Cette mère de famille célibataire est au cœur du scandale présumé de prostitution qui frappe le service de sécurité de Barack Obama. Jeudi, le New York Daily News a publié des photos de la femme à l'origine du ménage au Secret Service.
Deux agents ont été limogés et un autre est parti à la retraite. Et selon le représentant républicain Peter King, d'autres devraient suivre dans les prochains jours.
Obama tente d'éviter une récupération
La prostituée raconte au New York Times que la dispute a éclaté sur le tarif du service. Un des agents lui a offert 30 dollars, alors qu'elle affirme être une call-girl de luxe gagnant 800 dollars par nuit. Alors que le ton montait, la police est intervenue et l'affaire est remontée jusqu'à l'ambassade puis à Washington.
«L'incident en Colombie fait l'objet d'une enquête. Le président attend évidemment ses conclusions», a déclaré le porte-parole de la Maison Blanche, qui veut éviter une récupération politique de l'affaire. Une douzaine de membres de son service de sécurité sont soupçonnés d'avoir acheté les services de plusieurs prostituées -ce qui est légal en Colombie- pendant qu'ils préparaient la venue du président au sommet des Amériques.
Mercredi, Mitt Romney, s'est invité dans la controverse en soulignant que s'il était élu, il ferait «le ménage» dans le Secret Service et renverrait les personnes impliquées.
Deux agents ont été limogés et un autre est parti à la retraite. Et selon le représentant républicain Peter King, d'autres devraient suivre dans les prochains jours.
Obama tente d'éviter une récupération
La prostituée raconte au New York Times que la dispute a éclaté sur le tarif du service. Un des agents lui a offert 30 dollars, alors qu'elle affirme être une call-girl de luxe gagnant 800 dollars par nuit. Alors que le ton montait, la police est intervenue et l'affaire est remontée jusqu'à l'ambassade puis à Washington.
«L'incident en Colombie fait l'objet d'une enquête. Le président attend évidemment ses conclusions», a déclaré le porte-parole de la Maison Blanche, qui veut éviter une récupération politique de l'affaire. Une douzaine de membres de son service de sécurité sont soupçonnés d'avoir acheté les services de plusieurs prostituées -ce qui est légal en Colombie- pendant qu'ils préparaient la venue du président au sommet des Amériques.
Mercredi, Mitt Romney, s'est invité dans la controverse en soulignant que s'il était élu, il ferait «le ménage» dans le Secret Service et renverrait les personnes impliquées.