De la vidéo diffusée la semaine dernière, laquelle a été secrètement installée dans la salle de l’opération par Anas Anas Aremeyaw, un mystérieux journaliste d'investigation de renommé au Ghana, il ressort que pour les besoins de l'opération chirurgicale, Joshua Drah pour assouvir ses vices, fait déshabiller ses patientes, entretient des relations sexuelles avec elles sous prétexte que sans ces rapports l'avortement ne pourra pas réussir.
Partant des investigations sur la pratique d’avortement illégal dans la capitale, une équipe de la presse, le New Crusading GUIDE, guidée par Anas Aremeyaw Anas avec le soutient du Département des Investigations Criminelles (CID) et les Panthers, une unité de la Police ghanéenne, ont effectué une descente dans les locaux de la clinique ‘‘Universal Mission Clinic’’ avec en piège une copine d’un agent de sécurité admise dans les lieux pour une chirurgie. Le coupable a été arrêté est sous interrogatoire par la Police. Il comparaitra dans les prochains jours devant un tribunal pour répondre de ses actes.
A Accra la vidéo diffusée sur une chaine câblée tard dans la nuit du mercredi dernier à cause de son contenu indécent continue de choquer la population. Pendant qu’on chiffre le nombre d’avortement de bébés à 1ooo cas, le nombre de jeunes filles ayant gouté à la ‘‘ la chose’’ comme Joshua Drah aime surnommer sa relation illicite avec ses patientes se chiffre à 52 femmes.
Pour la séquence filmée qui n’est pas encore accessible au grand public en raison de son contenu immoral, on découvre le docteur Joshua Drah dans sa salle d’opération dans des scènes époustouflantes et dans des actes brutaux avec ses patientes allongées sur le lit d’avortement. Pour tout frais, le docteur dont la licence a expiré et qui se dit entrain de travailler pour la renouveler a annoncé il y a toujours un prix à payer pour un avortement. Au-delà de ses honoraires qui se chiffre entre 50 et 100 Ghana cedis soit une somme d’environ 15 et 30.000 F Cfa avant l'opération, les belles patientes paient un autre frais supplémentaire, une relation sexuelle au cours de l’avortement.
Rappelons qu’avant de filmer cette opération, il a fallu une période de trois mois à l’investigateur Anas Aremeyaw et à son équipe qui ont placé des caméras cachées sous des lits dans la salle de l’opération. L’âge des femmes varie entre 20 et 40 ans et la somme des frais de l’opération varie e fonction de la durée de la grossesse. Pour réussir son investigation, l’enquêteur s’était déguisé en femme de ménage et plus tard en assistante médicale.
La suite de l’interrogatoire permettra de savoir les prochains jours, si les relations sexuelles de Joshua Drah avec les femmes étaient consentantes ou non.
Mensah,KOACI.COM
Partant des investigations sur la pratique d’avortement illégal dans la capitale, une équipe de la presse, le New Crusading GUIDE, guidée par Anas Aremeyaw Anas avec le soutient du Département des Investigations Criminelles (CID) et les Panthers, une unité de la Police ghanéenne, ont effectué une descente dans les locaux de la clinique ‘‘Universal Mission Clinic’’ avec en piège une copine d’un agent de sécurité admise dans les lieux pour une chirurgie. Le coupable a été arrêté est sous interrogatoire par la Police. Il comparaitra dans les prochains jours devant un tribunal pour répondre de ses actes.
A Accra la vidéo diffusée sur une chaine câblée tard dans la nuit du mercredi dernier à cause de son contenu indécent continue de choquer la population. Pendant qu’on chiffre le nombre d’avortement de bébés à 1ooo cas, le nombre de jeunes filles ayant gouté à la ‘‘ la chose’’ comme Joshua Drah aime surnommer sa relation illicite avec ses patientes se chiffre à 52 femmes.
Pour la séquence filmée qui n’est pas encore accessible au grand public en raison de son contenu immoral, on découvre le docteur Joshua Drah dans sa salle d’opération dans des scènes époustouflantes et dans des actes brutaux avec ses patientes allongées sur le lit d’avortement. Pour tout frais, le docteur dont la licence a expiré et qui se dit entrain de travailler pour la renouveler a annoncé il y a toujours un prix à payer pour un avortement. Au-delà de ses honoraires qui se chiffre entre 50 et 100 Ghana cedis soit une somme d’environ 15 et 30.000 F Cfa avant l'opération, les belles patientes paient un autre frais supplémentaire, une relation sexuelle au cours de l’avortement.
Rappelons qu’avant de filmer cette opération, il a fallu une période de trois mois à l’investigateur Anas Aremeyaw et à son équipe qui ont placé des caméras cachées sous des lits dans la salle de l’opération. L’âge des femmes varie entre 20 et 40 ans et la somme des frais de l’opération varie e fonction de la durée de la grossesse. Pour réussir son investigation, l’enquêteur s’était déguisé en femme de ménage et plus tard en assistante médicale.
La suite de l’interrogatoire permettra de savoir les prochains jours, si les relations sexuelles de Joshua Drah avec les femmes étaient consentantes ou non.
Mensah,KOACI.COM