photo d'illustration
Selon le quotidien Walf Grand’Place parcouru par Setal.net, tout est parti d’une rencontre entre le commerçant et l’étudiante qui lui a demandé une assistance de 15 mille francs. Il est vite convenu un rendez-vous au jardin public de Kaolack où l’étudiante se verra remettre 50 mille au lieu des 15 mille dont elle a besoin. Contente de son donateur, elle lui ouvre son entrejambes. Le gus n’y crache pas. Mieux, il satisfait sa libido.
De retour à Dakar, l’étudiante appelle son « commerçant » pour lui apprendre qu’elle a contracté une grossesse des suites de leur rapport sexuel. Et comme elle ne veut pas de cet enfant, un avortement s’impose. C’est alors qu’elle demande au commerçant de lui envoyer 400 mille pour interrompre la grossesse. Somme que le pauvre a envoyé pour ne pas se retrouver dans une situation inconfortable eu égard à son statut d’homme marié.
Prétextant des complications dues au déroulement de l’avortement, elle soutire au commerçant 400 mille et 389 mille. L’homme à la gâchette facile et naïve est soumis à un chantage. De fil en aiguille, il est dévalisé par l’étudiante et son amie. Toute sorte d’histoire est crée pour soutirer de l’argent au commerçant qui se retrouvera avec un trou de 5 millions 400 mille. Selon Walf Grand’Place, il aurait même vendu un véhicule pour s’acquitter de ses obligations à l’endroit de l’alitée qui s’est dotée d’une chambre à coucher, d’un salon, d’un téléviseur écran plat, d’un frigo bar et d’un ordinateur portable avec l’argent qui était destiné à son traitement.
Mais comme toute chose à une fin, leur sale besogne ne dérogera pas à cette règle. Essoufflé, le commerçant se rendra au commissariat de police de Kaolack pour raconter sa mésaventure aux limiers qui prennent les choses en main. Quelques jours après, les deux étudiantes sont arrêtées et mises au gnouf pour extorsion de fonds.
De retour à Dakar, l’étudiante appelle son « commerçant » pour lui apprendre qu’elle a contracté une grossesse des suites de leur rapport sexuel. Et comme elle ne veut pas de cet enfant, un avortement s’impose. C’est alors qu’elle demande au commerçant de lui envoyer 400 mille pour interrompre la grossesse. Somme que le pauvre a envoyé pour ne pas se retrouver dans une situation inconfortable eu égard à son statut d’homme marié.
Prétextant des complications dues au déroulement de l’avortement, elle soutire au commerçant 400 mille et 389 mille. L’homme à la gâchette facile et naïve est soumis à un chantage. De fil en aiguille, il est dévalisé par l’étudiante et son amie. Toute sorte d’histoire est crée pour soutirer de l’argent au commerçant qui se retrouvera avec un trou de 5 millions 400 mille. Selon Walf Grand’Place, il aurait même vendu un véhicule pour s’acquitter de ses obligations à l’endroit de l’alitée qui s’est dotée d’une chambre à coucher, d’un salon, d’un téléviseur écran plat, d’un frigo bar et d’un ordinateur portable avec l’argent qui était destiné à son traitement.
Mais comme toute chose à une fin, leur sale besogne ne dérogera pas à cette règle. Essoufflé, le commerçant se rendra au commissariat de police de Kaolack pour raconter sa mésaventure aux limiers qui prennent les choses en main. Quelques jours après, les deux étudiantes sont arrêtées et mises au gnouf pour extorsion de fonds.