SETAL.NET-Rien n'y fait, ni les amants de passage et encore moins les paradis artificiels. Définitivement, la star caribéenne n'arrive pas à oublier son grand amour. Pétroleuse semblant passer le plus clair de son temps en maillot, une bière à la main sur le pont d’un yacht, Rihanna, chanteuse à la vie agitée, est finalement plutôt fleur bleue. Derrière les épaisses volutes de fumée qu'elle expire et sa bande de copines délurées se cache en effet un petit cœur qui palpite avec, certes, une conception du romantisme bien particulière, affranchie des conventions et autres bienséances. Amoureuse gourmande – la rumeur lui prête des liaisons d’un soir avec à peu près tout ce qui est à la fois célèbre et porte (ou pas) du poil au menton—, Rihanna n’oublie pas ses premières amours, fussent-elles vaches. Pas plus tard qu’à la fin du mois de juin, lors des BET Awards (sortes de Victoires de la musique de la communauté afro-américaine), la nouvelle égérie Dior s'est débrouillée pour attirer le regard de son ex Chris Brown, se fendant d’une petite visite dans sa loge, puis se pâmant ostensiblement, assise dans le public, devant son interprétation de Post to Be. Entre ces deux-là, le passif est lourd. Héritier bling-bling de Michael Jackson avec chaînes en or et tatouages de taulard en sus, Chris Brown, vingt-six ans, s’est fait connaître du monde entier un soir de février 2009 pour avoir tabassé la chanteuse de Good Girl Gone Bad, la laissant défigurée sur un trottoir de L.A. Une confession publique plus tard à la télé, tout fut pardonné, ces JR et Sue Ellen du RnB se remirent à la colle, avant de se séparer à nouveau. Il n’empêche. Même si Rihanna change de conquêtes comme de Bikini, elle conserve toujours une certaine tendresse pour son ancien amour. Au grand dam, d’ailleurs, de celui qui l’accompagne dans ses interminables virées, que ce fût le rappeur Drake entre 2011 et 2014, Leonardo DiCaprio cet hiver ou, plus récemment, le footballeur frenchie Karim Benzema, déjà donné sur le (...)