Les deux sénégalais, Djibril Bah et Tabara Samba, tués puis enterrés dans une fosse commune en Gambie, dans le courant du mois d’aout dernier avaient selon l’Observateur de ce mardi lu par Setal.net, plaidé la légitime défense. Néanmoins, leurs plaidoiries n’ont pas été entendues par la Haute cour de Banjul qui ne leur a laissé aucune chance de survie.
Pour le cas de Tabara Samba, contrairement à ce qui s’est dit jusque-là, elle a dit devant la barre qu’elle voulait sauver sa vie. Elle a soutenu mordicus que son mari voulait l’agresser à l’aide d’un couteau et que pour se défendre, elle a du l’ébouillanter. Des arguments qu’a réfuté la cour, qui plus est, a rejeté l’appel qu’elle avait formulé. Elle a été condamnée à la peine capitale le 26 septembre 2007.
En ce qui concerne Djibril Bah, il a été tué pour le meurtre de son compatriote Ndiaga Samba, des faits survenus le 18 décembre 1997. Mais selon la source du quotidien l’Observateur, tout n’a pas été dit dans cette affaire. A l’en croire, Djibril Bah a avait été agressé à sa descente de l’hôtel de Tandijé à Banjul où il travaillait, alors qu’il venait de percevoir son salaire. Deux individus l’ont attaqué pour le tuer. Se défendant, il a asséné un coup de couteau dans l’œil d’un de ses agresseurs qui a perdu beaucoup de sang avant de rendre l’âme. Il a à l’instar de sa compatriote fait appel mais sa requête a été rejetée par la Haute cour de Banjul. Jugé en 2004, il a été comdamné à mort et tué.
Pour le cas de Tabara Samba, contrairement à ce qui s’est dit jusque-là, elle a dit devant la barre qu’elle voulait sauver sa vie. Elle a soutenu mordicus que son mari voulait l’agresser à l’aide d’un couteau et que pour se défendre, elle a du l’ébouillanter. Des arguments qu’a réfuté la cour, qui plus est, a rejeté l’appel qu’elle avait formulé. Elle a été condamnée à la peine capitale le 26 septembre 2007.
En ce qui concerne Djibril Bah, il a été tué pour le meurtre de son compatriote Ndiaga Samba, des faits survenus le 18 décembre 1997. Mais selon la source du quotidien l’Observateur, tout n’a pas été dit dans cette affaire. A l’en croire, Djibril Bah a avait été agressé à sa descente de l’hôtel de Tandijé à Banjul où il travaillait, alors qu’il venait de percevoir son salaire. Deux individus l’ont attaqué pour le tuer. Se défendant, il a asséné un coup de couteau dans l’œil d’un de ses agresseurs qui a perdu beaucoup de sang avant de rendre l’âme. Il a à l’instar de sa compatriote fait appel mais sa requête a été rejetée par la Haute cour de Banjul. Jugé en 2004, il a été comdamné à mort et tué.