Le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Mansour FAYE, entouré de ses principaux collaborateurs, a rencontré l’Intersyndicale des Transports routiers du Sénégal (ITRS), ce vendredi, à Diamniadio.
A cette occasion l’intersyndical a présenté une plateforme revendicative qui comprend trois points à savoir la poursuite des discussions sur les points ouverts lors de la grève des transporteurs routiers de décembre 2021, la « refonte » des 23 mesures prises par le Conseil interministériel sur la sécurité routière et la mise en place d’un comité permanent de dialogue entre le Ministère en charge des Transports et les syndicats des transporteurs routiers. Dans sa réponse, le Ministre Mansour FAYE, a affirmé son accord sur les points 1 et 3, mais concernant le deuxième point relatif à la suspension des 23 mesures, il explique que le Gouvernement reste déterminé à leur application.
« A l’occasion de cette réunion, l’ITRS, principalement composée par le Syndicat National des Travailleurs des Transports routiers du Sénégal (SNTTRS) dirigé par son Secrétaire général Monsieur Alassane NDOYE et l’Union des Routiers du Sénégal (URS) conduite par son Secrétaire général Monsieur Gora KHOUMA, a remis une plateforme revendicative qui comprend trois points : la poursuite des discussions sur les points ouverts lors de la grève des transporteurs routiers de décembre 2021, la « refonte » des 23 mesures prises par le Conseil interministériel sur la sécurité routière du 09 janvier 2023, et la mise en place d’un comité permanent de dialogue entre le Ministère en charge des Transports et les syndicats des transporteurs routiers, pour le suivi régulier et l’évaluation permanente des accords entre les deux parties », note le communiqué.
Selon toujours le communiqué, « dans sa réponse, le Ministre Mansour FAYE, a affirmé son accord sur les points 1 et 3 de la plateforme revendicative. Mais, il a tenu à indiquer que les échanges, qui devraient être permanents, seraient facilités si tous les transporteurs sénégalais étaient mieux organisés et regroupés dans une entité telle que le Conseil national des Transports terrestres (CNTT) créée par la loi n° 2020-25 du 03 juillet 2020 portant orientation et organisation des Transports terrestres ».
Concernant le deuxième point relatif à la suspension des 23 mesures prises par le Conseil interministériel sur la sécurité routière du 09 janvier 2023, Mansour Faye a expliqué que « le Gouvernement reste déterminé à les faire appliquer, en raison de la nécessité urgente et impérieuse de réduire les accidents de la route. Il manifeste son ouverture au dialogue, sa disponibilité constante et celle de tous les services de son département ministériel à discuter avec les partenaires sociaux du secteur ».
Au demeurant, a-t-il rappelé : « Des discussions avec les acteurs routiers ont déjà amené l’État à consentir des dérogations dans la mise en œuvre des 23 mesures du Conseil interministériel du 09 janvier 2023. A titre d’exemple, le démantèlement des porte-bagages sur les véhicules de transport public de voyageurs ne sera effectif que dans un délai d’un an, la mise en œuvre de la mesure relative à la durée d’exploitation des véhicules de transport public (20 ans pour les véhicules de transport de voyageurs et 25 ans pour les gros porteurs) bénéficie d’une période dérogatoire de deux ans ».
Concrètement, il ne reste actuellement que 21 mesures en vigueur à appliquer.
A cette occasion l’intersyndical a présenté une plateforme revendicative qui comprend trois points à savoir la poursuite des discussions sur les points ouverts lors de la grève des transporteurs routiers de décembre 2021, la « refonte » des 23 mesures prises par le Conseil interministériel sur la sécurité routière et la mise en place d’un comité permanent de dialogue entre le Ministère en charge des Transports et les syndicats des transporteurs routiers. Dans sa réponse, le Ministre Mansour FAYE, a affirmé son accord sur les points 1 et 3, mais concernant le deuxième point relatif à la suspension des 23 mesures, il explique que le Gouvernement reste déterminé à leur application.
« A l’occasion de cette réunion, l’ITRS, principalement composée par le Syndicat National des Travailleurs des Transports routiers du Sénégal (SNTTRS) dirigé par son Secrétaire général Monsieur Alassane NDOYE et l’Union des Routiers du Sénégal (URS) conduite par son Secrétaire général Monsieur Gora KHOUMA, a remis une plateforme revendicative qui comprend trois points : la poursuite des discussions sur les points ouverts lors de la grève des transporteurs routiers de décembre 2021, la « refonte » des 23 mesures prises par le Conseil interministériel sur la sécurité routière du 09 janvier 2023, et la mise en place d’un comité permanent de dialogue entre le Ministère en charge des Transports et les syndicats des transporteurs routiers, pour le suivi régulier et l’évaluation permanente des accords entre les deux parties », note le communiqué.
Selon toujours le communiqué, « dans sa réponse, le Ministre Mansour FAYE, a affirmé son accord sur les points 1 et 3 de la plateforme revendicative. Mais, il a tenu à indiquer que les échanges, qui devraient être permanents, seraient facilités si tous les transporteurs sénégalais étaient mieux organisés et regroupés dans une entité telle que le Conseil national des Transports terrestres (CNTT) créée par la loi n° 2020-25 du 03 juillet 2020 portant orientation et organisation des Transports terrestres ».
Concernant le deuxième point relatif à la suspension des 23 mesures prises par le Conseil interministériel sur la sécurité routière du 09 janvier 2023, Mansour Faye a expliqué que « le Gouvernement reste déterminé à les faire appliquer, en raison de la nécessité urgente et impérieuse de réduire les accidents de la route. Il manifeste son ouverture au dialogue, sa disponibilité constante et celle de tous les services de son département ministériel à discuter avec les partenaires sociaux du secteur ».
Au demeurant, a-t-il rappelé : « Des discussions avec les acteurs routiers ont déjà amené l’État à consentir des dérogations dans la mise en œuvre des 23 mesures du Conseil interministériel du 09 janvier 2023. A titre d’exemple, le démantèlement des porte-bagages sur les véhicules de transport public de voyageurs ne sera effectif que dans un délai d’un an, la mise en œuvre de la mesure relative à la durée d’exploitation des véhicules de transport public (20 ans pour les véhicules de transport de voyageurs et 25 ans pour les gros porteurs) bénéficie d’une période dérogatoire de deux ans ».
Concrètement, il ne reste actuellement que 21 mesures en vigueur à appliquer.