Quelles appréciations faites-vous du choix d’Alain Giresse comme sélectionneur national ?
Pour l’instant, on n’a pas encore les éléments d’appréciations nécessaires pour juger Giresse. Il vient juste de prendre ses marques avec le match contre la Guinée que beaucoup n’ont pas pu suivre pour juger. Qu’on le laisse travailler, d’abord, après, on verra.
Mais, comment analysez-vous son premier match à la tête des Lions débuté par un résultat nul 1-1 ?
C’était un match amical. Sur la base de ce simple match, on ne peut pas se permettre de juger. En plus, ce n’est pas mal car, on a concédé le nul et le match s’est joué sur un terrain neutre.
Quel bilan global tirez-vous de la Can 2013 ?
Le jeu était un peu crispé. Les équipes ne prenaient pas de risques, du coup, cela a un peu ralenti le rythme du premier tour, marqué par les nombreux matchs nuls. Heureusement qu’après, les équipes se sont libérées, au deuxième tour. On a vu un peu de spectacle, avec des équipes comme le Burkina, le Nigéria, même le Togo qui a manqué de chance aux quarts de finale. C’était une Can sauvée de justesse vers la fin et c’est tant mieux.
D’aucuns disent que le Sénégal avait sa place dans cette Can qui n’avait pas un niveau relevé. Partagez-vous cet avis ?
Qu’on se dise la vérité, le Sénégal n’avait pas sa place à cette Can. Il faut qu’on arrête avec ça. Je suis désolé mais, le Sénégal ne méritait pas d’être présent. Soyons sérieux. On a encaissé quatre buts à domicile face à la Côte d’Ivoire qui nous a éliminés, c’est la Côte d’Ivoire qui méritait d’y être et à l’arrivée, elle a même été battue en quart de finale. Si on méritait d’y être, on se serait qualifié.
Que vous inspire le sacre du Nigéria qui, selon de nombreux observateurs, confirme la compétence de l’expertise locale ?
Keshi a mérité son sacre, on le félicite. C’est un exemple. On doit pouvoir prendre nos responsabilités, c’est cela notre problème au Sénégal. Le coach local, quand il est là, ça veut dire qu’il a été choisi parmi tant d’autres. C’est le meilleur à son poste, donc il doit pouvoir avoir des principes, assumer ses choix et ne pas céder aux pressions venant de quelque bord que ce soit. Il doit avoir le courage de faire ce qu’il veut faire car, les coachs blancs, on ne leur impose rien du tout. C’est une question de responsabilités et de principes.
Pour l’instant, on n’a pas encore les éléments d’appréciations nécessaires pour juger Giresse. Il vient juste de prendre ses marques avec le match contre la Guinée que beaucoup n’ont pas pu suivre pour juger. Qu’on le laisse travailler, d’abord, après, on verra.
Mais, comment analysez-vous son premier match à la tête des Lions débuté par un résultat nul 1-1 ?
C’était un match amical. Sur la base de ce simple match, on ne peut pas se permettre de juger. En plus, ce n’est pas mal car, on a concédé le nul et le match s’est joué sur un terrain neutre.
Quel bilan global tirez-vous de la Can 2013 ?
Le jeu était un peu crispé. Les équipes ne prenaient pas de risques, du coup, cela a un peu ralenti le rythme du premier tour, marqué par les nombreux matchs nuls. Heureusement qu’après, les équipes se sont libérées, au deuxième tour. On a vu un peu de spectacle, avec des équipes comme le Burkina, le Nigéria, même le Togo qui a manqué de chance aux quarts de finale. C’était une Can sauvée de justesse vers la fin et c’est tant mieux.
D’aucuns disent que le Sénégal avait sa place dans cette Can qui n’avait pas un niveau relevé. Partagez-vous cet avis ?
Qu’on se dise la vérité, le Sénégal n’avait pas sa place à cette Can. Il faut qu’on arrête avec ça. Je suis désolé mais, le Sénégal ne méritait pas d’être présent. Soyons sérieux. On a encaissé quatre buts à domicile face à la Côte d’Ivoire qui nous a éliminés, c’est la Côte d’Ivoire qui méritait d’y être et à l’arrivée, elle a même été battue en quart de finale. Si on méritait d’y être, on se serait qualifié.
Que vous inspire le sacre du Nigéria qui, selon de nombreux observateurs, confirme la compétence de l’expertise locale ?
Keshi a mérité son sacre, on le félicite. C’est un exemple. On doit pouvoir prendre nos responsabilités, c’est cela notre problème au Sénégal. Le coach local, quand il est là, ça veut dire qu’il a été choisi parmi tant d’autres. C’est le meilleur à son poste, donc il doit pouvoir avoir des principes, assumer ses choix et ne pas céder aux pressions venant de quelque bord que ce soit. Il doit avoir le courage de faire ce qu’il veut faire car, les coachs blancs, on ne leur impose rien du tout. C’est une question de responsabilités et de principes.