Monsieur Mody NIANG, vous avez encore fait dans la provocation, en faisant paraître dans les publications de la presse du jeudi 03 novembre 2016, une contribution intitulée : « Djibo Leyti KA, l’autre virtuose de la tortuosité qui ne peut plus se passer de l’oxygène du pouvoir.»
Le titre de votre article est assez évocateur de l’exercice de diabolisation de Monsieur Djibo Leyti KA qui a été ici le seul objectif poursuivi tout au long de votre texte.
Vous avez eu l’occasion d’honorer votre sens d’éthique et d’objectivité, en rapportant les faits dans le contexte précis où ils se déroulèrent, mais au contraire, vous avez pris l’option d’avoir au bout de votre plume, l’insulte, la délation et la désinformation, presque de manière cynique, le dessein de briseur de destin d’un homme que Dieu a fait et que la calomnie ne saurait défaire. Vous avez certainement souvenance de vos propos de 2006 par lesquels que soutenez que « si la foudre devait tomber sur le Sénégal alors qu’elle tombe sur Djibo KA ». Il ne vous reste qu’à commanditer son meurtre maintenant !
Monsieur NIANG, qu’est ce qui peut bien apaiser votre haine de Djibo KA ?
Un lecteur attentif vous surprend facilement dans votre regrettable posture de quelqu’un décidé à régler des comptes, une posture devenue tellement rituelle chez vous, au point de vous présenter de plus en plus nettement, plus qu’un homme au visage hideux, un aigri voire un méchant. Heureusement, votre entreprise est vaine !
Je voudrais inviter à méditer sur vos propos rapportés ci-après qui renseignent suffisamment sur votre profil psychologique et confirment votre désarroi et la profondeur de vos états d’âme : « Je crois avoir joué un rôle, même modeste, dans l’avènement de l’alternance au Sénégal. J’ai eu à accompagner les autorités issues du 19 mars 2 000 pendant au moins une dizaine de mois, avant de prendre nettement mes distances, leur gouvernance se révélant rapidement très peu différente et même pire que celle des Socialistes. Depuis lors, je les combats avec plus de vigueur encore que je combattais les Socialistes, mais dans les limites admises par la Loi et la Démocratie».
Monsieur NIANG, vous avez un sérieux problème d’égo, le malheur des hommes que vous ciblez dans vos attaques personnelles, c’est d’être reconnus dans leur génération et tout au long de leur vie, comme de véritables serviteurs de l’Etat, par leur engagement et leur compétence au service de leurs compatriotes, ce que vous ne saurez jamais accomplir, pour le restant de votre vie, parce que vous n’avez pas encore bâti grand-chose pour notre cher Sénégal.
Les autorités que vous aurez accompagnées ou défiées, Me Abdoulaye WADE, Abdou DIOUF, Djibo Leyti KA, Me Ousmane NGOM, le Président Macky SALL, pour ne citer que ceux-là qui sont au cœur de votre activité favorite de dénigrement et d’invectives, sont des hommes qui ont tous en commun l’amour de la patrie, le courage de leur engagement politique et la force de l’originalité de leurs idées.
Vous ne pouvez pas le comprendre puisque vous n’êtes pas une lumière encore moins un digne fils du pays, capable du don de soi comme eux ont su le faire.
N’est-ce-pas vous qui avez servi sous l’autorité de Djibo Leyti KA, Ministre de l’Education nationale (MEN), en votre qualité d’inspecteur de l’Enseignement élémentaire, qui vous connait pour avoir apprécié vos capacités à cette époque ? Que voudriez-vous nous laisser comme legs en souvenance de votre engagement pour notre pays et les générations futures ?
Si arrivé au crépuscule de votre vie, vos propos et pensées puisés de votre modeste expérience, ne sont pas empreints de sagesse et d’enseignements en destination des jeunes de ma génération, c’est parce que depuis longtemps, vous vous êtes certainement trompés de combats, ce qui n’est certainement pas le cas de Monsieur Djibo Leyti KA.
Revenons à votre article qui commence par une série de contradictions, d’imprécision de date, le 05 juin 1998 est assez illustratif, et de contre vérités qui renseignent suffisamment sur vos motivations insoupçonnées.
Auparavant, je voudrais dire toute ma déception en lien avec l’insinuation que avez faite sur les propos tenus par Monsieur Habib THIAM dans son livre « Par devoir et par amitié » pour lesquels votre commentaire est totalement faux et manipulateur. Je ne m’y attarde pas parce que vous le savez mieux que moi, et pourtant vous n’en faites pas mention dans votre texte, que ces propos ont fait l’objet d’un démenti formel et imparable, en son temps, par le principal concerné Monsieur Djibo Leyti KA.
Pour terminer sur ce point précis, je relève qu’il est singulièrement lâche et malsain, de votre part, d’évoquer Monsieur Mayoro WADE qui n’est plus de ce monde, qu’il repose en paix, sachant qu’il ne nous reviendra pas pour vous démentir.
Premièrement : vous faites preuve d’une mesquinerie étonnante rien que pour arriver à vos fins : et ce faisant, vous êtes capable de censures des faits historiques. En soutenant que M. Djibo KA « a rompu définitivement les amarres avec le PS, après que le président Abdou Diouf l’eut traité publiquement d’hypocrite, le 14 mars 1998 (…) Les conséquences du Congrès dit sans débat du 30 mars 1996 étaient passées par là », vous proclamez là, un gros mensonge sur les raisons véritables du combat historique et politique du courant du Renouveau.
Il me semble nécessaire, contre votre amnésie et votre mauvaise foi, de revenir sur l’action des animateurs du Courant du Renouveau dont la démarche et le discours ont voulu faire admettre l’évidence, à savoir que la démocratie à l’intérieur d’un parti politique, comme dans le cadre d’une République ou, pour faire simple, dans la vie courante, est une nécessité vitale pour tout organisme vivant, surtout lorsqu’il est formé de personnes humaines.
Le concept de Renouveau marquait une volonté de rupture d’avec les méthodes anciennes jusque là en vigueur dans la l’action politique au Sénégal. Il traduisait une ferme volonté de faire la politique autrement dans la conception, dans l’action comme dans l’exécution des tâches pratiques.
Le Renouveau, c’était aussi une ambition, celle de renouveler, de moderniser la société sénégalaise, de renouveler et de moderniser les structures archaïques, des instances où se concevaient et se prenaient les décisions qui engagent l’avenir de la Nation.
Le combat de Djibo Leïty KA et ses camarades animateurs du Courant du Renouveau, loin d’être personnel, doit être analysé comme une remise en cause de tout privilège de nature politique dans l’appareil de direction du pays acquis par l’antidémocratie, par l’usage abusif de l’appareil d’Etat contre les volontés et les libertés des citoyens.
L’histoire retiendra que le Courant du Renouveau avait opposé deux camps : les rénovateurs qui avaient souscrit pour des Changements de politique, de méthodes et de structures en vue d’un Sénégal émergent contre de faux « refondateurs » qui ont érigé l’injustice, la pensée unique et le favoritisme en règles de gestion.
Elle retiendra surtout le courage politique avec lequel le Courant du Renouveau a conduit Djibo Leïty KA et ses vingt deux (22) camarades à rejeter formellement la dictature en démissionnant du Parti Socialiste, tout en réaffirmant leur ancrage dans les valeurs du Socialisme démocratique.
Deuxièment : Evoquant les positions formulées et assumées par le candidat de l’URD à l’élection présidentielle de 2000 qui consacra la première alternance politique au Sénégal, il est à préciser que Monsieur Djibo Leyti KA avait mandat d’aller à la rencontre de ses compatriotes avec une offre politique et programmatique, porteuse de changement et de progrès.
La culture démocratique d’alors n’était pas suffisamment préparée aux négociations que donne la survenance d’un second tour présidentiel, qui est aussi l’occasion d’alliances et de désalliances, normalement basées sur des convergences programmatiques des candidats en compétition pour le développement d’un même pays, une réalité politique électorale universelle!
Cela n’enlève en rien le droit de critiques du citoyen sur l’action des hommes publics qui est contraire à toutes formes d’acharnements et d’attaques crypto personnelles, comme celles que nos compatriotes ont droit à chaque fois qu’il survient en vous la folie d’insulter gratuitement et publiquement d’honnêtes gens, en distribuant des bons points et des mauvais points, comme cela vous enchante.
Apprenez à critiquer objectivement et commencer d’abord par vous-mêmes, vous perdrez en prétention et gagnerez en modestie !
Pour Djibo Leyti KA, il s’est déjà fait l’idée depuis longtemps que l’Homme politique n’est rien en dehors de ce que l’opinion et l’homme de la rue en font. Il est devant des procès d’intention par le fait de personnes de votre espèce, donc ce n’est pas à vous qu’il demandera d’être juste et équitable en évaluant son action politique et républicaine.
Monsieur Mody NIANG, il faut savoir raison gardée ! Vous tirez sur tout ce qui bouge depuis que vous êtes renvoyé de l’OFNAC pour des problèmes de salaires. Vous trainez un complexe d’infériorité vis-à-vis de Monsieur Djibo Leyti KA que tu vis amèrement. Et pourtant vous le portez en estime plus qu’il vous subjugue que vous faites mine de l’ignorer.
Pour conclure, je tiens simplement à noter la constance dans votre tentative de jeter le discrédit et l’anathème sur Djibo Leïty KA. C’est très lâche de votre part de continuer à poignarder dans le dos d’honnêtes citoyens engagés irréversiblement dans le Mouvement d’émancipation, de rénovation et de construction nationales.
En tant que socio-démocrates, les rénovateurs sont profondément attachés à la démocratie, à la justice sociale et le progrès, la tolérance et la liberté. La liberté d’expression est parmi les libertés les plus fondamentales pour la promotion d’une démocratie paisible et apaisée ; elle doit être protégée de pratiques malsaines et mercantilistes qui sapent ses fondements et nuisent à sa crédibilité.
Arona BA
Economiste - Conseiller en Planification
Expert en Planification du Développement local
Membre de la Coordination des Cadres de l’Union pour le Renouveau Démocratique (U.R.D)
Skype : ba_arona
Le titre de votre article est assez évocateur de l’exercice de diabolisation de Monsieur Djibo Leyti KA qui a été ici le seul objectif poursuivi tout au long de votre texte.
Vous avez eu l’occasion d’honorer votre sens d’éthique et d’objectivité, en rapportant les faits dans le contexte précis où ils se déroulèrent, mais au contraire, vous avez pris l’option d’avoir au bout de votre plume, l’insulte, la délation et la désinformation, presque de manière cynique, le dessein de briseur de destin d’un homme que Dieu a fait et que la calomnie ne saurait défaire. Vous avez certainement souvenance de vos propos de 2006 par lesquels que soutenez que « si la foudre devait tomber sur le Sénégal alors qu’elle tombe sur Djibo KA ». Il ne vous reste qu’à commanditer son meurtre maintenant !
Monsieur NIANG, qu’est ce qui peut bien apaiser votre haine de Djibo KA ?
Un lecteur attentif vous surprend facilement dans votre regrettable posture de quelqu’un décidé à régler des comptes, une posture devenue tellement rituelle chez vous, au point de vous présenter de plus en plus nettement, plus qu’un homme au visage hideux, un aigri voire un méchant. Heureusement, votre entreprise est vaine !
Je voudrais inviter à méditer sur vos propos rapportés ci-après qui renseignent suffisamment sur votre profil psychologique et confirment votre désarroi et la profondeur de vos états d’âme : « Je crois avoir joué un rôle, même modeste, dans l’avènement de l’alternance au Sénégal. J’ai eu à accompagner les autorités issues du 19 mars 2 000 pendant au moins une dizaine de mois, avant de prendre nettement mes distances, leur gouvernance se révélant rapidement très peu différente et même pire que celle des Socialistes. Depuis lors, je les combats avec plus de vigueur encore que je combattais les Socialistes, mais dans les limites admises par la Loi et la Démocratie».
Monsieur NIANG, vous avez un sérieux problème d’égo, le malheur des hommes que vous ciblez dans vos attaques personnelles, c’est d’être reconnus dans leur génération et tout au long de leur vie, comme de véritables serviteurs de l’Etat, par leur engagement et leur compétence au service de leurs compatriotes, ce que vous ne saurez jamais accomplir, pour le restant de votre vie, parce que vous n’avez pas encore bâti grand-chose pour notre cher Sénégal.
Les autorités que vous aurez accompagnées ou défiées, Me Abdoulaye WADE, Abdou DIOUF, Djibo Leyti KA, Me Ousmane NGOM, le Président Macky SALL, pour ne citer que ceux-là qui sont au cœur de votre activité favorite de dénigrement et d’invectives, sont des hommes qui ont tous en commun l’amour de la patrie, le courage de leur engagement politique et la force de l’originalité de leurs idées.
Vous ne pouvez pas le comprendre puisque vous n’êtes pas une lumière encore moins un digne fils du pays, capable du don de soi comme eux ont su le faire.
N’est-ce-pas vous qui avez servi sous l’autorité de Djibo Leyti KA, Ministre de l’Education nationale (MEN), en votre qualité d’inspecteur de l’Enseignement élémentaire, qui vous connait pour avoir apprécié vos capacités à cette époque ? Que voudriez-vous nous laisser comme legs en souvenance de votre engagement pour notre pays et les générations futures ?
Si arrivé au crépuscule de votre vie, vos propos et pensées puisés de votre modeste expérience, ne sont pas empreints de sagesse et d’enseignements en destination des jeunes de ma génération, c’est parce que depuis longtemps, vous vous êtes certainement trompés de combats, ce qui n’est certainement pas le cas de Monsieur Djibo Leyti KA.
Revenons à votre article qui commence par une série de contradictions, d’imprécision de date, le 05 juin 1998 est assez illustratif, et de contre vérités qui renseignent suffisamment sur vos motivations insoupçonnées.
Auparavant, je voudrais dire toute ma déception en lien avec l’insinuation que avez faite sur les propos tenus par Monsieur Habib THIAM dans son livre « Par devoir et par amitié » pour lesquels votre commentaire est totalement faux et manipulateur. Je ne m’y attarde pas parce que vous le savez mieux que moi, et pourtant vous n’en faites pas mention dans votre texte, que ces propos ont fait l’objet d’un démenti formel et imparable, en son temps, par le principal concerné Monsieur Djibo Leyti KA.
Pour terminer sur ce point précis, je relève qu’il est singulièrement lâche et malsain, de votre part, d’évoquer Monsieur Mayoro WADE qui n’est plus de ce monde, qu’il repose en paix, sachant qu’il ne nous reviendra pas pour vous démentir.
Premièrement : vous faites preuve d’une mesquinerie étonnante rien que pour arriver à vos fins : et ce faisant, vous êtes capable de censures des faits historiques. En soutenant que M. Djibo KA « a rompu définitivement les amarres avec le PS, après que le président Abdou Diouf l’eut traité publiquement d’hypocrite, le 14 mars 1998 (…) Les conséquences du Congrès dit sans débat du 30 mars 1996 étaient passées par là », vous proclamez là, un gros mensonge sur les raisons véritables du combat historique et politique du courant du Renouveau.
Il me semble nécessaire, contre votre amnésie et votre mauvaise foi, de revenir sur l’action des animateurs du Courant du Renouveau dont la démarche et le discours ont voulu faire admettre l’évidence, à savoir que la démocratie à l’intérieur d’un parti politique, comme dans le cadre d’une République ou, pour faire simple, dans la vie courante, est une nécessité vitale pour tout organisme vivant, surtout lorsqu’il est formé de personnes humaines.
Le concept de Renouveau marquait une volonté de rupture d’avec les méthodes anciennes jusque là en vigueur dans la l’action politique au Sénégal. Il traduisait une ferme volonté de faire la politique autrement dans la conception, dans l’action comme dans l’exécution des tâches pratiques.
Le Renouveau, c’était aussi une ambition, celle de renouveler, de moderniser la société sénégalaise, de renouveler et de moderniser les structures archaïques, des instances où se concevaient et se prenaient les décisions qui engagent l’avenir de la Nation.
Le combat de Djibo Leïty KA et ses camarades animateurs du Courant du Renouveau, loin d’être personnel, doit être analysé comme une remise en cause de tout privilège de nature politique dans l’appareil de direction du pays acquis par l’antidémocratie, par l’usage abusif de l’appareil d’Etat contre les volontés et les libertés des citoyens.
L’histoire retiendra que le Courant du Renouveau avait opposé deux camps : les rénovateurs qui avaient souscrit pour des Changements de politique, de méthodes et de structures en vue d’un Sénégal émergent contre de faux « refondateurs » qui ont érigé l’injustice, la pensée unique et le favoritisme en règles de gestion.
Elle retiendra surtout le courage politique avec lequel le Courant du Renouveau a conduit Djibo Leïty KA et ses vingt deux (22) camarades à rejeter formellement la dictature en démissionnant du Parti Socialiste, tout en réaffirmant leur ancrage dans les valeurs du Socialisme démocratique.
Deuxièment : Evoquant les positions formulées et assumées par le candidat de l’URD à l’élection présidentielle de 2000 qui consacra la première alternance politique au Sénégal, il est à préciser que Monsieur Djibo Leyti KA avait mandat d’aller à la rencontre de ses compatriotes avec une offre politique et programmatique, porteuse de changement et de progrès.
La culture démocratique d’alors n’était pas suffisamment préparée aux négociations que donne la survenance d’un second tour présidentiel, qui est aussi l’occasion d’alliances et de désalliances, normalement basées sur des convergences programmatiques des candidats en compétition pour le développement d’un même pays, une réalité politique électorale universelle!
Cela n’enlève en rien le droit de critiques du citoyen sur l’action des hommes publics qui est contraire à toutes formes d’acharnements et d’attaques crypto personnelles, comme celles que nos compatriotes ont droit à chaque fois qu’il survient en vous la folie d’insulter gratuitement et publiquement d’honnêtes gens, en distribuant des bons points et des mauvais points, comme cela vous enchante.
Apprenez à critiquer objectivement et commencer d’abord par vous-mêmes, vous perdrez en prétention et gagnerez en modestie !
Pour Djibo Leyti KA, il s’est déjà fait l’idée depuis longtemps que l’Homme politique n’est rien en dehors de ce que l’opinion et l’homme de la rue en font. Il est devant des procès d’intention par le fait de personnes de votre espèce, donc ce n’est pas à vous qu’il demandera d’être juste et équitable en évaluant son action politique et républicaine.
Monsieur Mody NIANG, il faut savoir raison gardée ! Vous tirez sur tout ce qui bouge depuis que vous êtes renvoyé de l’OFNAC pour des problèmes de salaires. Vous trainez un complexe d’infériorité vis-à-vis de Monsieur Djibo Leyti KA que tu vis amèrement. Et pourtant vous le portez en estime plus qu’il vous subjugue que vous faites mine de l’ignorer.
Pour conclure, je tiens simplement à noter la constance dans votre tentative de jeter le discrédit et l’anathème sur Djibo Leïty KA. C’est très lâche de votre part de continuer à poignarder dans le dos d’honnêtes citoyens engagés irréversiblement dans le Mouvement d’émancipation, de rénovation et de construction nationales.
En tant que socio-démocrates, les rénovateurs sont profondément attachés à la démocratie, à la justice sociale et le progrès, la tolérance et la liberté. La liberté d’expression est parmi les libertés les plus fondamentales pour la promotion d’une démocratie paisible et apaisée ; elle doit être protégée de pratiques malsaines et mercantilistes qui sapent ses fondements et nuisent à sa crédibilité.
Arona BA
Economiste - Conseiller en Planification
Expert en Planification du Développement local
Membre de la Coordination des Cadres de l’Union pour le Renouveau Démocratique (U.R.D)
Skype : ba_arona