L'Université Gaston Berger de Saint-Louis va procéder bientôt au lancement d’un master en alimentation/nutrition et sécurité alimentaire.
Une note reçue à cet effet renseigne que ce programme est multi sectoriel et pluridisciplinaire. Et s’inscrit dans le débat au niveau global (Standing Commission of Nutrition for the UN systems) sur l’agriculture, santé et nutrition.
« Il passe en revue les enjeux majeurs posés par la transition nutritionnelle, la coexistence de la sous nutrition (carences nutritionnelles) et les maladies chroniques liées à l’alimentation (obésité diabète maladies cardiovasculaires) » indique-t-elle.
« Cette transition liée à la transition démographique et épidémiologique, justifie la distribution du double fardeau la malnutrition dans les pays pauvres et les pays à revenus intermédiaire », poursuit la note.
La question de la sécurité alimentaire et nutritionnelle (autour des thématiques de production agricole, de transformation, organisation de filière, la diversification alimentaire…) constitue un partie centrale du programme, il en est de même de la nutrition en situation d’urgence mais aussi la problématique de la résilience. L’hygiène et la sécurité sanitaire des aliments restent des défis, comme La promotion des aliments de nos écosystèmes, à partir avec les principes du marketing dans la filière agroalimentaire.
Pour finir, la même source indique que l’analyse de la situation de sécurité alimentaire et nutritionnelle, (épidémiologie), la mise en œuvre de politiques et programmes (gestion de projets : conception, mise en œuvre, suivi/évaluation…) sont indispensables, pour des interventions spécifiques et non spécifiques, afin de réduire ce double fardeau de la malnutrition. Enfin cette approche multidisciplinaire et multisectorielle est au cœur des orientations des politiques et programme de nutrition, rare dans nos institutions de formation, est en phase de l’Initiative Scaling Up Nutrition du Secrétariat General des Nations Unies. Cette Initiative est adoptée par les pays de la CEDEAO.
Une note reçue à cet effet renseigne que ce programme est multi sectoriel et pluridisciplinaire. Et s’inscrit dans le débat au niveau global (Standing Commission of Nutrition for the UN systems) sur l’agriculture, santé et nutrition.
« Il passe en revue les enjeux majeurs posés par la transition nutritionnelle, la coexistence de la sous nutrition (carences nutritionnelles) et les maladies chroniques liées à l’alimentation (obésité diabète maladies cardiovasculaires) » indique-t-elle.
« Cette transition liée à la transition démographique et épidémiologique, justifie la distribution du double fardeau la malnutrition dans les pays pauvres et les pays à revenus intermédiaire », poursuit la note.
La question de la sécurité alimentaire et nutritionnelle (autour des thématiques de production agricole, de transformation, organisation de filière, la diversification alimentaire…) constitue un partie centrale du programme, il en est de même de la nutrition en situation d’urgence mais aussi la problématique de la résilience. L’hygiène et la sécurité sanitaire des aliments restent des défis, comme La promotion des aliments de nos écosystèmes, à partir avec les principes du marketing dans la filière agroalimentaire.
Pour finir, la même source indique que l’analyse de la situation de sécurité alimentaire et nutritionnelle, (épidémiologie), la mise en œuvre de politiques et programmes (gestion de projets : conception, mise en œuvre, suivi/évaluation…) sont indispensables, pour des interventions spécifiques et non spécifiques, afin de réduire ce double fardeau de la malnutrition. Enfin cette approche multidisciplinaire et multisectorielle est au cœur des orientations des politiques et programme de nutrition, rare dans nos institutions de formation, est en phase de l’Initiative Scaling Up Nutrition du Secrétariat General des Nations Unies. Cette Initiative est adoptée par les pays de la CEDEAO.