Le Parti démocratique sénégalais est convaincu qu’il peut reprendre le pouvoir qu’il a perdu au mois de mars de l’année 2012. Et les premiers pas qui mèneront au palais au 2017 seront posés en mars 2014, lors des élections locales. C’est en tout cas l’avis d’Abdou Khafor Touré, porte-parole de la fédération nationale des cadres libéraux.
Cependant, pour l’ancien Directeur général de l’Anej, il y a des conditions à remplir pour ravir la vedette à Macky Sall dans 4 ans. « Il nous faut un nouvel esprit militant et une nouvelle offre politique adossées au besoins et préoccupations de nos compatriotes. Que les querelles d’ego et les ambitions personnelles soient tues au profit de la reconstruction d’une organisation moderne, démocratique et attractive. Que les responsables retournent à la base pour remobiliser les troupes. Que le parachutage et les démarches claniques cessent », conseille-t-il à ses frères et sœurs. Car pour lui, c’est seulement de cette manière qu’ils pourront nourrir l’espoir de revenir un jour au pouvoir.
Ce, d’autant plus que leurs adversaires leur facilitent la tache. « Parce qu’aujourd’hui, il y a un consensus national sur le fait que « rewmi doxul » (ndlr : le pays est à l’arrêt », croit-il savoir.
Cependant, pour l’ancien Directeur général de l’Anej, il y a des conditions à remplir pour ravir la vedette à Macky Sall dans 4 ans. « Il nous faut un nouvel esprit militant et une nouvelle offre politique adossées au besoins et préoccupations de nos compatriotes. Que les querelles d’ego et les ambitions personnelles soient tues au profit de la reconstruction d’une organisation moderne, démocratique et attractive. Que les responsables retournent à la base pour remobiliser les troupes. Que le parachutage et les démarches claniques cessent », conseille-t-il à ses frères et sœurs. Car pour lui, c’est seulement de cette manière qu’ils pourront nourrir l’espoir de revenir un jour au pouvoir.
Ce, d’autant plus que leurs adversaires leur facilitent la tache. « Parce qu’aujourd’hui, il y a un consensus national sur le fait que « rewmi doxul » (ndlr : le pays est à l’arrêt », croit-il savoir.