Libération repris par Setal.net a fait cas des contentieux de l’audit biométrique et physique de la fonction publique. Et parmi ces contentieux, le nom du ministre-conseiller, Amsatou Sow Sidibé, numéro matricule 5084661 figurait bien. Elle est montée au créneau pour démentir cette information.
A travers un point de presse qu’elle a tenu hier, le ministre conseiller a produit des documents attestant qu’elle ne perçoit pas deux salaires. En effet, un certificat de cessation de paiement daté du 10 mai 2012 et signé par le recteur Saliou Ndiaye a été distribué aux journalistes.
Ensuite, elle a mis à la disposition des journalistes une attestation signée le secrétaire général du recteur de l’Ucad où il est précisé que le Professeur Amsatou Sow Sidibé a été tenue en solde et accessoire jusqu’au 30 avril 2012, date à partir de laquelle son traitement a été suspendu à la suite de sa nomination en qualité de ministre conseiller à la présidence.
La Présidente du mouvement Car Lenen de qualifier l’information qui la fait passer pour un « fraudeur » d’allégation fausse. En ce cens qu’elle s’est rendue à l’Ige pour vérifier si elle faisait partie des audités, mais on lui a rétorqué qu’elle n’était pas concernée.
Même démarche au niveau du ministère de la Fonction publique où on lui fera savoir que l’Université ne relevait pas de la fonction publique. Donc comment s’est-elle retrouvée sur le fichier de la commission chargée de l’audit de la fonction publique ?
A travers un point de presse qu’elle a tenu hier, le ministre conseiller a produit des documents attestant qu’elle ne perçoit pas deux salaires. En effet, un certificat de cessation de paiement daté du 10 mai 2012 et signé par le recteur Saliou Ndiaye a été distribué aux journalistes.
Ensuite, elle a mis à la disposition des journalistes une attestation signée le secrétaire général du recteur de l’Ucad où il est précisé que le Professeur Amsatou Sow Sidibé a été tenue en solde et accessoire jusqu’au 30 avril 2012, date à partir de laquelle son traitement a été suspendu à la suite de sa nomination en qualité de ministre conseiller à la présidence.
La Présidente du mouvement Car Lenen de qualifier l’information qui la fait passer pour un « fraudeur » d’allégation fausse. En ce cens qu’elle s’est rendue à l’Ige pour vérifier si elle faisait partie des audités, mais on lui a rétorqué qu’elle n’était pas concernée.
Même démarche au niveau du ministère de la Fonction publique où on lui fera savoir que l’Université ne relevait pas de la fonction publique. Donc comment s’est-elle retrouvée sur le fichier de la commission chargée de l’audit de la fonction publique ?