Le livre du journaliste Cheikh Yerim Seck continue de faire polémique. Les réactions se multiplient, après la plainte annoncée de Capitaine Touré, le Président de l’Ong Jamra accentue la riposte avec ce post sur sa page facebook. Sans langue de bois, Mame Matar rappelle à l’ordre le journaliste avec la chronologie des faits. « MERCI, #Talla_Ndiaye, de nous avoir fait parvenir cet extrait de l’ouvrage de CHEIKH YÉRIM SECK (p.159 et suivantes) où il s’acharne avec une rare violence, teintée d’une légèreté et d’une maladresse déconcertantes, contre le légitime combat quadriennal de l’Ong Islamique JAMRA, pour la défense de nos valeurs socioreligieuses et la préservation de nos bonnes mœurs. Attaques qui se révéleront, d’ailleurs, n’être que du réchauffé ! CHEIKH YÉRIM SECK s’est, en effet, contenté de reprendre, mot pour mot, les arguments sataniques des GORDJIGUÉNES de la Diaspora, qui avaient, en janvier 2020, monté de toutes pièces une CONSPIRATION DIABOLIQUE, en s’en prenant lâchement à une fillette d’à peine 18 ans, à défaut de pouvoir s’attaquer courageusement, et à visage découvert, à son père, en l’occurrence le vice-président de l’Ong Islamique JAMRA. RAPPELONS que cette horde de déviants, qui ne ratent aucune occasion pour tenter de SALIR L’IMAGE DE JAMRA, étaient finalement tombés dans le piège que nous leur avions tendu. Ils avaient crié sur tous les toits que ma fille avait été « géolocalisée dans une auberge », par la Police. Ce qui s’avéra un STUPIDE MENSONGE, dans la mesure où c’est moi-même qui avais PERSONNELLEMENT conduit ma fille dans le bureau du Commissaire de la Sûreté Urbaine, M. Bara Sangharé (qui lira ces lignes, certainement), pour lui demander d’arrêter les recherches qu’il avait initiées, suite à ma plainte. Parce que de proches parents, habitant Yoff-Layéne, paniqués par le raffut médiatique que j’avais créé, consécutivement au retour inhabituellement tardif de ma fille, me l’avaient eux-mêmes ramenée à mon domicile. Et tout était rentré dans l’ordre. MAIS CES CONSPIRATEURS haineux n’avaient pas dit leur dernier mot. Ayant lamentablement échoué sur ce registre, ils se sont rabattus, de guerre lasse, sur un « Plan B », dont l’argumentaire, non moins fallacieux, prétendait que j’avais exfiltré ma fille aux Usa (mensonge que reprend encore textuellement Cheikh Yérim). Alors que ma fille n’a JAMAIS quitté le territoire national; et n’a toujours JAMAIS voyagé de sa vie ! QUANT AUX AUTRES ÉLUCUBRATIONS, gauchement moralisatrices (stupéfiant renversement de rôles !) de CHEIKH YÉRIM SECK, pour tenter de se faire « l’avocat du diable » de son INDÉFENDABLE « HOMONYME » (un « Cheikh » comme lui), AHMED CISSÉ, présentement dans les liens de la détention, à la Prison de Reubeuss, suite à une PLAINTE DE JAMRA pour attentat à la pudeur, outrage publique aux bonnes mœurs, promotion d’actes contre-nature et outrage à la sacralité des lieux de culte, il nous répugne, à JAMRA, d’apporter la moindre réplique au sulfureux CHEIKH YÉRIM SECK, pour la bonne et simple raison que c’est plutôt son attitude contraire qui nous aurait surpris ! CHEIKH YÉRIM SECK est un habitué des faits, pour avoir réussi à se batir une triste réputation d’un « Lucky Lucke de la plume », prompt à tirer à boulet rouge sur toutes initiatives d’ALERTE et de SENSIBILISATION – à l’actif de JAMRA surtout – soucieuse de la protection des couches vulnérables, notamment les filles mineures, souvent des proies de prédilection de prédateurs sexuels sans foi ni loi. ET CHEIKH YÉRIM SECK de nous en administrer une preuve saillante, en nous consacrant, dans l’édition du 08 octobre 2011 de son média en ligne, « Dakaractu », le « Portrait de la semaine ». Qu’il avait méchamment intitulé « Mame Mactar Guèye : un Don Quichotte paranoïaque et névrosé »! LE TORT DE JAMRA ? C’était d’avoir publiquement dénoncé de suspects va-et-vient nocturnes de voitures de luxe qui, squattant les périmètres de l’internat des jeunes étudiantes de la Cité Claudel, à Dakar, venaient s’y ravitailler sans vergogne en « viande fraîche ». Souvent les vendredis, en début de week-end, pour ne ramener ces filles, perverties par ces impénitents « Tonton saï-saï », que le dimanche soir ! JAMRA A ÉTÉ D’AUTANT PLUS CHOQUÉE par ce scandale, que ces pères de familles volages et polygames infidéles semblaient redoubler d’ardeur dans leur volonté de débauchage de ces frêles jeunes filles, souvent de conditions sociales modestes, lorsque des étudiantes haïtiennes, exfiltrés de justesse de leurs pays, dévasté par un terrible tremblement de terre, venaient de bénéficier de l’hospitalité humanitaire de l’État du Sénégal. Le président Abdoulaye Wade n’avait pas voulu être en reste dans ce concert international de solidarité et d’entraide, envers ce peuple haïtien meurtri, ces familles disloquées, endeuillées. ET CHEIKH YÉRIM SECK ne trouva pas meilleure manière de contribuer à ce noble sursaut humanitaire et de sécurisation de ces orphelines haïtiennes que de tirer à boulets rouges sur l’Ong Islamique JAMRA, qui avait eu le toupet d’avoir vigoureusement dénoncé les maraudages malsains de « patrons » pervers, qui profitaient de la fragilité mentale et de la détresse sociale de ces réfugiées haïtiennes, pour donner libre-court à leur ibido débridée et satisfaire des fantasmes abjectes sur d’innocentes réfugiées écologiques. Après avoir promis monts et merveilles à leurs victimes. CHEIKH YÉRIM SECK n’a jamais su digérer les légitimes combats de JAMRA contre la dégradation de nos bonnes mœurs. Et surtout nos multiples alertes portant renforcement de la protection des potentiels victimes de PRÉDATEURS SEXUELS. Notamment par une augmentation des sanctions pénales contre les VIOLEURS IMPÉNITENTS. Ces derniers se sont longuement prévalus d’une scandaleuse impunité, tant les sanctions pénales étaient laxistes, voire complaisantes. Ils ne pardonneront jamais à JAMRA de s’être constamment battu aux côtés de nos braves sœurs féministes, contre les abus sexuels en tous genres, les violences faites aux femmes. Souvent à l’actif d’OBSÉDÉS SEXUELS à la braguette facile. CES LÉGITIMES efforts, conjugués, auront triomphalement contribué au vote de la loi 2020-05 du 10 janvier 2020, portant CRIMINALISATION DU VIOL et de la PÉDOPHILIE. Mais JAMRA trouve toujours bien dommage que cette salutaire disposition pénale n’ait pas eu d’effets rétroactifs ! »