S’il ya des gens qui se départissent très mal des pratiques telles que le non respect du rang, on peut penser en tout cas sans risque de se tromper à la directrice de l’Agence nationale de la case des tous petits, Thérèse Faye Diouf. En effet, venant dans un endroit à Baobab pour une consultation mystique ou un bain, selon l’une ou l’autre, la dame a simplement zappé le rang. Créant une colère sans précédente d’une dizaine de plusieurs venus pour la même cause, essentiellement des femmes et jeunes filles à la quête de la chance, du succès, mais surtout de la protection mystique.
A bord du véhicule 4X4 noir immatriculé 9002- TTC1, la dame est arrivée sur les lieux un peu avant le crépuscule. Elle était de tout de blanc vêtu d’une tenue traditionnelle. Avec une écharpe de la tête au coup, elle avance le regard fuyant dans un couloir séparant des maisonnettes de ce quartier. On sent une certaine méfiance de sa part pour ne pas être reconnue sur ce lieu tant prisé, et qu’il faudrait être bien informé pour y venir. Dès qu’elle s’est rapproché des patients tous assis et attendant chacun son tour, la femme débarque accompagné d’un jeune homme un peu costaud et une femme de teint clair.
Quand la femme de teint clair la(Thérèse) supplie de venir prendre place, elle désobéit. Thérèse était restée debout ce jour de week-end (samedi) plus d’une dizaine de minutes, avant de regagner sa voiture, le temps d’attendre on ne sait quoi, ou de continuer à jouer son jeu de casse-casse « C’est une politicienne. Elle ne veut pas que les gens s’aperçoivent qu’elle est là » nous souffle un patient.
Quelques minutes après, elle revient cette fois s’asseoir tout prêt du portail de la maison. À la seconde qui suit, on l’appelle de l’intérieur. Elle rentre dans la maison, laissant toutes sortes de commentaire derrière elle, de la part des clients qui étaient là pour certains, depuis 3 heures passée et pour d’autres bien avant cette heure. « Comment peut-elle entrer avant nous ? qu’est- ce qu’elle est pour qu’elle puisse bénéficier de tout cela alors que nous avons passé plusieurs heures ici », s’interroge une jeune fille de teint noir, avant d’ajouter « Cette fille, je la reconnais un peu, mais je ne sais pas où ? » Trente minutes, Thérèse l’a passé à l’intérieur de cette maison, obligeant une dame, très découragée, son enfant au dos de rentrer tout bonnement. Celle-ci était première sur le rang, parmi les restants. En clair c’est elle qui devrait entrer pour se faire consulter soit un bain. Mal l’en pris avec l’arrivée de la directrice de l’Anctp, qui ignore en ce moment précis que ce sont ces femmes et jeunes filles leurs enfants dans les bras pour certain, qui sont les mamans des enfants qu’elle a en charge. «J’ai beaucoup attendu, et là je ne peux plus. J’ai laissé que mon enfant seulement à la maison» explique t-elle la mine triste, avant de prendre le chemin de Liberté 6 où elle habite.
Selon une autre jeune fille très en colère, on ne fait pas réservation de place sur le rang. « Je ne l’ai jamais vu ici pour penser peut être que cette femme aurait réservé une place. Quand même nous mépriser de la sorte, ce n’est pas respectueuse de sa part pour les responsabilités qu’elle endosse sur le plan national » fulmine t-elle, avant d’ajouter qu’elle a dû négocier avec son patron pour qu’il le laisse venir.
A bord du véhicule 4X4 noir immatriculé 9002- TTC1, la dame est arrivée sur les lieux un peu avant le crépuscule. Elle était de tout de blanc vêtu d’une tenue traditionnelle. Avec une écharpe de la tête au coup, elle avance le regard fuyant dans un couloir séparant des maisonnettes de ce quartier. On sent une certaine méfiance de sa part pour ne pas être reconnue sur ce lieu tant prisé, et qu’il faudrait être bien informé pour y venir. Dès qu’elle s’est rapproché des patients tous assis et attendant chacun son tour, la femme débarque accompagné d’un jeune homme un peu costaud et une femme de teint clair.
Quand la femme de teint clair la(Thérèse) supplie de venir prendre place, elle désobéit. Thérèse était restée debout ce jour de week-end (samedi) plus d’une dizaine de minutes, avant de regagner sa voiture, le temps d’attendre on ne sait quoi, ou de continuer à jouer son jeu de casse-casse « C’est une politicienne. Elle ne veut pas que les gens s’aperçoivent qu’elle est là » nous souffle un patient.
Quelques minutes après, elle revient cette fois s’asseoir tout prêt du portail de la maison. À la seconde qui suit, on l’appelle de l’intérieur. Elle rentre dans la maison, laissant toutes sortes de commentaire derrière elle, de la part des clients qui étaient là pour certains, depuis 3 heures passée et pour d’autres bien avant cette heure. « Comment peut-elle entrer avant nous ? qu’est- ce qu’elle est pour qu’elle puisse bénéficier de tout cela alors que nous avons passé plusieurs heures ici », s’interroge une jeune fille de teint noir, avant d’ajouter « Cette fille, je la reconnais un peu, mais je ne sais pas où ? » Trente minutes, Thérèse l’a passé à l’intérieur de cette maison, obligeant une dame, très découragée, son enfant au dos de rentrer tout bonnement. Celle-ci était première sur le rang, parmi les restants. En clair c’est elle qui devrait entrer pour se faire consulter soit un bain. Mal l’en pris avec l’arrivée de la directrice de l’Anctp, qui ignore en ce moment précis que ce sont ces femmes et jeunes filles leurs enfants dans les bras pour certain, qui sont les mamans des enfants qu’elle a en charge. «J’ai beaucoup attendu, et là je ne peux plus. J’ai laissé que mon enfant seulement à la maison» explique t-elle la mine triste, avant de prendre le chemin de Liberté 6 où elle habite.
Selon une autre jeune fille très en colère, on ne fait pas réservation de place sur le rang. « Je ne l’ai jamais vu ici pour penser peut être que cette femme aurait réservé une place. Quand même nous mépriser de la sorte, ce n’est pas respectueuse de sa part pour les responsabilités qu’elle endosse sur le plan national » fulmine t-elle, avant d’ajouter qu’elle a dû négocier avec son patron pour qu’il le laisse venir.