Le journaliste Cheikh Yérim Seck , poursuivi pour viol sur une étudiante de 20 ans, a été traité de tous les noms possibles par les avocats de la partie civile. Ils ont rivalisé de néologisme pour le trainer dans la boue. Mais leur cliente n’a pas été épargnée par la partie adverse. Les avocats du directeur du journal en ligne Dakaractu.com ont mis en doute les arguments de Aïssatou Tall. « C’est la première fois, depuis que je suis dans ce métier, que je vois un viol avec utilisation de préservatif », s’étonne Me Kane qui fait remarquer que la fille du magistrat Boubou Diouf Tall s’est déshabillée et a flirté avec celui qu’elle accuse de viol.
Son confrère vient à sa rescousse et ajoute : « On s’est embrassé, on a flirté et je l’ai laissé faire, a dit Ndèye Aïssatou ».
Mettant en doute le certificat médical « écrit par des mains qui tremblent », les conseils du journaliste se sont demandé comment, alors qu’elle dit « avoir été violée », elle a pu sortir tranquillement de la chambre sans demander au personnel de l’aide. Elle prend tranquillement son taxi et retourne chez elle ». Selon l’Observateur lu par Setal.net, le coup de massue viendra de Me Issa Diop qui dit : « s’il ya eu pénétration, c’est parce que la fille s’est offerte d’elle-même ».
Décidé à se donner tous les moyens de disculper son client, l’avocat poursuit : « même si elle a été maitrisée par notre client, elle pouvait ne pas écarter les jambes. Et le certificat médical qui parle de saignements utérins prouve qu’elle a assez écarté les jambes pour que le sexe puisse atteindre l’utérus ».
Bottant en touche tous les arguments qui assoient le délit de viol, les avocats ont décelé dans leur plaidoirie un « règlement de comptes » sur Cheikh Yérim Seck. L’affaire est mise en délibéré pour le 26 septembre prochain.
Son confrère vient à sa rescousse et ajoute : « On s’est embrassé, on a flirté et je l’ai laissé faire, a dit Ndèye Aïssatou ».
Mettant en doute le certificat médical « écrit par des mains qui tremblent », les conseils du journaliste se sont demandé comment, alors qu’elle dit « avoir été violée », elle a pu sortir tranquillement de la chambre sans demander au personnel de l’aide. Elle prend tranquillement son taxi et retourne chez elle ». Selon l’Observateur lu par Setal.net, le coup de massue viendra de Me Issa Diop qui dit : « s’il ya eu pénétration, c’est parce que la fille s’est offerte d’elle-même ».
Décidé à se donner tous les moyens de disculper son client, l’avocat poursuit : « même si elle a été maitrisée par notre client, elle pouvait ne pas écarter les jambes. Et le certificat médical qui parle de saignements utérins prouve qu’elle a assez écarté les jambes pour que le sexe puisse atteindre l’utérus ».
Bottant en touche tous les arguments qui assoient le délit de viol, les avocats ont décelé dans leur plaidoirie un « règlement de comptes » sur Cheikh Yérim Seck. L’affaire est mise en délibéré pour le 26 septembre prochain.