Lorsqu’il reçut une nouvelle assignation à comparaître après le verdict rendu en 2019, Saër Kébé n’en croyait pas ses yeux. Condamné à trois mois avec sursis pour menace, l’étudiant qui reprend sa vie en main croyait ce chapitre de sa vie clos à jamais. Mais c’est sans compter sur la détermination du parquet de le plonger dans un passé avec lequel il veut rompre définitivement.
Heureusement pour Saër Kébé, la Cour d’appel a compris le sens de son nouveau cheminement et n’a pas suivi le parquet général qui s’était rapporté au premier réquisitoire. L’étudiant reste ainsi en liberté et peut poursuivre ses études en toute quiétude comme il l’a dit devant le prétoire.
« Tout ce qui me préoccupe, c'est de terminer mes études et de devenir quelqu’un dans ce pays », a déclaré Saër Kébé à qui l’occasion de prononcer d’ultimes regrets a été offerte par le juge de la Cour d’appel.
Rappelons que c’est suite à des menaces postées sur les pages de l’ambassade des États-Unis et de l’armée israélienne que Saër Kébé, alors en Terminale, a été arrêté. Il a fait quatre ans de détention préventive avant d’être jugé pour apologie du terrorisme et actes de terrorisme par menace.
Heureusement pour Saër Kébé, la Cour d’appel a compris le sens de son nouveau cheminement et n’a pas suivi le parquet général qui s’était rapporté au premier réquisitoire. L’étudiant reste ainsi en liberté et peut poursuivre ses études en toute quiétude comme il l’a dit devant le prétoire.
« Tout ce qui me préoccupe, c'est de terminer mes études et de devenir quelqu’un dans ce pays », a déclaré Saër Kébé à qui l’occasion de prononcer d’ultimes regrets a été offerte par le juge de la Cour d’appel.
Rappelons que c’est suite à des menaces postées sur les pages de l’ambassade des États-Unis et de l’armée israélienne que Saër Kébé, alors en Terminale, a été arrêté. Il a fait quatre ans de détention préventive avant d’être jugé pour apologie du terrorisme et actes de terrorisme par menace.