L’esprit Yen a marre de Facebook a organisé ce dimanche une journée de prières à la place de l’Obélisque. Un récital de coran suivi de témoignages sur les disparus qui ont donné de leurs vies pour que le Sénégal connaisse une nouvelle ère étaient le menu de cette trouvaille des Yen a maristes. Occasion ne pouvait être plus propice pour faire des révélations sur ces martyrs. Serigne Abdou Samad Mbacké qui est un membre influent du mouvement des forces vives du 23 juin a ému l’assistance en faisant des révélations fracassantes sur la mort de l’étudiant Mamadou Diop.
A l’en croire, ce dernier qui faisait office de muezzin le vendredi 27 janvier, a fait un vœu juste après son appel à la prière. « Mamadou Diop m’a dit ‘Que mon ‘adhan’ (l’appel à la prière) libère le Sénégal comme celui de Bilal (compagnon du prophète Mohamed Psl) l’avait fait pour l’Islam’, m’avait-t-il dit », raconte le marabout qui provoque l’étonnement.
Il poursuit « le jour de sa mort (mardi 31 janvier), j’ai comme pressenti ce qui allait se passer et je lui ai fait savoir qu’une personne risque sa vie aujourd’hui. Sans broncher, il m’a dit qu’il souhaitait être cette personne-là », témoigne le dignitaire mouride qui toutefois, ne veut pas que ces pertes en vies humaines soient vaines. « Il faut que justice soit faite et que les coupables soient punis pour que nul n’en ignore », exige-t-il.
A l’en croire, ce dernier qui faisait office de muezzin le vendredi 27 janvier, a fait un vœu juste après son appel à la prière. « Mamadou Diop m’a dit ‘Que mon ‘adhan’ (l’appel à la prière) libère le Sénégal comme celui de Bilal (compagnon du prophète Mohamed Psl) l’avait fait pour l’Islam’, m’avait-t-il dit », raconte le marabout qui provoque l’étonnement.
Il poursuit « le jour de sa mort (mardi 31 janvier), j’ai comme pressenti ce qui allait se passer et je lui ai fait savoir qu’une personne risque sa vie aujourd’hui. Sans broncher, il m’a dit qu’il souhaitait être cette personne-là », témoigne le dignitaire mouride qui toutefois, ne veut pas que ces pertes en vies humaines soient vaines. « Il faut que justice soit faite et que les coupables soient punis pour que nul n’en ignore », exige-t-il.