
RSF note des avancées telles que la mise en place d’un registre officiel des médias et la révision de la loi sur la publicité. Ces mesures visent plus de transparence et une meilleure régulation du secteur.
Toutefois, l’organisation souligne que la majorité des entreprises de presse restent fragilisées, confrontées à des impayés, des gels de comptes ou à la suspension de contrats publicitaires, entraînant parfois la fermeture de titres historiques comme "Stades" et "Sunu Lamb".
Le contexte fiscal reste tendu depuis l'annulation de l'effacement des dettes fiscales décidé sous Macky Sall. RSF appelle à un dialogue autour de la pression fiscale et à une réforme profonde de l’aide publique à la presse, notamment à travers un soutien renforcé à la professionnalisation des rédactions et la revalorisation du budget alloué.
Sur le plan sécuritaire, RSF relève une baisse des violences, mais s’inquiète de convocations de journalistes, d’attaques informatiques contre des médias en ligne et de menaces physiques, comme celle visant TFM en mars dernier.
L’organisation encourage la mise en place rapide d’une nouvelle autorité de régulation et plaide pour des incitations à l’adoption de normes de fiabilité comme la Journalism Trust Initiative (JTI).
RSF a également alerté sur la montée de nouvelles menaces dans le paysage médiatique sénégalais, notamment les cyberattaques ciblant plusieurs organes de presse.
Entre février et mars 2025, des plateformes comme Seneweb, Dakaractu ou encore la chaîne YouTube de PressAfrik Group, ont été la cible d’attaques informatiques. Ces incidents, inédits par leur ampleur, ont poussé les autorités à déclencher une alerte de sécurité numérique fin mars, appelant les médias à renforcer leurs dispositifs de protection. Pour RSF, cette évolution souligne l’urgence de mieux sécuriser les outils numériques des journalistes et de garantir leur liberté d’informer, y compris en ligne.
Toutefois, l’organisation souligne que la majorité des entreprises de presse restent fragilisées, confrontées à des impayés, des gels de comptes ou à la suspension de contrats publicitaires, entraînant parfois la fermeture de titres historiques comme "Stades" et "Sunu Lamb".
Le contexte fiscal reste tendu depuis l'annulation de l'effacement des dettes fiscales décidé sous Macky Sall. RSF appelle à un dialogue autour de la pression fiscale et à une réforme profonde de l’aide publique à la presse, notamment à travers un soutien renforcé à la professionnalisation des rédactions et la revalorisation du budget alloué.
Sur le plan sécuritaire, RSF relève une baisse des violences, mais s’inquiète de convocations de journalistes, d’attaques informatiques contre des médias en ligne et de menaces physiques, comme celle visant TFM en mars dernier.
L’organisation encourage la mise en place rapide d’une nouvelle autorité de régulation et plaide pour des incitations à l’adoption de normes de fiabilité comme la Journalism Trust Initiative (JTI).
RSF a également alerté sur la montée de nouvelles menaces dans le paysage médiatique sénégalais, notamment les cyberattaques ciblant plusieurs organes de presse.
Entre février et mars 2025, des plateformes comme Seneweb, Dakaractu ou encore la chaîne YouTube de PressAfrik Group, ont été la cible d’attaques informatiques. Ces incidents, inédits par leur ampleur, ont poussé les autorités à déclencher une alerte de sécurité numérique fin mars, appelant les médias à renforcer leurs dispositifs de protection. Pour RSF, cette évolution souligne l’urgence de mieux sécuriser les outils numériques des journalistes et de garantir leur liberté d’informer, y compris en ligne.