SETAL.NET-Le corps de la femme est constellé de terminaisons nerveuses qui sont autant de capteurs sensoriels du plaisir... Si beaucoup de caractéristiques changent d'une femme à l'autre, on distingue tout de même quelques des zones érogènes. Où se trouvent-elles et comment les stimuler pour optimiser le plaisir ?
Les zones érogènes de la femme
Les zones dites érogènes sont celles qui, stimulées, procurent du plaisir. Quant à savoir lesquelles, à cette question, beaucoup répondront que le corps féminin tout entier n'est qu'une vaste zone érogène, même si, selon Freud, les plus sensibles sont celles situées autour de nos orifices naturels. Ainsi, certaines ne résistent pas à une titillation du lobe de l'oreille, une caresse dans la nuque ou le bas du dos, un baiser morsure dans le cou ou sur l'épaule... Chacune a ses zones sensibles « réceptives », ses découvertes, ses frissons, qui dépendent de la façon dont le corps a été érotisé. Sachant aussi que certains secteurs peuvent sembler tièdes pendant longtemps, et se révéler un beau jour carrément explosifs ! Nos zones érogènes forment donc une vraie « carte du tendre » qui ne demande qu'à être explorée de la main, des lèvres, de la langue, du pénis, des cheveux... ou même avec des jouets à choisir en duo.
On distingue tout de même plusieurs types de zones érogènes.
Les régions strictement génitales : chez la femme, il s'agit du clitoris, des petites et des grandes lèvres, du conduit vaginal et de son orifice, du périnée, de la région anale. Le clitoris et le vagin sont des zones érogènes dites « primaires », ce qui signifie que leur stimulation peut suffire à atteindre l'orgasme.
Toutes les autres : les seins, bien sûr (leur stimulation peut mener facilement certaines femmes au comble de l'excitation sexuelle), mais aussi les lèvres, l'intérieur des cuisses, le ventre, les fesses, les aisselles, les hanches, les chevilles, les avant-bras, le cou, la nuque, les épaules, les oreilles...
Le clitoris, un organe ultra-sensible !
Ce petit « bouton sacré » (dont les neuf dixièmes sont internes et invisibles) est un véritable détonateur, indissociable du plaisir sexuel pour la plupart des femmes. Son origine embryonnaire est la même que celle du pénis, ce qui explique qu'il possède une structure quasi (...)
Les zones érogènes de la femme
Les zones dites érogènes sont celles qui, stimulées, procurent du plaisir. Quant à savoir lesquelles, à cette question, beaucoup répondront que le corps féminin tout entier n'est qu'une vaste zone érogène, même si, selon Freud, les plus sensibles sont celles situées autour de nos orifices naturels. Ainsi, certaines ne résistent pas à une titillation du lobe de l'oreille, une caresse dans la nuque ou le bas du dos, un baiser morsure dans le cou ou sur l'épaule... Chacune a ses zones sensibles « réceptives », ses découvertes, ses frissons, qui dépendent de la façon dont le corps a été érotisé. Sachant aussi que certains secteurs peuvent sembler tièdes pendant longtemps, et se révéler un beau jour carrément explosifs ! Nos zones érogènes forment donc une vraie « carte du tendre » qui ne demande qu'à être explorée de la main, des lèvres, de la langue, du pénis, des cheveux... ou même avec des jouets à choisir en duo.
On distingue tout de même plusieurs types de zones érogènes.
Les régions strictement génitales : chez la femme, il s'agit du clitoris, des petites et des grandes lèvres, du conduit vaginal et de son orifice, du périnée, de la région anale. Le clitoris et le vagin sont des zones érogènes dites « primaires », ce qui signifie que leur stimulation peut suffire à atteindre l'orgasme.
Toutes les autres : les seins, bien sûr (leur stimulation peut mener facilement certaines femmes au comble de l'excitation sexuelle), mais aussi les lèvres, l'intérieur des cuisses, le ventre, les fesses, les aisselles, les hanches, les chevilles, les avant-bras, le cou, la nuque, les épaules, les oreilles...
Le clitoris, un organe ultra-sensible !
Ce petit « bouton sacré » (dont les neuf dixièmes sont internes et invisibles) est un véritable détonateur, indissociable du plaisir sexuel pour la plupart des femmes. Son origine embryonnaire est la même que celle du pénis, ce qui explique qu'il possède une structure quasi (...)