Plus d’un quart de siècle de journalier, bavure à la liberté syndicale, instauration d’une carte xénophobe, c’est ici le ras bol des travailleurs de la société simpa
Ca suffit, trop c’est trop, rien ne sera plus comme avant a martelé au cours de leur assemblée général son secrétaire général Cheikh Gueye, face à la presse
Ce que nous réclamons, c’est tout simplement l’application stricte des dispositions législatives qui régissent notre pays a t- il brandit, c’est un combat légal et légitime inscrit il, nous en avons marre en effet sur ce lâche t –il j’interpelle l’Etat du Sénégal : personne ne nous a jamais entendu manifester, nous lançons ici, un alerte dit il, nous sommes des citoyens épris de justice et de paix et sommes signataires du pacte de stabilité sociale, l’Etat doit engager sa responsabilité s’est –il exprimé
Car déclare t-il nous regrettons fort, ce cout de l’Etat il y’a seulement quelques mois sous la coupole de l’inspecteur du travail autorisant de manière aberrante le licenciement d’un délégué du personnel pour simplement avoir participé à une visite d’un ministre de la république dont Aly Ngouye Ndiaye au sein de l’entreprise SIMPA
Dans cette même ordre de forfaitures, la volonté du Directeur General Birahim Wahili de faire tache l’huile la suprématie de sa race libanaise sur le noir sénégalais est devenue une loi à en croire au Secrétaire Général du Syndicat des travailleurs de SIMPA, Cheikh Gueye, un vécu qui leurs ôte tous les faveurs et privilèges d’agents ainsi que l’exercice et la pratique de liberté syndicale
En effet si dans un pays de droit surtout à une étape cruciale , au moment ou le gouvernent s’engage à un pacte pour une stabilité sociale, un patron d’entreprise ,membre du CNES se comporte comme telle ,et jusqu’ici aucune sanction ne lui est influée , il a ses bourreaux a souligné Cheikh Gueye qui précise ,en réalité ,je n’ai fait que parapher les propres expressions de Birahim Wahili :je ne suis obligé à aucun droit de regard, j’ai ma force , c’est mon argent , mes amis ministres de la Républiques , inspecteur de travail et magistrats
AMINA BAYO