce chef d’entreprise a été de force réduit au silence.
Pour se prévenir d'une sédition populaire de plus en plus probable, le régime a décidé d’enrayer la libre expression à tout citoyen qui tenterait de pourfendre ces velléités dictatoriales par la force des idées car pour eux la résignation constitue la seule vertu mère. Devant l’intérêt général du Sénégal, l’honorable PDG, Sidy Lamine NIASSE peu attaché aux choses mondaines, de par son franc-parler a refusé de se terrer dans le déni de la réalité, en invitant Macky SALL qui prétend avoir les mains propres, à cesser de faire preuve d’hypocrisie en justifiant devant l’opinion nationale et internationale les 8 milliards de FCFA de son patrimoine, que ses revenus cumulés durant l’exercice de ses fonctions étatiques ne sauraient aucunement légitimer.
Le ventru ne peut s’épargner de rendre compte, lui qui il y a juste une semaine déclarait devant la commission de régulation du prix du loyer qu’ ‘’ il y a même des gens qui demandent une caution d'un an. Si je vous le dis, je sais bien de quoi je parle. J'ai moi-même été victime de cela en 2000.’’ Macky SALL ne peut pas escamoter les circonstances occultes par lesquelles il est venu au pouvoir les poches vides en mai 2001 pour accaparer à lui seul sans honte, ni remord : une résidence à Fenêtre Mermoz d’une étendue de 699 m2, une habitation à la Patte sur une aire de 205 m2, un pavillon à Niague de 240 m2. Ce bourreau de notre finance publique pour sa dignité, devra expliquer à l’opinion internationale comment il a pu acquérir deux demeures à Saly sur la Petite-cote. Le premier domicile R+1 construit sur une surface de 2000 m2 et l’autre constituée de deux chambres avec salon.
Comment passer sous silence son appartement à Houston estimé aux bas mots à 250 millions de FCFA, son domaine d’une aire de 2069 m2 aux Almadies, sa parcelle de 9 hectares sise à Sébikotane. Son esplanade nue de 1200 m2 sise à Fatick ne fait que révéler son avidité. Que dire de ses sociétés dont je tairai le nom pour le moment, de ses deux comptes bancaires dont le montant quintuple l’argent établi à la Julius Baer BANK de Monaco.
Nous ne saurons dissimuler les deux résidences R+ 1 appartenant à son épouse Marième Faye qui du reste n’a jamais connu un bulletin de salaire dans sa vie. Non sans taire son édifice établi à Sacré Cœur faisant office de siège à l’APR, son lotissement situé à sud foire dans l’enceinte du CICES et ses parcelles rattachées à la cité Sipres extirpées de force au dépôt de Dakar Dem Dikk.
Ces quelques exemples suffisent à illustrer que ce vautour au pinacle de l’État a utilisé les deniers publics comme un tremplin pour se goinfrer et se gonfler les joues. Une chose est certaine, si vraiment Macky SALL veut sauvegarder le brin de crédibilité que certains consentent bien lui concéder, il ferait mieux d’expliquer l’origine des 89 milliards de FCFA de déficit de la SAR, de révéler sur quel compte les 7 milliards de FCFA des fonds Taïwanais ont été affectés et les principaux récipiendaires.
C’est dorénavant clair pour tout le monde, le fessu Macky SALL a été le premier a institutionnalisé le vol en politique d’État. Après avoir saccagé ignominieusement les caisses de l’état ce brigand des fonds publics se doit de présenter des excuses au peuple sénégalais puisque rien ne saurait justifier ce patrimoine acquis frauduleusement entre 2002 et 2007.
Étant donné que de 2002 à 2004 avec un salaire de ministre de 5 millions de FCFA et de 2004 à 2007 avec un émolument de 7 millions de FCFA, même s’il jeûnait jour et nuit en coffrant cet argent, son patrimoine ne saurait guère outrepasser 300 millions de FCFA, soit l’équivalent de son riche patrimoine de 35 voitures de luxe. Lui qui jusqu’au début des années 2000 arrondissait péniblement ses fins du mois grâce aux découverts bancaires. En réalité, Macky SALL ne possède de manne financière que celle qu'il a malhonnêtement subtilisé à la population Sénégalaise. Si la loi était appliquée dans toute sa rigueur, il devait être le premier Sénégalais à croupir en prison mais il ne paie rien pour attendre. De toutes les façons il ne saurait y échapper !
Les 8 milliards de FCFA déclarés par le digne PDG Sidy Lamine NIASSE, ne sont que la partie visible de l’iceberg, nous nous en arrêtons là pour le moment. Le moment opportun arrivé beaucoup de choses vont se savoir sur la place publique car le peuple Sénégalais n’a encore rien vu. Le stagiaire de la présidence, Macky SALL doit être sûr que ces 8 milliards de FCFA qu’il a détournés indélicatement reviendront tôt ou tard au vaillant peuple Sénégalais.
Nous rappelons au membre de la mouvance présidentielle que l’heure n’est pas à la restriction des libertés individuelles encore moins au dénigrement du vénéré Sidy Lamine NIASSE mais plus tôt à l’explication de l’origine illicite de ces 8 milliards de FCFA acquis des suites de plusieurs marchés de gré à gré surfacturés.
Éternel Wadiste
Moïse RAMPINO