A maintes reprises, ce monsieur ne se prive en aucun moment de donner son avis sur l’évolution de la crise au sud du pays, les différents processus de paix enclenchés jusque là. Mais, M Ndiaye, prendre position jusqu’à traiter le Groupe de réflexion sur la paix en Casamance(GRPC) de « Gouvernement rebelle provisoire en Casamance » comme annoncé par site scoopsdeziguinchor.com c’est étaler votre malhonnêteté intellectuelle au public. Car, la réponse d’Atab Bodian membre du collectif des cadres casamançais, dans le même support médiatique exprime toute son inquiétude sur votre comportement. Aujourd’hui vous venez d’étaler honteusement, sur des prises de positions quémandeuses oui, il faut le dire, dans cette dynamique laquelle vous n’êtes d’ailleurs pas le seul. Certains de vos amis sont déjà placés dans la gestion des affaires du chef de l’Etat, en l’occurrence à la Fondation de la Première Dame, Mme Marième Faye Sall.
Si vous avez toujours été objectif dans vos analyses sur la question de la Casamance, un chef rebelle vous aurez cité peut être parmi les journalistes qui font leur boulot dans cette crise avec distanciation. Et pourtant, de jeunes journalistes, tels que Demba Ndiaye, (ex dirpub de la défunte Le Sentinelle) en est un exemple illustratif.
Je comprends d’ailleurs pourquoi vous préférez ce journalisme de bureau, consistant à écrire des analyses, des commentaires, des éditoriaux ou chroniques ? Ça ne nécessite pas une descente sur le terrain. Vous êtes « journaliste politologue ». Dites-nous de quelle école de journalisme êtes vous sorti, de grâce ne serait ce que pour justifier que vous êtes effectivement journaliste. Ce n’est pas une attaque, non, loin de là. Mais l’heure est grave car tantôt vous êtes vert, tantôt jaune, tantôt rouge. Seul un caméléon qui dispose de cette capacité de changement de couleur selon la végétation.
A vous entendre parler, depuis que Macky Sall a pris les rênes du pouvoir, on a l’impression que c’est un quémandeur qui parle. Avec tout ce que la communauté Sant Edgio a fait avec le président Yaya Jammeh pour libérer les douze otages militaires, vous les avez traités de tous les noms d’oiseaux. De bonne ou de mauvaise augure ? Vous avez cité les échecs de cette communauté au Mozambique et dans d’autres pays. Mais si on fait un échec est ce on peut faire toujours des échecs pour toute la vie ? Et d’ailleurs, pourquoi n’avez-vous pas donné votre opinion avant que l’Etat sollicite ces italiens, si vous avez vraiment les clefs du succès dans le règlement dans cette crise. ?
Et aujourd’hui encore, ce groupe qui a pour mission, entre autres, de proposer au MFDC une alternative à l’indépendance de la Casamance, vient d’entendre, en effet, des experts de l’Allemagne, du Canada, de la Suisse et des Etats Unis d’Amérique, sur leur expérience respective dans le domaine de la décentralisation et de la déconcentration. Il est prévu que d’autres Etats, notamment africains, soient entendus. Comme à votre habitude, vous nourrissez des craintes. A propos de quoi, dites-nous. De grâce, les gens avancent. Il est clair que tout le monde ne peut pas être dans cette barque, mais de grâce, si c’est bien, il faut dire que c’est bien.
Alors dites aux sénégalais pourquoi êtes-vous pessimistes au point de qualifier ce groupe de réflexion de gouvernement de rebelles ? C’est vrai on peut être pessimiste, à chaque fois. Mais quand les choses prennent une bonne ligne, de grâce, il faut s’en réjouir. Mais non seulement vous ne donnez pas de propositions, vous passez tout votre temps à vous ridiculiser sur des commentaires. Heureusement que ce vous dites ne concerne que vous. D’où votre choix pertinent du journalisme de bureau.
Si vous avez toujours été objectif dans vos analyses sur la question de la Casamance, un chef rebelle vous aurez cité peut être parmi les journalistes qui font leur boulot dans cette crise avec distanciation. Et pourtant, de jeunes journalistes, tels que Demba Ndiaye, (ex dirpub de la défunte Le Sentinelle) en est un exemple illustratif.
Je comprends d’ailleurs pourquoi vous préférez ce journalisme de bureau, consistant à écrire des analyses, des commentaires, des éditoriaux ou chroniques ? Ça ne nécessite pas une descente sur le terrain. Vous êtes « journaliste politologue ». Dites-nous de quelle école de journalisme êtes vous sorti, de grâce ne serait ce que pour justifier que vous êtes effectivement journaliste. Ce n’est pas une attaque, non, loin de là. Mais l’heure est grave car tantôt vous êtes vert, tantôt jaune, tantôt rouge. Seul un caméléon qui dispose de cette capacité de changement de couleur selon la végétation.
A vous entendre parler, depuis que Macky Sall a pris les rênes du pouvoir, on a l’impression que c’est un quémandeur qui parle. Avec tout ce que la communauté Sant Edgio a fait avec le président Yaya Jammeh pour libérer les douze otages militaires, vous les avez traités de tous les noms d’oiseaux. De bonne ou de mauvaise augure ? Vous avez cité les échecs de cette communauté au Mozambique et dans d’autres pays. Mais si on fait un échec est ce on peut faire toujours des échecs pour toute la vie ? Et d’ailleurs, pourquoi n’avez-vous pas donné votre opinion avant que l’Etat sollicite ces italiens, si vous avez vraiment les clefs du succès dans le règlement dans cette crise. ?
Et aujourd’hui encore, ce groupe qui a pour mission, entre autres, de proposer au MFDC une alternative à l’indépendance de la Casamance, vient d’entendre, en effet, des experts de l’Allemagne, du Canada, de la Suisse et des Etats Unis d’Amérique, sur leur expérience respective dans le domaine de la décentralisation et de la déconcentration. Il est prévu que d’autres Etats, notamment africains, soient entendus. Comme à votre habitude, vous nourrissez des craintes. A propos de quoi, dites-nous. De grâce, les gens avancent. Il est clair que tout le monde ne peut pas être dans cette barque, mais de grâce, si c’est bien, il faut dire que c’est bien.
Alors dites aux sénégalais pourquoi êtes-vous pessimistes au point de qualifier ce groupe de réflexion de gouvernement de rebelles ? C’est vrai on peut être pessimiste, à chaque fois. Mais quand les choses prennent une bonne ligne, de grâce, il faut s’en réjouir. Mais non seulement vous ne donnez pas de propositions, vous passez tout votre temps à vous ridiculiser sur des commentaires. Heureusement que ce vous dites ne concerne que vous. D’où votre choix pertinent du journalisme de bureau.