Ces agents qui sont issus des différentes sociétés de sécurité et de gardiennage ont exercé au port durant 10 années selon Isidor Coly, le secrétaire général du SAGAS. A en croire le syndicaliste, les licenciements ont profité aux militants de l’APR de la région de Fatick. Une situation qui pose un problème de sécurité au port. Le SAGAS affirme que les normes internationales de sécurité n’ont pas été respectées ; les personnes bénéficiaires de ces licenciements n’ont subi que trois semaines de formation confient-ils.
Pour attirer l’attention sur les risques encourus, le SAGAS a donné l’exemple d’un agent tué dans l’exercice de ses fonctions, un certain Mr Sagna. Et qui plus est, le syndicat qualifie cette façon de procéder comme un gré à gré. « La sécurité du port a été confiée à une société appelée SPS sans appel d’offres » selon le syndicat.
Dans son plan d’actions, le SAGAS prévoit de tenir un sitting et de faire une marche. A travers ces manifestations, les agents de sécurité comptent rétablir les 450 agents dans leur droit. Mais aussi, Isidor Coly et ses camarades veulent amener l’Etat à la table des négociations pour l’application de la convention relative au statu des sociétés d’agents de sécurité et de gardiennage.
Pour attirer l’attention sur les risques encourus, le SAGAS a donné l’exemple d’un agent tué dans l’exercice de ses fonctions, un certain Mr Sagna. Et qui plus est, le syndicat qualifie cette façon de procéder comme un gré à gré. « La sécurité du port a été confiée à une société appelée SPS sans appel d’offres » selon le syndicat.
Dans son plan d’actions, le SAGAS prévoit de tenir un sitting et de faire une marche. A travers ces manifestations, les agents de sécurité comptent rétablir les 450 agents dans leur droit. Mais aussi, Isidor Coly et ses camarades veulent amener l’Etat à la table des négociations pour l’application de la convention relative au statu des sociétés d’agents de sécurité et de gardiennage.