‘’Je sais que j’aurais pu mieux faire’’, a-t-il déclaré dans un entretien avec des médiats français ‘’pensant avoir manqué de personnalité’’.
Le frère cadet de Jacques Faty, passé par les clubs de Strasbourg et de Nantes en France, de l’AS Rome (Italie), du Bayer Leverkusen (Allemagne) et de l’Aris Salonique (Grèce), reconnait qu’il aurait pu faire d’autres choix.
Se disant fier de son parcours, a il souligné que son passage en Grèce (deux saisons à l’Aris Salonique) ‘’où il a dû jouer des coudes’’, l’a aidé à mûrir.
D’ailleurs, c’est pendant ses difficultés en Grèce quand il restait des mois sans percevoir de salaire, qu’il a décidé de porter les couleurs de l’équipe nationale du Sénégal qui sortait d’un échec à la CAN 2012.
Une sélection qui tombe à point nommé pour le longiligne milieu de terrain (1m 90) âgé de 26 ans. En plein regroupement avec les Lions en juin dernier, il a reçu un appel des dirigeants d’Ajaccio où il a paraphé un contrat de deux ans.
‘’Ajaccio m’a contacté à la mi-juin, alors que j’étais avec l’équipe du Sénégal’’, a-t-il dit, relevant n’avoir réfléchi que pendant une semaine avant de dire oui.
Comme la majorité des footballeurs évoluant en Grèce, le sport roi subissait aussi de plein fouet la crise économique qui sévissait dans ce pays avec les salaires impayés et des entreprises qui fermaient.
Dans son club, Ricardo Faty a connu les affres des difficiles fins de mois en restant ‘’des mois sans être payé’’ et ou parfois ‘’c’était 3.000 euros (deux millions de francs)’’ une partie du salaire.
Parti de cette galère, il commence à voir le bout du tunnel dans son nouveau club. Il a été titularisé pour les trois premiers matches du championnat de Ligue 1 française.
Faty a été l’un des meilleurs ajacciens contre le PSG, lors de la 2ème journée). Mais il tarde à connaître le même bonheur dans l’entrejeu sénégalais.
Il a déjà été appelé pour le stage de juin (contre le Maroc en amical et les deux matchs éliminatoires de la coupe du monde contre le Liberia et contre l’Ouganda). Il doit toutefois batailler fort pour se frayer une place au milieu de terrain pour le match aller en éliminatoire de la CAN 2013 contre les Eléphants de Côte d’Ivoire.
Le cadet des Faty doit faire face à une rude concurrence avec Mohamed Diamé (West Ham, Angleterre), Cheikhou Kouyaté (Anderlecht, Belgique), Pape Kouly Diop (Levante, Espagne) et même Idrissa Gana Guèye (Lille, France) qui ont pris de l’avance sur lui.
Le frère cadet de Jacques Faty, passé par les clubs de Strasbourg et de Nantes en France, de l’AS Rome (Italie), du Bayer Leverkusen (Allemagne) et de l’Aris Salonique (Grèce), reconnait qu’il aurait pu faire d’autres choix.
Se disant fier de son parcours, a il souligné que son passage en Grèce (deux saisons à l’Aris Salonique) ‘’où il a dû jouer des coudes’’, l’a aidé à mûrir.
D’ailleurs, c’est pendant ses difficultés en Grèce quand il restait des mois sans percevoir de salaire, qu’il a décidé de porter les couleurs de l’équipe nationale du Sénégal qui sortait d’un échec à la CAN 2012.
Une sélection qui tombe à point nommé pour le longiligne milieu de terrain (1m 90) âgé de 26 ans. En plein regroupement avec les Lions en juin dernier, il a reçu un appel des dirigeants d’Ajaccio où il a paraphé un contrat de deux ans.
‘’Ajaccio m’a contacté à la mi-juin, alors que j’étais avec l’équipe du Sénégal’’, a-t-il dit, relevant n’avoir réfléchi que pendant une semaine avant de dire oui.
Comme la majorité des footballeurs évoluant en Grèce, le sport roi subissait aussi de plein fouet la crise économique qui sévissait dans ce pays avec les salaires impayés et des entreprises qui fermaient.
Dans son club, Ricardo Faty a connu les affres des difficiles fins de mois en restant ‘’des mois sans être payé’’ et ou parfois ‘’c’était 3.000 euros (deux millions de francs)’’ une partie du salaire.
Parti de cette galère, il commence à voir le bout du tunnel dans son nouveau club. Il a été titularisé pour les trois premiers matches du championnat de Ligue 1 française.
Faty a été l’un des meilleurs ajacciens contre le PSG, lors de la 2ème journée). Mais il tarde à connaître le même bonheur dans l’entrejeu sénégalais.
Il a déjà été appelé pour le stage de juin (contre le Maroc en amical et les deux matchs éliminatoires de la coupe du monde contre le Liberia et contre l’Ouganda). Il doit toutefois batailler fort pour se frayer une place au milieu de terrain pour le match aller en éliminatoire de la CAN 2013 contre les Eléphants de Côte d’Ivoire.
Le cadet des Faty doit faire face à une rude concurrence avec Mohamed Diamé (West Ham, Angleterre), Cheikhou Kouyaté (Anderlecht, Belgique), Pape Kouly Diop (Levante, Espagne) et même Idrissa Gana Guèye (Lille, France) qui ont pris de l’avance sur lui.