« J’ai pris mon chapelet, je l’ai égrené tout une nuit, j’ai lu le Saint-coran pour que Yérim sorte de prison, car c’est n’est pas sa place », dit Oustaz Thiaw qui, pourtant ne connait Cheikh Yérim Seck ni d’Adam ni d’Eve. Mais semble dans l’impossibilité d’être indifférent à la phase difficile que traverse le journalise. « Je ne connais pas Cheikh Yérim, je ne l’ai jamais approché, mais je ne peux m’empêcher de prier pour lui », renchérit-il.
Délit de presse : « Priver un journaliste de liberté, c’est cela un délit »
Il s’est aussi prononcé sur les délits de presse pour dire : « les journalistes sont des acteurs primordiaux, la racine première de toute société où se greffe toute floraison. Ce sont de braves citoyens qui éclairent les innocents, la société civile, et pratiquement les décideurs, servent toute une nation sans attendre ni recevoir quoi que ce soit en retour».
Reconnaissant que les hommes de presse ne sont ni des prophètes encore moins des anges, le marabout invite à plus d’indulgence à leur égard. Pour une raison toute simple : « l’erreur est humaine, il faut d’autres types de sanctions à leur endroit car mettre un journaliste en prison, ce n’est pas normal, la liberté est l’identité fondamentale d’un journaliste ».
Et d’ajouter : « priver un journaliste de cette liberté c’est cela un délit, c’est freiner le développement ».
Le religieux interpelle l’Etat qui, selon lui, « doit se préoccuper des conditions d’existence de cette brave frange de la société ». « Car, poursuit-il, n’oublions pas que depuis 2000, les journalistes, ont balisé la voie au progrès économique et de la démocratie et pour cela on leur doit un grand merci en plus de leur vouer un grand respect ».
C’est en ce sens, que Serigne Thiaw affirme : « le nouveau projet du code de la presse, ne doit pas constituer un problème, les défis sont énormes, il faut que les députés le votent à l’unanimité. Tous les délits qui peuvent gêner les journalistes dans l’exercice de leur fonction doivent être dépénalisés ».
B. Amina pour Setal.net
Délit de presse : « Priver un journaliste de liberté, c’est cela un délit »
Il s’est aussi prononcé sur les délits de presse pour dire : « les journalistes sont des acteurs primordiaux, la racine première de toute société où se greffe toute floraison. Ce sont de braves citoyens qui éclairent les innocents, la société civile, et pratiquement les décideurs, servent toute une nation sans attendre ni recevoir quoi que ce soit en retour».
Reconnaissant que les hommes de presse ne sont ni des prophètes encore moins des anges, le marabout invite à plus d’indulgence à leur égard. Pour une raison toute simple : « l’erreur est humaine, il faut d’autres types de sanctions à leur endroit car mettre un journaliste en prison, ce n’est pas normal, la liberté est l’identité fondamentale d’un journaliste ».
Et d’ajouter : « priver un journaliste de cette liberté c’est cela un délit, c’est freiner le développement ».
Le religieux interpelle l’Etat qui, selon lui, « doit se préoccuper des conditions d’existence de cette brave frange de la société ». « Car, poursuit-il, n’oublions pas que depuis 2000, les journalistes, ont balisé la voie au progrès économique et de la démocratie et pour cela on leur doit un grand merci en plus de leur vouer un grand respect ».
C’est en ce sens, que Serigne Thiaw affirme : « le nouveau projet du code de la presse, ne doit pas constituer un problème, les défis sont énormes, il faut que les députés le votent à l’unanimité. Tous les délits qui peuvent gêner les journalistes dans l’exercice de leur fonction doivent être dépénalisés ».
B. Amina pour Setal.net