C’est depuis la station de Keur Momar Sarr (région de Louga) que l’incident est survenu en début de week-end dernier. A l’origine, un tuyau serait tombé en panne. Les conséquences d’un tel malheur sont incalculables. Car depuis la découverte de ce disfonctionnement, plusieurs quartiers de Dakar sont plongés dans une pénurie d’eau jamais égalée. Depuis ce jour, les habitants des quartiers tels que les Parcelles Assainies, Grand-Yoff, Médina, Grand-Dakar, Sicap, Liberté 6 extension Castors, Soprim, Nord Foire, une bonne partie de la banlieue sous l’emprise des inondations, sont tous asséchés. Les robinets ne coulent plus. A vos marques, prêts, pour la recherche effrénée du liquide tant convoité.
Le ras-le bol se généralise au fur et à mesure que les heures, les jours passent. A noter que quelques heures après l’incident, les responsable de la société chargée de l’exploitation et de la distribution de l’eau dans la capitale sénégalaise n’ont cessé de tenir un discours prometteur à ses abonnés, abandonnés, jusqu’au jeudi 18 septembre. Le chargé de la communication de ladite société, Cheikh Tidiane Fall n’a pas cessé d’occuper les médias, pour rassurer les populations du rétablissement de la situation dans les heures à venir.
Pendant ce temps, les populations trinquent. Pire, même les camions citernes promis par le SDE pour desservir les populations touchées par le fléau étaient presque invisibles dans la plupart de certains quartiers « Ce sont tous des menteurs, depuis jeudi passé la SDE promet que la situation se rétablira dans les heures qui suivent. Mais le constat est le même » fulmine toute en colère, une femme mercredi 17 septembre à la Cité Soprim tard dans la soirée. Il faut dire que le doute a finalement gagné les paisibles consommateurs quant à la date du retour à la normale.
« Mercredi de bonheur pluvieux »
Hier, mardi 17 septembre les dakarois étaient encore dans l’attente désespéré du retour de l’eau. La colère et la déception se lisaient sur le visage de jeunes filles et femmes, armées de bidons, seaux et bassines à la quête incessante de l’eau. On se ballade en gardant tout l’espoir de trouver la moindre goutte d’eau dans un endroit où elle s’est fait remarquer. D’autres, retournent sur leur pas. Et comme le malheur des uns fait le bonheur des autres, les boutiquiers se sont frottés les mains puisqu’ils ont écoulé leur stock d’eau minérale. Pour se prémunir de maladies infectieuses, les dakarois n’ont pas le choix. Toute eau n’est pas bonne à boire. Pour se doucher, certains ont profité des pluies qui se sont abattues hier sur la capitale pour renouer avec le bain. Une aubaine pour certains qui n’ont pas hésité à remercier le ciel. « Maam Yalleu dieureudieuf, dieureudieuf » (Dieu, merci à vous et merci encore une fois) » entend-t-on par ci et par là, en signe de réjouissance.
Le ras-le bol se généralise au fur et à mesure que les heures, les jours passent. A noter que quelques heures après l’incident, les responsable de la société chargée de l’exploitation et de la distribution de l’eau dans la capitale sénégalaise n’ont cessé de tenir un discours prometteur à ses abonnés, abandonnés, jusqu’au jeudi 18 septembre. Le chargé de la communication de ladite société, Cheikh Tidiane Fall n’a pas cessé d’occuper les médias, pour rassurer les populations du rétablissement de la situation dans les heures à venir.
Pendant ce temps, les populations trinquent. Pire, même les camions citernes promis par le SDE pour desservir les populations touchées par le fléau étaient presque invisibles dans la plupart de certains quartiers « Ce sont tous des menteurs, depuis jeudi passé la SDE promet que la situation se rétablira dans les heures qui suivent. Mais le constat est le même » fulmine toute en colère, une femme mercredi 17 septembre à la Cité Soprim tard dans la soirée. Il faut dire que le doute a finalement gagné les paisibles consommateurs quant à la date du retour à la normale.
« Mercredi de bonheur pluvieux »
Hier, mardi 17 septembre les dakarois étaient encore dans l’attente désespéré du retour de l’eau. La colère et la déception se lisaient sur le visage de jeunes filles et femmes, armées de bidons, seaux et bassines à la quête incessante de l’eau. On se ballade en gardant tout l’espoir de trouver la moindre goutte d’eau dans un endroit où elle s’est fait remarquer. D’autres, retournent sur leur pas. Et comme le malheur des uns fait le bonheur des autres, les boutiquiers se sont frottés les mains puisqu’ils ont écoulé leur stock d’eau minérale. Pour se prémunir de maladies infectieuses, les dakarois n’ont pas le choix. Toute eau n’est pas bonne à boire. Pour se doucher, certains ont profité des pluies qui se sont abattues hier sur la capitale pour renouer avec le bain. Une aubaine pour certains qui n’ont pas hésité à remercier le ciel. « Maam Yalleu dieureudieuf, dieureudieuf » (Dieu, merci à vous et merci encore une fois) » entend-t-on par ci et par là, en signe de réjouissance.
Débat sur son mandat à l’UCAD : la réponse du recteur Pr Ahmadou Aly Mbaye…
