Le Secrétaire général adjoint, en charge des conflits dans le nouvel organigramme du comité directeur du Parti démocratique sénégalais, Doudou Wade considère que « jusqu’ici le Sénégal était dans l’anormalité ». Et, les retrouvailles entre l’ancien président Me Abdoulaye Wade et son successeur Macky Sall étaient une nécessité pour les deux hommes.
«Nous sommes restés 7 ans que le responsable de l’Etat, le président en exercice élu au suffrage universel et le président sortant ne se parlent pas, ne se téléphonent, n’échangent pas sur les grands problèmes du pays. Il faut accepter que nous étions dans l’anormalité », a dit l’ancien président du groupe parlementaire libéral. D’après Doudou Wade, le Président Wade a toujours dit qu’il y avait une nécessité de se rencontrer. Mais, la première nécessité c’était de faire en sorte que le Président Macky Sall réussisse. Bien étant de l’opposition, nous puissions l’assister ou l’aider ou bien parfois répondre à ses appels. « Donc, s’est-il réjoui, y avait une nécessité pour ces deux personnes. Mais aussi, il y a eu la main de Dieu et la main de cette sainte personne, Serigne Mountakha Mbacké ».
A retenir les propos du nouveau porte-parole du Pds, Tafsir Thioye, l’invité de l’émission « Objection » de Sud Fm de ce dimanche 13 octobre 2019 d’avancer : « Il faut que nous acceptions que jusqu’à ce jour que nous étions dans ce que Tafsir Thioye appelle l’anormalité. Nous sommes dans un pays qui a joué un rôle dans l’approfondissement de la paix en Afrique et principalement à l’Afrique de l’Ouest ».
Le président Wade et le Pds, insiste-t-il, sont devenus un symbole, une icône dans l’approfondissement de la démocratique en Afrique. « Si nous avons tous ces partis politiques aujourd’hui, si nous avons tous ces organes de presse, si aujourd’hui nous avons une présence des députés de l’opposition à l’Assemblée nationale, nous le devons aux Sénégalais. Mais, osons le reconnaître le Pds y a joué sa partition », reconnaît-il.
«Nous sommes restés 7 ans que le responsable de l’Etat, le président en exercice élu au suffrage universel et le président sortant ne se parlent pas, ne se téléphonent, n’échangent pas sur les grands problèmes du pays. Il faut accepter que nous étions dans l’anormalité », a dit l’ancien président du groupe parlementaire libéral. D’après Doudou Wade, le Président Wade a toujours dit qu’il y avait une nécessité de se rencontrer. Mais, la première nécessité c’était de faire en sorte que le Président Macky Sall réussisse. Bien étant de l’opposition, nous puissions l’assister ou l’aider ou bien parfois répondre à ses appels. « Donc, s’est-il réjoui, y avait une nécessité pour ces deux personnes. Mais aussi, il y a eu la main de Dieu et la main de cette sainte personne, Serigne Mountakha Mbacké ».
A retenir les propos du nouveau porte-parole du Pds, Tafsir Thioye, l’invité de l’émission « Objection » de Sud Fm de ce dimanche 13 octobre 2019 d’avancer : « Il faut que nous acceptions que jusqu’à ce jour que nous étions dans ce que Tafsir Thioye appelle l’anormalité. Nous sommes dans un pays qui a joué un rôle dans l’approfondissement de la paix en Afrique et principalement à l’Afrique de l’Ouest ».
Le président Wade et le Pds, insiste-t-il, sont devenus un symbole, une icône dans l’approfondissement de la démocratique en Afrique. « Si nous avons tous ces partis politiques aujourd’hui, si nous avons tous ces organes de presse, si aujourd’hui nous avons une présence des députés de l’opposition à l’Assemblée nationale, nous le devons aux Sénégalais. Mais, osons le reconnaître le Pds y a joué sa partition », reconnaît-il.