« On avait l’habitude de se disputer comme tout jeune couple mais à chaque fois, elle tentait de me faire mal au niveau de mes parties intimes. Regardez mon corps, il y a sept morsures dans mon corps et toutes ces blessures ont été causées par elle. C’est vous dire que j’ai longtemps souffert dans ma chambre, mais j’ai toujours fait contre mauvaise fortune bon cœur en me convainquant qu’un jour, elle finira par changer de fusil d’épaule mais je constate que je me suis trompé à son sujet.
Elle a franchi le rubicond. Cette femme a failli gâcher ma vie. Lorsqu’elle s’est agrippée sur mes partis intimes, je me suis senti très diminué. Je ne pouvais rien faire ! Mon caleçon n’a pas enveloppé tout mon sexe, c’est ce qui lui a facilité les choses. Quant j’ai senti qu’elle m’a dominé, j ai hurlé de toutes mes forces dans l’espoir de trouver de l’aide. Mais en vain car mes sœur qui n’étaient pas loin ne pouvaient rien faire pour m’extirper des griffes de cette… (Il ne terme pas sa phrase).
Elle a continué à tirer avec ses dents jusqu’à ce qu’une partie de mon gland soit sectionné. C’est seulement en ce moment qu’une de mes voisines est venue à mon secours et lui a donné un coup et elle a fini par lâcher prise malgré elle. Mais je commençais à me vider de mon sang. J’étais presque dans les pompes. Je ne savais plus où je me trouvais tellement la douleur était à un degré insupportable. », a narré Sawrou Ndiaye.
Elle a franchi le rubicond. Cette femme a failli gâcher ma vie. Lorsqu’elle s’est agrippée sur mes partis intimes, je me suis senti très diminué. Je ne pouvais rien faire ! Mon caleçon n’a pas enveloppé tout mon sexe, c’est ce qui lui a facilité les choses. Quant j’ai senti qu’elle m’a dominé, j ai hurlé de toutes mes forces dans l’espoir de trouver de l’aide. Mais en vain car mes sœur qui n’étaient pas loin ne pouvaient rien faire pour m’extirper des griffes de cette… (Il ne terme pas sa phrase).
Elle a continué à tirer avec ses dents jusqu’à ce qu’une partie de mon gland soit sectionné. C’est seulement en ce moment qu’une de mes voisines est venue à mon secours et lui a donné un coup et elle a fini par lâcher prise malgré elle. Mais je commençais à me vider de mon sang. J’étais presque dans les pompes. Je ne savais plus où je me trouvais tellement la douleur était à un degré insupportable. », a narré Sawrou Ndiaye.