En fait, tout est parti de la demande d’un ami à ce dernier qui a demandé à être hébergé par couple Sow. Une demande à laquelle la femme de Mr Sow, une française, s’oppose catégoriquement, avant de revenir à de meilleurs sentiments sous la pression de son mari qui la rassure sur la durée que leur hôte fera chez eux. Mais en lieu et place des deux semaines convenues, l’hôte en question passe deux mois dans la maison. Une situation qui excède l’épouse de Cheikh Sow. Elle prend sur elle la décision de régler le problème une bonne fois pour toute. C’est pourquoi dans la soirée du 18 septembre dernier, elle a appelé son mari pour lui dire qu’elle se rentrait chez elle, comme il ne veut pas demander à son hôte de quitter la maison. Après quoi, elle éteint son portable.
Paniqué à l’idée de perdre sa femme qu’il aime plus que tout, Cheikh Tidiane Sow qui croyait que son épouse voyagerait à bord de RAM, appelle à l’aéroport pour annoncer une bombe dans un vol de cette compagnie. Puis, pour ne pas être arrêté, il change de puce. Néanmoins, les gendarmes ont pu remonter à lui et il a cueilli et gardé à vue.
Sa femme est passée à l’acte
Malgré l’alerte à la bombe dont l’auteur n’est autre que son mari, la française est passée à l’acte. Quelques heures après avoir mis le Sénégal sens dessus dessous, il reçoit un appel de son épouse depuis la Tunisie, qui lui faisait comprendre qu’elle avait joint l’acte à la parole. Surpris, il lance à sa femme : « quelle compagnie tu as pris ? ». « Tunis air », répond son épouse.
Quant à Sow, il sera jugé ce vendredi pour diffusion de fausses nouvelles tendant à compromettre la sécurité d'un aéronef, conformément à l'article 101 du Code de l'aviation civile.
Paniqué à l’idée de perdre sa femme qu’il aime plus que tout, Cheikh Tidiane Sow qui croyait que son épouse voyagerait à bord de RAM, appelle à l’aéroport pour annoncer une bombe dans un vol de cette compagnie. Puis, pour ne pas être arrêté, il change de puce. Néanmoins, les gendarmes ont pu remonter à lui et il a cueilli et gardé à vue.
Sa femme est passée à l’acte
Malgré l’alerte à la bombe dont l’auteur n’est autre que son mari, la française est passée à l’acte. Quelques heures après avoir mis le Sénégal sens dessus dessous, il reçoit un appel de son épouse depuis la Tunisie, qui lui faisait comprendre qu’elle avait joint l’acte à la parole. Surpris, il lance à sa femme : « quelle compagnie tu as pris ? ». « Tunis air », répond son épouse.
Quant à Sow, il sera jugé ce vendredi pour diffusion de fausses nouvelles tendant à compromettre la sécurité d'un aéronef, conformément à l'article 101 du Code de l'aviation civile.