Samba Diouldé Thiam n’y est pas allé par le dos de la cuillère, pour fustiger le dernier acte posé par le Saes dans son combat contre la réforme des universités, consistant à brûler la loi.
Il trouve cette façon de procéder d’autant plus grave qu’elle est le fait de professeurs d’université. «Incinérer une loi est grave pour des gens du savoir. Brûler la loi n’honore personne» fulmine-t-il. Selon lui, «qui brûle la loi, menace de brûler la République». Mieux soutient-il, «l’université n’appartient pas aux enseignants du supérieur, mais elle appartient à la société».
Il trouve cette façon de procéder d’autant plus grave qu’elle est le fait de professeurs d’université. «Incinérer une loi est grave pour des gens du savoir. Brûler la loi n’honore personne» fulmine-t-il. Selon lui, «qui brûle la loi, menace de brûler la République». Mieux soutient-il, «l’université n’appartient pas aux enseignants du supérieur, mais elle appartient à la société».