«L’engagement de la société civile derrière la cause des enfants, les violences perpétrées au quotidien sur ces derniers, nous ont amenés, à les outiller sur les questions de droits humains», a dit Boubacar Gano de la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (Raddho). Pour le coordonnateur régional de cette structure, les enfants doivent connaitre leurs droits et le mécanisme de leur protection, s’impliquer eux-mêmes à la vulgarisation de leurs droits et s’approprier leur défense.
C’est dans l’optique d’atteindre ces objectifs qu’un atelier de formation de deux jours a été organisé à leur faveur, autour de trois modules que sont l’éducation aux droits humains, les droits fondamentaux de l’enfant et les violences basées sur le genre. En partenariat avec l’association des juristes sénégalaises (Ajs), la Raddho pense à travers cette formation doter les enfants d’un outil de défense de leurs droits car, selon Boubacar Gano, l’ignorance de leurs droits contribue à la persistance des violences dont ils sont victimes au quotidien. Paul FAYE Correspondant.
C’est dans l’optique d’atteindre ces objectifs qu’un atelier de formation de deux jours a été organisé à leur faveur, autour de trois modules que sont l’éducation aux droits humains, les droits fondamentaux de l’enfant et les violences basées sur le genre. En partenariat avec l’association des juristes sénégalaises (Ajs), la Raddho pense à travers cette formation doter les enfants d’un outil de défense de leurs droits car, selon Boubacar Gano, l’ignorance de leurs droits contribue à la persistance des violences dont ils sont victimes au quotidien. Paul FAYE Correspondant.